Perception tridimensionnelle de l'espace? La reponse!
Affichage des résultats 1 à 14 sur 14

Perception tridimensionnelle de l'espace? La reponse!



  1. #1
    inviteb3f6b757

    Perception tridimensionnelle de l'espace? La reponse!


    ------

    Pourquoi avons nous une perception tridimensionnelle de l'espace?

    Cette reponse est d'ordre purement mathematique et de son interdependance avec notre perception , elle est liée d'une part à la proprieté du produit vectoriel dans un espace vectoriel euclidien munis de ce produit et d'autre part avec la maniere la plus logique pour qu'une structure possedant une quantité d'information puisse organiser celle-ci . Il s'agira d'une preuve suffisante et inattaquable sur la raison pour laquelle nous percevons un monde tridimensionnel mais au-delà d'une assertion sur le fait que notre univers n'est qu'un assemblage d'informations (une information ne releve déjà plus de ce que communément on appelle: la matière) qui emploie des espaces algebriques qui l'organise la classifie de la façon la plus "économique" qui soit.
    De tous les espaces algebriques employés il y a celui en premier lieu qui les classe à grande échelle et c'est cet espace algebrique que nous interpretons comme etant ce que communément nous appellons l'espace tridimentionnel.
    Il s'agit d'une interpretation idéaliste plus eloignée même de ce qu'elle devrait être car on devrais plutôt dire "tout ce que je nomme comme étant un objet "physique" je l'interprete comme étant un objet communement appelé à trois dimensions et de plus j'idéalise cette interpretation en m'imaginant l'espace physique à trois dimension.
    En clair ce que nous nommons espace "physique" est une idéalisation de l'idéalisation de ce que j'appelle l'objet "physique" l'objet même sur lequel les instruments d'experimentations receuillent les informations qui nous sont necessaires pour elaborer des theories physiques .
    Quelle ironie que de s'apercevoir que l'idealisation des nombres réels (objet purement mathematique) dans l'idee d'une droite et par extention d'un espace physique à trois dimensions réelles pouvait nous faire imaginer un monde ultra-miscroscopique avec ses micro planetes( atome ect...) alors qu'en fait on aurait dut considerer le nombre réel non pas sous l'aspect d'un point de l'espace physique mais plutot sous l'aspect d'une information en fait une valeur appartenant a un ensemble structuré.
    Double ironie en effet car un ensemble structuré est ce que l'on appelle: un espace algebrique tout simplement...

    Pour ceux que cela interessent le niveau ne depasse pas la licence de math ( mais pour ceux qui suivent avec attention sans en avoir le niveau ils n'auront qu'à suivre selon le mode didactique presenté en attendant d'avoir plus loin dans l'exposé une application pratique même si l'explication theorique fait defaut ici je gage sur l'application pratique) et l'avantage pas de connaissance particuliere en physique(oui c'est possible) car à part une tres legere intrusion dans cette matiere , On restera uniquement dans les proprietes algebriques de l'espace vectoriel et ponctuel euclidien munis du produit vectoriel ce qui ne sera pas bien violent et en essayant d'être le plus didactique possible

    SOMMAIRE
    * La partie mathématique
    ** La partie physique
    *** La conclusion



    * La partie mathématique *


    1)l'espace vectoriel

    Dans l'espace vectoriel on note En où n designe la dimension de cet espace
    on peut ecrire les elements (que l'on nomme vecteurs) de cet espace sous la forme:
    (e1,e2, ... , en) et tel que ei peut être un nombre réel ou un nombre complexe.
    En geometrie classique on considere l'espace ponctuel à trois dimensions dont les elements sont des nombres réels qui permettent une localisation spatiale.
    La difference entre espace ponctuel et vectoriel est tous simplement que l'on apporte une propriete algebrique supplementaire à l'espace vectoriel mais cela ne changera en rien le propos car il y a tout simplement ajout de propriete dans une structure qui possede dejà les proprietes que l'on cherche à mettre en evidence.
    Par ailleurs on prendra pour composants ei est un nombre réel afin de pouvoir definir un espace vectoriel euclidien (j'expliquerai pourquoi plus loin)


    Reprenons donc en ce qui concerne l'espace vectoriel
    On considere des lois vulgairement appelees operations:


    L'addition des vecteurs
    ( a1 , a2 , a3 ) + ( b1 , b2 , b3 ) = ( a1+b1 , a2+b2 , a3+b3 )

    A et B etants des vecteurs on obtiens: A+B = B+A commutativite

    X , Y , Z etants des vecteurs on obtiens: (X+Y)+Z = X+(Y+Z) associativite

    element neutre (dit vecteur nul) et symetrie par exemple dans E3 (0,0,0) et V etant un vecteur on obtiens: V+(0,0,0) = V
    (v etant un vecteur on note la symetrie -V est aussi un vecteur) on obtiens: V+(-V) = (0,0,0)



    Le produit par un scalaire
    Y (où Y est un nombre réel)
    Y . ( e1 , e2 , e3 ) = ( Y.e1 , Y.e2 , Y.e3 ) donc 0.( e1 , e2 , e3 ) = (0,0,0)

    V etant un vecteur on obtiens: Y . V = V . Y commutativite

    Y1 et Y2 etant des scalaires (donc pour simplifier des nombres réels) et V etant un vecteur on obtiens:
    (Y1.Y2).V = Y1.(Y2.V) associativite par rapport au produit des scalaires
    (Y1+Y2).V = (Y1.V)+(Y2.V) distributivite par rapport à l'addition des scalaires

    Y etant un scalaire et V et W etants des vecteurs on obtiens:
    (V+W).Y = (V.Y)+(W.Y) distributivite par rapport à l'addition des vecteurs

    element neutre 1 et V etant un vecteur on obtiens: 1.V = V



    Le produit scalaire
    Il en existe plusieurs sortes selon que l'espace soit euclidien ou pas
    Pour expliquer ses proprietes simplement considerons deux vecteurs A et B on note le produit scalaire:
    A . B = Y où Y est un nombre réel

    V et W etants des vecteurs on obtiens: V.W = W.V commutativite

    Y etant un scalaire et V et W etants des vecteurs on obtiens:
    (V.W).Y = V.(W.Y) associativite du produit par un scalaire par rapport au produit scalaire

    X , Y , Z etants des vecteurs on obtiens:
    (X+Y).Z = (X.Z)+(Y.Z) distributivite par rapport à l'addition des vecteurs



    Norme d'un vecteur

    la norme d'un vecteur V est donné par l'expression:
    ||V|| = (V.V)^½ c'est à dire la racine carree du produit scalaire V.V
    (ce produit scalaire je le rappelle etant un nombre réel)
    Dans l'espace vectoriel un vecteur ( v1 , v2 , ... , vn ) peut s'interpreter comme une fleche dont le debut se trouve dans la position ( 0 , 0 , ... , 0 ) et la pointe sur la position ( v1 , v2 , ... , vn )
    Alors sa norme peut être representée comme etant la distance entre les deux points
    ( 0 , 0 , ... , 0 ) et ( v1 , v2 , ... , vn ) de l'espace ponctuel

    Un vecteur unitaire est un vecteur dont la norme est de valeur 1

    Soit un vecteur non nul quelconque V on considere l'unitaire de ce vecteur est definit par l'expression V / ||V||
    où ici on considere le produit par le scalaire 1 / ||V||

    Soient deux vecteurs quelconques V et W de l'espace vectoriel En
    alors il existe un réel r dans l'intervalle [ 0 , pi ] tel que: V.W = ||V|| . ||W|| . cos(r)


    L'ensemble des elements de types ( e1 , e2 , ... ,en ) munis de toutes ces structures constitue l'espace vectoriel

    -----

  2. #2
    inviteb3f6b757

    Re : Perception tridimensionnelle de l'espace? La reponse!

    2)L'espace vectoriel euclidien munis du produit vectoriel


    Dans un espace vectoriel euclidien le produit scalaire est tel que:
    X etant un vecteur on obtiens: X.X = X^2 >= 0 et quelque soit un vecteur Y si on a: X.Y = 0 alors obligatoirement X est un vecteur nul

    X etant un vecteur non nul on obtiens: X.X = X^2 > 0

    Par consequent les composants sont des nombres réels car il n'y a pas de relation d'ordre total sur C l'ensemble des nombres complexes en effet dans C dire que X > Y est une absurdité

    Par consequent aussi par exemple l'espace vectoriel muni du produit scalaire selon: (a1,a2,a3).(b1,b2,b3) = a1.b1 + a2.b2 + a3.b3 est un espace vectoriel euclidien


    le symbole d'anti-symetrie

    On peut munir cet espace vectoriel euclidien d'une loi supplementaire appellée: produit vectoriel

    Avant de donner ses proprietes algebriques on va le presenter en calcul dans l'espace vectoriel En mais pour ce faire il faut que je vous fassiez connaissance avec ce que l'on appelle le "symbole d'anti-symetrie" je vous rassure son principe est extremement simple:
    considerez la notation S(i,j,k,l,...) la convention exacte est un epsilon avec les indices i,j,k,l... en exposant mais cela ne change en rien le propos ni n'obscure l'explication on dira que cette notation constitue le symbole d'anti-symetrie lorsque l'on donne aux indices
    i j k l ... une valeur naturelle qui va de 1 jusqu'à la quantitee de ces indices

    par exemple S(i,j,k) il y a trois indices i j k donc ces indices peuvent prendre n'importe quelle valeur entiere de 1 jusqu'à 3
    S(1,2,3) mais aussi S(3,2,2) Mais aussi S(3,3,3) par contre S(0,4,1) est interdit

    Autre exemple S(i,j,k,l) il y a quatre indices i j k l donc ces indices peuvent prendre n'importe quelle valeur entiere de 1 jusqu'à 4
    S(1,2,3,4) mais aussi S(3,2,2,1) Mais aussi S(3,3,3,1) par contre S(5,4,1,2) est interdit

    ce symbole S(i,j,k,l,...) ne peut prendre que trois valeurs possibles:
    S(i,j,k,l,...) = 0 ou bien alors S(i,j,k,l,...) = 1 ou bien alors S(i,j,k,l,...) = -1

    Pour determiner la valeur d'un symbole d'anti-symetrie on va prendre un exemple tres simple avec quatre indices mais que l'on peut ensuite facilement transposer pour un nombre quelconque d'indices
    S(i,j,k,l) = 0 si et seulement si il existe au moins deux indices de valeur egales
    par exemple S(2,4,3,2) = 0 car ici i = l = 2 autre exemple S(2,4,2,2) = 0 car ici i = l = 2 est une raison suffisante

    à present pour determiner si S(i,j,k,l) = 1 ou S(i,j,k,l) = -1 on doit considerer un ordre originel d'arrangement des indices par exemple ici l'ordre originel est: 1,2,3,4 autre exemple pour cinq indices l'ordre originel est: 1,2,3,4,5
    de plus on doit considerer ce que l'on appelle une permutation des valeurs d'indices:
    Pour effectuer une permutation sur la suite par exemple 2,4,1,3 on peut faire permuter 1 et 2 on obtiendra la suite 1,4,2,3 ou bien alors depuis la suite 2,4,1,3 faire permuter 4 et 1 on obtiendra la suite 2,1,4,3

    S(i,j,k,l) = 1 si et seulement si l'ordre originel 1,2,3,4 peut être constitué apres un nombre pair (dont le nombre zero) de permutations par conséquent
    S(1,2,3,4) = 1 autre exemple S(4,2,1,3) = 1 car 4,2,1,3 --> 1,2,4,3 --> 1,2,3,4 c'est à dire deux (nombre pair) permutations pour retrouver l'ordre originel 1,2,3,4
    S(i,j,k,l) = -1 si et seulement si l'ordre originel 1,2,3,4 peut être constitué apres un nombre impair de permutations par exemple
    S(2,4,1,3) = -1 car 2,4,1,3 --> 1,4,2,3 --> 1,2,4,3 --> 1,2,3,4 c'est à dire trois (nombre impair) permutations pour retrouver l'ordre originel 1,2,3,4

    On considere une variante celle où l'on attribue n'importe quelle valeur aux indices:
    lorsque les indices ne se suivent pas par exemple 1,3,5 l'ordre originel est donné par la relation d'ordre 1 < 3 < 5 il resulte donc ici dans cet exemple que:
    S(1,3,5) = 1 zero permutation
    S(1,5,3) = -1 selon 1,5,3 --> 1,3,5 une permutation
    S(3,1,5) = -1 selon 3,1,5 --> 1,3,5 une permutation
    S(3,5,1) = 1 selon 3,5,1 --> 1,5,3 --> 1,3,5 deux permutations
    S(5,1,3) = 1 selon 5,1,3 --> 1,5,3 --> 1,3,5 deux permutations
    S(5,3,1) = -1 selon 5,3,1 --> 1,3,5 une permutation

    Enfin en ce qui concerne le symbole d'anti-symetrie on considere la convention de notation dite "convention d'Einstein" (étant donnée qu'elle porte le nom du celebre physicien Albert Einstein je suppose qu'elle est de lui mais cela peut être discutable car ici il ne s'agit que de sources d'ordre culturelle qui n'interfere en rien le propos) cette convention stipule entre autre que si l'on ecrit par exemple: Zi = S(i,j,k) . Xj .Yk avec Zi , Xj et Yk sont des nombres réels (mais ils peuvent aussi êtres des nombres complexes) et les indices prennent toute les valeurs de 1 à n alors:

    par exemple pour n=2 on obtiens: Z1 = 0 et Z2 = 0 car ici quelque soit un triplet i,j,k les indices prenant toutes les valeurs possibles de 1 à 2 alors on aura toujours au moins deux indices du symbole S(i,j,k) qui seront identiques et par consequent on obtiendra toujours S(i,j,k) = 0

    autre exemple pour n=3 on obtiens:
    Z1 = S(1,2,3).X2.Y3 + S(1,3,2).X3.Y2 = X2.Y3 - X3.Y2
    Z2 = S(2,1,3).X1.Y3 + S(2,3,1).X3.Y1 = -X1.Y3 + X3.Y1
    Z3 = S(3,1,2).X1.Y2 + S(3,2,1).X2.Y1 = X1.Y2 - X2.Y1

    autre exemple pour n=4 on obtiens:
    W1 = S(1,2,3).X2.Y3 + S(1,2,4).X2.Y4 + S(1,3,2).X3.Y2 + S(1,3,4).X3.Y4 + S(1,4,2).X4.Y2 + S(1,4,3).X4.Y3 =
    X2.Y3 + X2.Y4 - X3.Y2 + X3.Y4 - X4.Y2 - X4.Y3
    W2 = S(2,1,3).X1.Y3 + S(2,1,4).X1.Y4 + S(2,3,1).X3.Y1 + S(2,3,4).X3.Y4 + S(2,4,1).X4.Y1 + S(2,4,3).X4.Y3 =
    - X1.Y3 - X1.Y4 + X3.Y1 + X3.Y4 + X4.Y1 - X4.Y3
    W3 = S(3,1,2).X1.Y2 + S(3,1,4).X1.Y4 + S(3,2,1).X2.Y1 + S(3,2,4).X2.Y4 + S(3,4,1).X4.Y1 + S(3,4,2).X4.Y2 =
    X1.Y2 - X1.Y4 - X2.Y1 - X2.Y4 + X4.Y1 + X4.Y2
    W4 = S(4,1,2).X1.Y2 + S(4,1,3).X1.Y3 + S(4,2,1).X2.Y1 + S(4,2,3).X2.Y3 + S(4,3,1).X3.Y1 + S(4,3,2).X3.Y2 =
    X1.Y2 + X1.Y3 - X2.Y1 + X2.Y3 - X3.Y1 - X3.Y2

    et ainsi de suite ...le principe étant relativement simple

    pour information le symbole d'anti-symetrie est tres pratique pour determiner le determinant d'une matrice


    Le produit vectoriel
    considerons par exemple deux vecteurs V = ( v1 , v2 , v3 ) et W = ( w1 , w2 , w3 ) de l'espace vectoriel R3 on notera R3 et par extention Rn car ici les composantes sont des nombres reels
    le produit vectoriel se note: Z = V X W cette notation permet de le differencier du produit scalaire (on rencontre aussi la notation sous la forme d'un v inversé ce qui en cyrillique correspond à la lettre L)

    la solution Z est aussi un vecteur on obtiens:
    Z = ( z1 , z2 , z3 ) selon
    Z1 = v2.w3 - v3.w2
    Z2 = v3.w1 - v1.w3
    Z3 = v1.w2 - v2.w1

    En fait: Zi = S(i,j,k) . Vj .Wk on peut verifier qu'effectivement:
    Z1 = S(1,2,3).v2.w3 + S(1,3,2).v3.w2 = v2.w3 - v3.w2
    Z2 = S(2,1,3).v1.w3 + S(2,3,1).v3.w1 = -v1.w3 + v3.w1
    Z3 = S(3,1,2).v1.w2 + S(3,2,1).v2.w1 = v1.w2 - v2.w1

    On considere une generalisation dans l'espace vectoriel euclidien Rn
    Soient deux vecteurs V = ( v1 , v2 , ... , Vn ) et W = ( W1 , W2 , ... , Wn ) de l'espace vectoriel euclidien Rn
    et le produit vectoriel Z = ( Z1 , Z2 , ... , Zn ) = V X W
    on obtiens Zi = S(i,j,k) . Vj . Wk
    par exemple dans R4 on obtiens:
    Z1 = S(1,2,3).V2.W3 + S(1,2,4).V2.W4 + S(1,3,2).V3.W2 + S(1,3,4).V3.W4 + S(1,4,2).V4.W2 + S(1,4,3).V4.W3 =
    X2.Y3 + X2.Y4 + X3.Y4 - X3.Y2 - X4.Y2 - X4.Y3
    Z2 = S(2,1,3).V1.W3 + S(2,1,4).V1.W4 + S(2,3,1).V3.W1 + S(2,3,4).V3.W4 + S(2,4,1).V4.W1 + S(2,4,3).V4.W3 =
    X3.Y1 + X3.Y4 + X4.Y1 - X1.Y3 - X1.Y4 - X4.Y3
    Z3 = S(3,1,2).V1.W2 + S(3,1,4).V1.W4 + S(3,2,1).V2.W1 + S(3,2,4).V2.W4 + S(3,4,1).V4.W1 + S(3,4,2).V4.W2 =
    X1.Y2 + X4.Y1 + X4.Y2 - X1.Y4 - X2.Y1 - X2.Y4
    Z4 = S(4,1,2).V1.W2 + S(4,1,3).V1.W3 + S(4,2,1).V2.W1 + S(4,2,3).V2.W3 + S(4,3,1).V3.W1 + S(4,3,2).V3.W2 =
    X1.Y2 + X1.Y3 + X2.Y3 - X2.Y1 - X3.Y1 - X3.Y2


    proprietés du produit vectoriel dans Rn

    Dans l'espace vectoriel euclidien Rn munis du produit vectoriel on considere les proprietes:

    Soient cinq vecteurs V , W , A , B , C on considere les proprietes suivantes:

    Anticommutatif V X W = -W X V
    Distributivite par rapport à l'addition des vecteurs ( V + W ) X Z = ( V X Z ) + ( W X Z )
    Le produit par un scalaire Y est associatif par rapport au produit vectoriel ( V X W ) . Y = V X (W.Y)
    Le produit scalaire . par lequel on obtiens:
    V . ( V X W ) = 0 et W . ( V X W ) = 0 et A . ( B X C ) = ( A X B ) . C et || A X B ||^2 = ( ( A X B ) X A ) . B
    Par ailleurs on obtiens: A X A est un vecteur nul




    proprietés supplementaires du produit vectoriel uniquements valables dans R3



    Quelques soient trois vecteurs A , B , C dans R3 on obtiens toujours:


    || A X B || = ||A|| . ||B|| . sin(r)
    avec un réel r tel que: cos(r) = A.B / ( ||A|| . ||B|| ) et sin(r)^2 = 1 - ( (A.B)^2 / ( ||A||^2 . ||B||^2 ) )


    || A X B ||^2 = ( A^2.B^2 ) - (A.B)^2

    A X ( B X C ) + B X ( C X A ) + C X ( A X B ) est un vecteur nul

    ( A X B ) . ( C X D ) = (A.C).(B.D) - (B.C).(A.D)

    A X ( B X C ) = (A.C).B - (A.B).C

  3. #3
    inviteb3f6b757

    Re : Perception tridimensionnelle de l'espace? La reponse!

    ** La partie physique **


    J'ai bien conscience que tenter d'aborder la partie physique de l'exposé pour un non physicien est une entreprise plus qu'hasardeuse.
    Pourtant c'est bien ce que je vais faire et cela sans aucune crainte de me faire contredire:
    L'idée de base étant de presenter un modele d'exploitation du traitement de l'information tel qu'il soit optimal lorsqu'on utilise les proprietes de l'espace vectoriel muni du produit vectoriel et plus particulierement dans R3 compte tenu des proprietes supplementaire qu'il possedent dans cet espace.
    Ce n'est qu'à la conclusion qu'on abordera la question de fond.


    1) Qu'est-ce qu'un objet "physique"?


    Un objet "physique est une collection d'informations qui se subdivise en deux parties l'une invariante (tant que cet objet est "existant" dans le cas contraire l'objet est detruit et il se decompose en d'autres objets mais l'objet lui-même n'existe plusar exemple dans une definition stricte une voiture demunie de son moteur n'en est plus une car ce qu'il l'a definie c'est entre autre le fait quelle peut se deplacer sans aucune aide exterieure mais uniquement à l'aide de ce qui la compose) et l'autre variable selon ses echanges avec son milieu.
    Pour prendre une image qui rend le mieux compte de cette assertion si un individu (l'image de l'objet "physique") est existant tant qu'il possede trois maisons habitables et deux voitures en bon etats de marche alors la structure invariante de cet individu est ses trois maisons habitables et ses deux voitures en bon etat de marche.
    à contrario son compte en banque désigne la structure variable celle-ci depend de son revenu et des dépenses effectuées pour maintenir la structure invariable.
    Ici l'argent, les trois maisons et les deux voitures sont l'image des informations gerées par l'objet physique.


    2) L'avantage de l'utilisation de l'algebre de l'espace vectoriel euclidien R3 munis du produit vectoriel pour le traitement de l'information

    L'avantage de l'utilisation de cet algebre est l'economie de traitement des informations que l'on peut faire.
    Par le terme "economie" je veut dire par là, la façon la plus simple et efficace de classer des informations variables et invariables en mettant des groupes d'informations en relation les unes des autres plutôt que se retrouver avec un ensemble d'informations dont on ne peut que constater qu'elle forme un tout sans pouvoir leur donner un sens particulier quelconque.
    Imaginez une machine qui ne ferait que produire des 0 et des 1 sans cesse depuis toujours et pour toujours.
    Quel sens pourrait-on donner à cette information continue sans queue ni tête?
    Comment extraire des parties de ce maelstrom numerique?
    Comment classer ces parties?
    Sur quels critères je choisis mes informations invariantes?
    Comment les mettres en relations les unes des autres?
    Quel rapport y a t-il entre la notion du temps et le choix des structures numériques qui se prêtent plus au classement des informations variables(car en fait l'idée d'une machine produisant des 0 et des 1 n'est pas appropriée mieux vaudrait parler d'un message figé pour toujours)?
    Certaines de ces questions seront le sujet de la conclusion mais à présent commençons par le commencement:

    Nous disposons de 12 informations s'exprimant sous la forme de nombres réels celle-ci restent constantes elles constituent une partie des informations concernant la structure invariante de l'objet "physique" dont il est question. Par ailleurs nous disposons de 6 informations variables elles constituent une partie des informations concernant la structure variable de cet objet.
    On utilise au choix (parmis toutes les informations invariantes) ce paquet de 12 informations invariables mais de telle sorte que ce paquet puisse constituer un repere de l'espace ponctuel R3 c'est à dire que l'on puisse entre autre constituer une base de l'espace vectoriel R3, les bases s'expriment sous la forme de matrices 3X3 et telles que leurs determinant est non nul.
    On utilise au choix (parmis toutes les informations variables) 2 paquets de 3 informations variables en les exprimant sous la forme d'un points de l'espace ponctuel R3.
    je peut etablir aisement une relation entre l'un de ces paquets de 3 informations variables et le repere en considerant que ce paquet de 3 informations sont les positions de ce point par rapport au repere
    puis construire un repere de l'espace ponctuel R3 à l'aide d'un minimum d'informations uniquement (que je doit bien evidemment calculer) et de telle sorte qu'en utilisant l'algebre dont il est question ici je puisse construire un repere tel que les 3 autres informations invariables restantes non encore utilisées represente la position du point par rapport à cet autre repere. Par ailleurs c'est cet algebre qui garantit le minimum d'information que l'on doit calculer(je vous livre la procedure d'execution plus loin)

    De fait alors qu'initialement j'avais un ensemble d'informations invariables et variables sans pouvoir les mettre en relation les unes des autres un peu comme pourrait l'être une bibliothèque dont tous les livres seraient melangés j'ai pu etablir une methode qui me les classifie et met en relation les informations invariables avec celles variables par contre en contre partie (c'est le prix à payer) j'ai dut determiner une certaine quantité de parametres



    3) L'outillage geometrique necessaire


    L'outillage principal de la physique étant les objets que l'on peut construire en géometrie, le fait de considerer l'espace physique sous l'aspect du traitement de l'information ne permet cependant pas de s'en dispenser.
    Ce que je propose ici c'est une approche moins theorique de certains de ces objets mais plutôt leur modes opératoires directs en géometrie.
    D'ailleurs une approche plus théorique ne releverai plus de la physique.
    Par ailleurs en ce qui concerne le traitement de la question soulevée ici les objets géometriques resterons des plus modestes qu'ils soient possibles, c'est à dire ceux qui concernent l'espace vectoriel.

    conventions generales et speciales

    La notation ± designe "non egal"
    Le symbole de kronecker noté dij vaut 1 pour i=j et vaut 0 pour i ± j

    Une matrice M sera notee [M], sa transposee notée [M|t] son determinant noté [det|M]
    Une matrice nulle peut plus particulierement se noter [0]
    Une matrice de dimension 1X1 peut plus particulierement se noter [M*] de sorte que: [M*|t] = [M*]
    Une base M sera notee [(M] de sorte que [det|(M] ± 0
    Une matrice notée [M] peut tout aussi bien être une base qu'une matrice quelconque par consequent son determinant est un réel quelconque
    L'inverse d'une base [(M] sera noté [(/M], sa base reciproque notee [(M|r] la base associee notee [(M|a]
    La base identitée notée [^]


    Un vecteur V sera exprimé sous une forme matricielle sera noté [V>>] (pour que l'on puisse le differencier d'une matrice ou d'une base) de sorte que le produit scalaire euclidien de deux vecteurs [V>>] et [W>>] est donné par l'expression du produit matriciel [V>>|t] . [W>>] = [M*]
    Par consequent une matrice quelconque [M] peut tout aussi bien être un vecteur qu'une base ou qu'un systeme de vecteurs
    Un vecteur nul peut plus particulierement se noter [0>>]
    Un vecteur unitaire peut plus particulierement se noter [V*>>]


    Lorsque les composantes d'un vecteur ou d'une base sont contravariantes on notera respectivement [V>] et [(M>]
    Lorsque les composantes d'un vecteur ou une base sont covariantes on notera respectivement [V<] et [(M<]


    Une composante de matrice est notée e{i,j}
    Plus particulierement une composante indefinie d'un vecteur est noté e{i}
    Une composante contravariante sera notée e{>i} s'il s'agit de la composante d'un vecteur ou notée e{>i,j} s'il s'agit de la composante d'une base
    Une composante covariante sera notée e{<i} s'il s'agit de la composante d'un vecteur ou notée e{<i,j} s'il s'agit de la composante d'une base


    Une "matrice" de changement de base sera notée
    [(E(F] = [(/F] . [(E]
    il s'agit de la "matrice" de changement de base de la "matrice" [(E] sur la base [(F]
    j'emploie les guillemets car selon cette notation on stipule que [(E(F] et [(E] et [(F] sont des bases
    Par consequent on peut etablir l'egalitée [(M] = [(E(F] où [(M] designe donc une base
    La "matrice" inverse de changement de base de la matrice [(E] sur la base [(F] est notée
    [(/E(F] = [(F(E] = [(/E] . [(F]
    La decomposition d'une matrice quelconque [E] sur une base [(F] se note [E(F] = [(/F] . [E]

    Par ailleurs on considere deux Lois de Compositions Internes (en abrégé L.C.I.) dans Rn pour n >= 3 notees X > ^
    que je décrirais dans le petit formulaire à suivre et transposables dans le calcul matriciel selon les expressions:
    [A>>] X [B>>] designe le produit vectoriel (cette loi-ci a déjà été décrite)
    [A>>] > [B>>] designe le produit planaire

    Considerant l'espace vectoriel Rn pour n >= 3 demuni de l'element neutre de l'addition c'est à dire demuni de l'element [0>>]
    on considere une Loi de Composition notée ^ selon l'expression:
    [A>>] ^ [B>>] designe le produit orthoplanaire

    Un repere de l'espace ponctuel sera noté {O(M} où O désigne l'origine du repere
    Ici le deuxieme terme " (M " designe obligatoirement une base


    Petit formulaire pratique

    On considere l'espace vectoriel euclidien Rn munis du produit vectoriel

    *********

    Soit un vecteur [V>] definis sur la base [(E] de sorte que v{>i} sont les composantes de ce vecteur sur la base [(E]
    et ce même vecteur [W>] definis sur la base [(F] de sorte que w{>i} sont les composantes de ce vecteur sur la base [(F]
    La "matrice" de changement de base de la base [(E] sur la base [(F] est donc donnée par [(E(F] = [(/F] . [(E]
    La "matrice" de changement de base de la base [(F] sur la base [(E] est donc donnée par [(F(E] = [(/E] . [(F] on obtiens donc:
    [V>] = [(F(E] . [W>] et [W>] = [(E(F] . [V>]

    *********

    Soit une base [(E] on considere sa base associée





    Pour des raisons de problème de longueur du topic et afin de concerver en toute securité celui-ci je vous prie respectueusement d'attendre la suite au fur et à mesure en completant

  4. #4
    inviteb3f6b757

    Re : Perception tridimensionnelle de l'espace? La reponse!

    je ne suis pas psy et par consequent je ne suis pas competent pour definir l'ensemble sur lequel est defini cet algebre)
    Evidemment il est toujours plus facile d'appliquer cet algebre en dehors de la psychologie mais cela reste concevable

    à present:ayant defini un ensemble E={e1,e2,e3,...,eu} d'axiomes(c'est à vous de les definir)
    cet ensemble E contiens donc u elements
    vous constituez l'ensemble de toutes ses parties P(E) celui-ci contenant l'ensemble vide Ø et l'ensemble E
    P(E) = { Ø , {e1} , {e2} , ... , {eu} , {e1,e2} , {e1,e3} ,..., E }
    cet ensemble P(E) contiens donc 2^u elements on pose n=2^u
    par ailleurs pour tout x de P(E) on note k(x) la quantite d'axiome qu'il contiens ainsi: k( {e1,e2} ) = 2


    Tout d'abord on traduit les operateurs logiques: "et" "ou" "=>" (CAD l'implication") "<=>" (CAD equivallence)
    avec la loi "union" que l'on note "+" et la loi "intersection" que l'on note "."

    par ailleurs on note le complementaire de X en utilisant la notation X* pour explication
    par exemple E={ e1, e2 ,e3 } donc P(E)= { Ø ,{e1},{e2},{e3},{e1,e2},{e1,e3 },{e2,e3}, E }
    ainsi par exemple si x={e1} alors son complementaire x*= {e2,e3}

    On obtiens:

    X "ou" Y se traduit par: X + y

    X "et" Y se traduit par: X . y

    X "=>" Y se traduit par: x* + y

    X "<=>" Y se traduit par: ( x + y* ) . ( x* + y )

    enfin on calcule la valeur de verité d'une phrase logique:
    par exemple si la phrase logique est ( x + y* ) . ( x* + y )
    sa valeur est donnée par:

    k ( ( x + y* ) . ( x* + y ) ) / n


    Algebre de Boole 2eme partie
    Jusqu'à present on a vu comment travailler sur un ensemble fini à present construisons la possibilitée de travailler sur un ensemble dont on peut toujours augmenter la quantité de ses axiomes
    on utilise l'ensemble des relatifs Z pour le calcul de la valeur de verite on emploie une formule differente car Z est infini

    La valeur de verite sera donnée par l'expression : 1 - 1/k(X)
    *ormis lorsque X=0 dans ce cas on pose la valeur 0
    en fait lorsque X= 0 on obtiens (Je vais m'expliquer) k(X)=0 par consequent lorsque k(X) = 1 et k(X) = 0 on obtiens la même valeur nulle de verité
    *ormis Lorque X=1 on n'attribue pas de valeur à k(X) on obtiens la valeur de verité 1
    *ormis lorsque X < 0 dans ce cas la valeur de verite sera 1

    Le complementaire de x que l'on note x* est donné tout simplement en effectuant la soustraction usuelle 1 - X par exemple pour X=3 on obtiens 1 - 3 = -2
    donc si X = 3 alors son complementaire est X* = -2 ( par consequent selon ce qu'on viens de dire sa valeurs de verite vaut 1)

    cas1) on considere pour quelque soit X est un entier relatif
    X+0=X
    X+1=1
    X+X=X
    X+X*=1

    X.0=0
    X.1=X
    X.X=X
    X.X*=0

    cas2)Lorsque X et Y sont superieurs ou egal à 2
    A tout entier naturel superieur ou egal à 2 (donc inclus dans Z) on fait correspondre des ensembles d'entiers naturels inclus dans N*(c'est à dire demuni de l'element 0 à ne pas confondre avec le symbole complementaire)selon le principe tres simple:

    2 -> {1}
    3 -> {2}
    4 -> {1,2}
    5 -> {3} en fait on fait entrer un nouveau entier naturel car on a exploité tout ce que l'on pouvait construire comme ensembles avec les autres entiers naturels inferieurs à celui-ci
    6 -> {1,3}
    7 -> {2,3}
    8 -> {1,2,3}
    9 -> {4} on fait donc entrer l'entier naturel 4 qui suit directement les trois premiers car on a exploité tout ce que l'on pouvait construire comme ensembles avec les autres entiers naturels inferieurs à celui-ci
    10 -> {1,4} on a compris le principe ...

    on utilise les mêmes operateurs que precedemment + et .
    ainsi donc par exemple : {2,3} + {4} = {2,3,4} donc on peut ecrire 7+9=15
    car en appliquant la procedure 15 -> {2,3,4}
    {2,3} . {4} = Ø donc on peut ecrire 7.9=0 car on fait correspondre Ø à 0

    cas 3)Lorsque X et Y sont inferieurs à 0
    à present considerons X et Y tous deux negatifs
    pour ce faire on applique le theorême:
    X + Y = - ( X* . Y* )*
    X . Y = - ( X* + Y* )*

    dans ce cas le calcul se ramene comme precedemment puisque X* et Y* sont superieurs à zero

    cas4)Lorsque X est superieur ou egal à 2 et Y inferieur à 0
    on determine l'ensemble qui correspond à X et que l'on note:
    { x1 , x2 , ... , xp }
    on determine l'ensemble correspondant à Y* (c'est possible puisque ici Y* est positif) et que l'on note:
    { z1 , z2 , ... , zq }
    Ensuite on determine l'ensemble correspondant à X . Y* dans ce cas soit X . Y* = 0 et donc cet ensemble est Ø soit on le note:
    { t1 , t2 , ... , tm }

    à present dans le langage des ensembles on considere la notation A \ B qui signifie A ormis B et n'est possible que si B est inclus dans A (pour ce qui nous interesse on tombera toujours sur cette possibilite)
    pour determiner A \ B il suffit de construire l'ensemble composée de tous les elements de A qui n'appartienne pas à l'ensemble B


    *premier sous cas lorsque X . Y* = 0 on obtiens X+Y=Y et X.Y=X

    *deuxieme sous cas lorsque X . Y* = Y* on obtiens X + Y = 1
    on recherche donc la valeur de X . Y cette valeur est positive et correspond à un ensemble que l'on doit determiner et que l'on note:
    { w1 , w2 , ... , wl }
    on obtiens: { w1 , w2 , ... , wl } = { x1 , x2 , ... , xp } \ { t1 , t2 , ... , tm }


    *troisieme sous cas lorsque X . Y* = X on obtiens X . Y = 0
    on recherche donc la valeur de V = X + Y (ici on obtiens V est inferieur à 0 )
    on obtiens V* correspond à l'ensemble { u1 , u2 , ... , uk } = { z1 , z2 , ... , zq } \ { t1 , t2 , ... , tm }
    il suffit donc de determiner la valeur positive qui correspond à V* puis appliquer la soustraction usuelle 1 - (V*)

    *quatrieme sous cas (j'emploi le symbole ± pour dire non egal) lorsque X . Y* ± 0 et lorsque X . Y* ± X et lorsque X . Y* ± Y*

    on recherche donc la valeur de V = X + Y (ici on obtiens V est inferieur à 0 )
    on obtiens V* correspond à l'ensemble { u1 , u2 , ... , uk } = { z1 , z2 , ... , zq } \ { t1 , t2 , ... , tm }
    il suffit donc de determiner la valeur positive qui correspond à V* puis appliquer la soustraction usuelle 1 - V*

    on recherche donc la valeur de W = X . Y elle correspond à un ensemble que l'on doit determiner et que l'on note:
    { w1 , w2 , ... , wl }
    on obtiens: { w1 , w2 , ... , wl } = { x1 , x2 , ... , xp } \ { t1 , t2 , ... , tm }


    Algebre de Boole 3eme partie: Definition et ce que l'on verifie

    terme "SSI" litteralement "si et seulement si"

    terme "QQS" litteralement "quelque soit"

    terme " ± " litteralement "non egal"

    On dit qu'un espace algebrique [ E , + , . ] est une algebre de Boole SSI les lois + et .
    1)sont commutatives
    2)sont associatives
    3)forment une distribution
    4)forment une idempotence

    de sorte que:

    QQS X dans E on obtiens:
    l'endobijection dans E que l'on note X* telle que:
    X* ± X
    (X*)* = X
    0* = 1
    1* = 0

    X + X* = 1
    X . X* = 0
    X + 0 = X
    X . 1 = X
    X + X = X
    X . X = X
    X + 1 = 1
    X . 0 = 0

    QQS X et QQS Y dans E on obtiens:

    X + Y = Y + X et X . Y = Y . X

    X + ( X . Y ) = X et X . ( X + Y ) = X

    ( X + Y ) + ( X . Y ) = X + Y et ( X . Y ) . ( X + Y ) = X . Y

    ( X + Y )* = X* . Y* et ( X . Y )* = X* + Y*

    X . Y = ( X + Y* ) . Y et X + Y = ( X . Y* ) + Y

    QQS X et QQS Y et QQS Z dans E on obtiens:

    ( X + Y ) + Z = ( X + Z ) + ( Y + Z )

    ( X . Y ) . Z = ( X . Z ) . ( Y . Z )

  5. A voir en vidéo sur Futura
  6. #5
    myoper
    Modérateur

    Re : Perception tridimensionnelle de l'espace? La reponse!

    Citation Envoyé par Causalement Voir le message
    Pourquoi avons nous une perception tridimensionnelle de l'espace?

    Cette reponse est d'ordre purement mathematique et de son interdependance avec notre perception , [...] d'autre part avec la maniere la plus logique pour qu'une structure possedant une quantité d'information puisse organiser celle-ci . Il s'agira d'une preuve suffisante et inattaquable sur la raison pour laquelle nous percevons un monde tridimensionnel ...
    Bonjour.

    Il faudrait plutôt poser : "pourquoi une structure modélisée tel que suit et possédant une quantité d'information peut permettre d'organiser ces informations en structure tridimensionnelle".

    Mais c'est un peu circulaire ...

    Il vous manque la partie biologique et la preuve "qu'elle" pourrait organiser et traiter les informations de la façon dont vous l'exposez, puis qu'elle le fait, pour avoir un rapport avec les perceptions.

  7. #6
    Médiat

    Re : Perception tridimensionnelle de l'espace? La reponse!

    Bonjour,

    Je n'ai pas tout lu, mais je m'étonne de lire :

    On considere une generalisation dans l'espace vectoriel euclidien Rn
    Soient deux vecteurs V = ( v1 , v2 , ... , Vn ) et W = ( W1 , W2 , ... , Wn ) de l'espace vectoriel euclidien Rn
    et le produit vectoriel Z = ( Z1 , Z2 , ... , Zn ) = V X W
    on obtiens Zi = S(i,j,k) . Vj . Wk
    autre exemple pour n=4 on obtiens:
    Je m'interroge, car une conséquence bien connue du théorème de Hurwitz interdit la construction d'un produit vectoriel sur , par exemple.
    Je suis Charlie.
    J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse

  8. #7
    Deedee81
    Modérateur

    Re : Perception tridimensionnelle de l'espace? La reponse!

    Salut,

    Citation Envoyé par Médiat Voir le message
    Je m'interroge, car une conséquence bien connue du théorème de Hurwitz interdit la construction d'un produit vectoriel sur , par exemple.
    Je confirme. Mais le produit dans R4 tel que définit par Causalement n'est pas à proprement parler un produit vectoriel.

    Je n'ai toutefois pas étudié le résultat. Ce sont bien des vecteurs ? Est-ce utile ? Etc... Je suis quelque peu découragé par l'énorme tartine
    "Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)

  9. #8
    GrisBleu

    Re : Perception tridimensionnelle de l'espace? La reponse!

    Citation Envoyé par Causalement Voir le message
    Pourquoi avons nous une perception tridimensionnelle de l'espace?
    Réponse simple: parcequ'on a 2 yeux
    Réponse plus complexe: parcequ'on a 2 yeux et un cerveau qui modélise les choses. Par exemple, il y a des objets dont nos 2 yeux voient 95% et 5% ne sont vus que par un oeil. C'est bien le cerveau qui prolonge l'impression de profondeur
    ++

  10. #9
    invite6754323456711
    Invité

    Re : Perception tridimensionnelle de l'espace? La reponse!

    Citation Envoyé par GrisBleu Voir le message
    Réponse simple: parcequ'on a 2 yeux
    Cela est me semble t-il un peu plus complexe, sinon qu'advient-il au non voyant de naissance ?

    Une présentation des réflexions de Poincaré : Inventer l'espace

    Patrick

  11. #10
    inviteb3f6b757

    Re : Perception tridimensionnelle de l'espace? La reponse!

    Salutation, merci

    je vais essayer de réduire en précisant les enjeux ! Vraiment désolé pour mon français.

    L'avantage de l'utilisation de l'algebre de l'espace vectoriel euclidien R3 munis du produit vectoriel pour le traitement de l'information

    L'avantage de l'utilisation de cet algebre est l'economie de traitement des informations que l'on peut faire.
    Par le terme "economie" je veut dire par là, la façon la plus simple et efficace de classer des informations variables et invariables en mettant des groupes d'informations en relation les unes des autres plutôt que se retrouver avec un ensemble d'informations dont on ne peut que constater qu'elle forme un tout sans pouvoir leur donner un sens particulier quelconque.
    Imaginez une machine qui ne ferait que produire des 0 et des 1 sans cesse depuis toujours et pour toujours.
    Quel sens pourrait-on donner à cette information continue sans queue ni tête?
    Comment extraire des parties de ce maelstrom numerique?
    Comment classer ces parties?
    Sur quels critères je choisis mes informations invariantes?
    Comment les mettres en relations les unes des autres?
    Quel rapport y a t-il entre la notion du temps et le choix des structures numériques qui se prêtent plus au classement des informations variables(car en fait l'idée d'une machine produisant des 0 et des 1 n'est pas appropriée mieux vaudrait parler d'un message figé pour toujours)?
    Certaines de ces questions seront le sujet de la conclusion mais à présent commençons par le commencement:

    Nous disposons de 12 informations s'exprimant sous la forme de nombres réels celle-ci restent constantes elles constituent une partie des informations concernant la structure invariante de l'objet "physique" dont il est question. Par ailleurs nous disposons de 6 informations variables elles constituent une partie des informations concernant la structure variable de cet objet.
    On utilise au choix (parmis toutes les informations invariantes) ce paquet de 12 informations invariables mais de telle sorte que ce paquet puisse constituer un repere de l'espace ponctuel R3 c'est à dire que l'on puisse entre autre constituer une base de l'espace vectoriel R3, les bases s'expriment sous la forme de matrices 3X3 et telles que leurs determinant est non nul.
    On utilise au choix (parmis toutes les informations variables) 2 paquets de 3 informations variables en les exprimant sous la forme d'un points de l'espace ponctuel R3.
    je peut etablir aisement une relation entre l'un de ces paquets de 3 informations variables et le repere en considerant que ce paquet de 3 informations sont les positions de ce point par rapport au repere
    puis construire un repere de l'espace ponctuel R3 à l'aide d'un minimum d'informations uniquement (que je doit bien evidemment calculer) et de telle sorte qu'en utilisant l'algebre dont il est question ici je puisse construire un repere tel que les 3 autres informations invariables restantes non encore utilisées represente la position du point par rapport à cet autre repere. Par ailleurs c'est cet algebre qui garantit le minimum d'information que l'on doit calculer(je vous livre la procedure d'execution plus loin)

    De fait alors qu'initialement j'avais un ensemble d'informations invariables et variables sans pouvoir les mettre en relation les unes des autres un peu comme pourrait l'être une bibliothèque dont tous les livres seraient melangés j'ai pu etablir une methode qui me les classifie et met en relation les informations invariables avec celles variables par contre en contre partie (c'est le prix à payer) j'ai dut determiner une certaine quantité de parametres

    En ce qui concerne l'algebre de Boole j'ai réecrit afin d'être plus clair:
    si vous reprenez l'algebre de Boole sur un ensemble quelconque de cardinal 2^u avec u entier naturel quelconque ou sur un ensemble infini (dans mon exemple l'ensemble Z) vous pouvez attribuer n'importe qu'elle valeur aux propositions A,B et C
    ( ( A "OU" B ) "ET" ( A => C ) "ET" ( B => C ) ) => C

    Je réecrit la totalité avec l'endobijection X* afin de ne pas confondre avec l'emploi des elements de Z

    Dans l'intention que cela puisse vous être utile

    conventions

    terme " ± " litteralement "non egal"

    terme "SSI" litteralement "si et seulement si"

    terme "QQS" litteralement "quelque soit"


    Algebre de Booleéfinition,je précise que ce n'est pas de moi mais de Boole logicien du XIX ieme siecle)



    On dit qu'un espace algebrique [ E , + , . ] est une algebre de Boole SSI les lois + et .
    1)sont commutatives
    2)sont associatives
    3)forment une distribution
    4)forment une idempotence

    De sorte que:

    QQS X dans E on obtiens:
    l'endobijection dans E que l'on note X* telle que:
    X* ± X
    (X*)* = X
    0* = 1
    1* = 0

    X + X* = 1
    X . X* = 0
    X + 0 = X
    X . 1 = X
    X + X = X
    X . X = X
    X + 1 = 1
    X . 0 = 0

    QQS X et QQS Y dans E on obtiens:

    X + Y = Y + X et X . Y = Y . X

    X + ( X . Y ) = X et X . ( X + Y ) = X

    ( X + Y ) + ( X . Y ) = X + Y et ( X . Y ) . ( X + Y ) = X . Y

    ( X + Y )* = X* . Y* et ( X . Y )* = X* + Y*

    X . Y = ( X + Y* ) . Y et X + Y = ( X . Y* ) + Y

    QQS X et QQS Y et QQS Z dans E on obtiens:

    ( X + Y ) + Z = ( X + Z ) + ( Y + Z )

    ( X . Y ) . Z = ( X . Z ) . ( Y . Z )


    Traduction des operateurs logiques:
    On obtiens:

    X "ou" Y se traduit par: X + Y

    X "et" Y se traduit par: X . Y

    X "=>" Y se traduit par: X* + Y

    X "<=>" Y se traduit par: ( X + Y* ) . ( X* + Y )

    ce qui sur E={0,1} donne:

    0 + 0 = 0 Faux "ou" Faux = faux
    0 + 1 = 1 Faux "ou" vrai = vrai
    1 + 0 = 1 vrai "ou" Faux = vrai
    1 + 1 = 1 vrai "ou" vrai = vrai


    Algebre de Boole:Ensemble fini et principe de valeur de verite

    On peut définir tout algèbre de Boole pour tout ensemble de cardinal n tel qu'il existe u est un entier naturel on obtient: n = 2^u

    Il s'agit en fait des opérations "union" et "intersection" que l'on utilise avec les éléments de l'ensemble de toutes les parties d'un ensemble E de cardinal n
    et en considerant l’élément "ensemble vide" est de valeur: faux et l’élément "ensemble E" est de valeur: vrai
    tous les autres éléments sont ni vrais ni faux
    On peut donner une valeur de vérité:
    la valeur de vérité de la sous partie de cardinal k sera donnée par l'expression:
    k / n
    par conséquent si k = 0 on obtient la valeur 0
    si k = n on obtient la valeur 1

    Pour tout ensemble fini de cardinal 2^u avec u entier naturel
    ayant defini un ensemble E={e1,e2,e3,...,eu} d'axiomes(c'est à vous de les definir)
    cet ensemble E contiens donc u elements
    vous constituez l'ensemble de toutes ses parties P(E) celui-ci contenant l'ensemble vide Ø et l'ensemble E
    P(E) = { Ø , {e1} , {e2} , ... , {eu} , {e1,e2} , {e1,e3} ,..., E }
    cet ensemble P(E) contiens donc 2^u elements on pose n=2^u
    par ailleurs pour tout x de P(E) on note k(x) la quantite d'axiome qu'il contiens ainsi: k( {e1,e2} ) = 2

    par ailleurs on note le complementaire de X en utilisant la notation X* pour explication
    par exemple E={ e1, e2 ,e3 } donc P(E)= { Ø ,{e1},{e2},{e3},{e1,e2},{e1,e3 },{e2,e3}, E }
    ainsi par exemple si x={e1} alors son complementaire x*= {e2,e3}

    Algebre de Boole:Traduction des operations sur les ensembles

    "union" se traduit par +

    "intersection" se traduit par .

    X "ou" Y se traduit par: X + Y

    X "et" Y se traduit par: X . Y

    X "=>" Y se traduit par: X* + Y

    X "<=>" Y se traduit par: ( X + Y* ) . ( X* + Y )


    Algebre de Boole:Espace infini [Z , + , . ]

    Jusqu'à present on a vu comment travailler sur un ensemble fini à present construisons la possibilitée de travailler sur un ensemble dont on peut toujours augmenter la quantité de ses axiomes
    on utilise l'ensemble des relatifs Z pour le calcul de la valeur de verite on emploie une formule differente car Z est infini

    La valeur de verite sera donnée par l'expression : 1 - 1/k(X)
    *ormis lorsque X=0 dans ce cas on pose la valeur 0
    en fait lorsque X= 0 on obtiens (Je vais m'expliquer) k(X)=0 par consequent lorsque k(X) = 1 et k(X) = 0 on obtiens la même valeur nulle de verité
    *ormis Lorque X=1 on n'attribue pas de valeur à k(X) on obtiens la valeur de verité 1
    *ormis lorsque X < 0 dans ce cas la valeur de verite sera 1

    Le complementaire de x que l'on note x* est donné tout simplement en effectuant la soustraction usuelle 1 - X par exemple pour X=3 on obtiens 1 - 3 = -2
    donc si X = 3 alors son complementaire est X* = -2 ( par consequent selon ce qu'on viens de dire sa valeurs de verite vaut 1)

    cas1) on considere pour quelque soit X est un entier relatif
    X+0=X
    X+1=1
    X+X=X
    X+X*=1

    X.0=0
    X.1=X
    X.X=X
    X.X*=0

    cas2)Lorsque X et Y sont superieurs ou egal à 2
    A tout entier naturel superieur ou egal à 2 (donc inclus dans Z) on fait correspondre des ensembles d'entiers naturels inclus dans N*(c'est à dire demuni de l'element 0 à ne pas confondre avec le symbole complementaire)selon le principe tres simple:

    2 -> {1}
    3 -> {2}
    4 -> {1,2}
    5 -> {3} en fait on fait entrer un nouveau entier naturel car on a exploité tout ce que l'on pouvait construire comme ensembles avec les autres entiers naturels inferieurs à celui-ci
    6 -> {1,3}
    7 -> {2,3}
    8 -> {1,2,3}
    9 -> {4} on fait donc entrer l'entier naturel 4 qui suit directement les trois premiers car on a exploité tout ce que l'on pouvait construire comme ensembles avec les autres entiers naturels inferieurs à celui-ci
    10 -> {1,4} on a compris le principe ...

    on utilise les mêmes operateurs que precedemment + et .
    ainsi donc par exemple : {2,3} + {4} = {2,3,4} donc on peut ecrire 7+9=15
    car en appliquant la procedure 15 -> {2,3,4}
    {2,3} . {4} = Ø donc on peut ecrire 7.9=0 car on fait correspondre Ø à 0

    cas 3)Lorsque X et Y sont inferieurs à 0
    à present considerons X et Y tous deux negatifs
    pour ce faire on applique le theorême:
    X + Y = - ( X* . Y* )*
    X . Y = - ( X* + Y* )*

    dans ce cas le calcul se ramene comme precedemment puisque X* et Y* sont superieurs à zero

    cas4)Lorsque X est superieur ou egal à 2 et Y inferieur à 0
    on determine l'ensemble qui correspond à X et que l'on note:
    { x1 , x2 , ... , xp }
    on determine l'ensemble correspondant à Y* (c'est possible puisque ici Y* est positif) et que l'on note:
    { z1 , z2 , ... , zq }
    Ensuite on determine l'ensemble correspondant à X . Y* dans ce cas soit X . Y* = 0 et donc cet ensemble est Ø soit on le note:
    { t1 , t2 , ... , tm }

    à present dans le langage des ensembles on considere la notation A \ B qui signifie A ormis B et n'est possible que si B est inclus dans A (pour ce qui nous interesse on tombera toujours sur cette possibilite)
    pour determiner A \ B il suffit de construire l'ensemble composée de tous les elements de A qui n'appartienne pas à l'ensemble B


    *premier sous cas lorsque X . Y* = 0 on obtiens X+Y=Y et X.Y=X

    *deuxieme sous cas lorsque X . Y* = Y* on obtiens X + Y = 1
    on recherche donc la valeur de X . Y cette valeur est positive et correspond à un ensemble que l'on doit determiner et que l'on note:
    { w1 , w2 , ... , wl }
    on obtiens: { w1 , w2 , ... , wl } = { x1 , x2 , ... , xp } \ { t1 , t2 , ... , tm }


    *troisieme sous cas lorsque X . Y* = X on obtiens X . Y = 0
    on recherche donc la valeur de V = X + Y (ici on obtiens V est inferieur à 0 )
    on obtiens V* correspond à l'ensemble { u1 , u2 , ... , uk } = { z1 , z2 , ... , zq } \ { t1 , t2 , ... , tm }
    il suffit donc de determiner la valeur positive qui correspond à V* puis appliquer la soustraction usuelle 1 - (V*)

    *quatrieme sous cas (j'emploi le symbole ± pour dire non egal) lorsque X . Y* ± 0 et lorsque X . Y* ± X et lorsque X . Y* ± Y*

    on recherche donc la valeur de V = X + Y (ici on obtiens V est inferieur à 0 )
    on obtiens V* correspond à l'ensemble { u1 , u2 , ... , uk } = { z1 , z2 , ... , zq } \ { t1 , t2 , ... , tm }
    il suffit donc de determiner la valeur positive qui correspond à V* puis appliquer la soustraction usuelle 1 - V*

    on recherche donc la valeur de W = X . Y elle correspond à un ensemble que l'on doit determiner et que l'on note:
    { w1 , w2 , ... , wl }
    on obtiens: { w1 , w2 , ... , wl } = { x1 , x2 , ... , xp } \ { t1 , t2 , ... , tm }

    Salutation

  12. #11
    myoper
    Modérateur

    Re : Perception tridimensionnelle de l'espace? La reponse!

    Citation Envoyé par Causalement Voir le message
    ......
    J'ai peut être mal lu mais je ne vois toujours pas la relation avec la façon dont le cerveau (et ses capteurs) permet une représentation3D de l'espace.

  13. #12
    ansset
    Animateur Mathématiques

    Re : Perception tridimensionnelle de l'espace? La reponse!

    Citation Envoyé par Causalement Voir le message
    je vais essayer de réduire en précisant les enjeux !
    Salutation
    heuu ! heureusement que tu as "reduit" !!
    j'ai craqué très vite dans la lecture, sans d'ailleurs y voir un rapport avec le topic.

  14. #13
    rik 2

    Re : Perception tridimensionnelle de l'espace? La reponse!

    Citation Envoyé par Causalement Voir le message
    Pourquoi avons nous une perception tridimensionnelle de l'espace?
    peut-être parce que l'espace (ordinaire) est tridimensionnel.

  15. #14
    rik 2

    Re : Perception tridimensionnelle de l'espace? La reponse!

    avant de parler de perception tridimensionnelle de l'espace ne faudrait-il pas parler de la perception de l'espace; Poincaré en a parlé dans je ne sais plus quel ouvrage; il distinguait la perception visuelle et la perception tangible mais arrivait effectivement à la perception tridimensionnelle: longueur, hauteur, profondeur. Qu'on arrive ensuite à une "image", une représentation par un langage mathématique, à savoir un espace vectoriel de dimension trois, pourquoi pas, mais il faut savoir qu'il s'agit d'une image mentale de la réalité.
    Je suis rik.

Discussions similaires

  1. reconstitution tridimensionnelle
    Par invitec000a86e dans le forum Paléontologie
    Réponses: 3
    Dernier message: 07/11/2010, 23h55
  2. La perception
    Par invite9789dee0 dans le forum Psychologies (archives)
    Réponses: 2
    Dernier message: 07/11/2010, 21h50
  3. machine de mesure tridimensionnelle
    Par invite1a3598e0 dans le forum Technologies
    Réponses: 1
    Dernier message: 14/12/2009, 08h18
  4. perception de l'espace par apport au sol?? et dans l'espace??
    Par invite5d599fc8 dans le forum Archives
    Réponses: 4
    Dernier message: 11/09/2005, 22h11