En mettant de coté, les fautes de français, ca dépend si l'expérimentateur lorsqu'il pose la règle, il désigne les règles des cartes du jeu, ou s'il désigne la situation des cartes sur la table. Le fait de comprendre qu'on se place dans telle ou telle situation, ne permet pas de savoir effectivement qu'elle a-t-elle vraiment été.
Et même s'il parle de la situation des cartes sur les tables, il faut préciser si "coté" désigne le coté que voit la personne testée, ou s'il désigne aussi la face cachée (ce qui revient au même que de parler des cartes en tant que carte du jeu en généralité en dehors de la situation de l'expérience). Dans ce dernier cas, en plus des cartes A et celle qui comporte le chiffre impair (3), il faut aussi retourner le 2 pour s'assurer qu'il y a une voyelle dans la face cachée, ainsi que le B pour s'assurer qu'il n'y a pas de chiffre pair dans l'autre face.
Le problème avec cette expérience, c'est qu'elle est idéaliste, c'est à dire les idées sont partout et que tout est idée. Un énoncé est une idée, une idée est un énoncé, c'est équivalent. Une idée pris dans le sens de non subjectif donc quelque chose de précis, non ambivalent. Donc quelle idée ? Celle que j'ai choisi, que j'ai compris. Donc en plus du coté idéaliste, l'expérience est aussi normative.
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