Ca change rien au fait que je n'ai pas eu de réponse à ma question :P ! Quelqu'un peut-il encore m'aider (stppp d10g3n !)?
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Ca change rien au fait que je n'ai pas eu de réponse à ma question :P ! Quelqu'un peut-il encore m'aider (stppp d10g3n !)?
Bonjour à tous !
Voilà, je suis nouveau sur ce forum, que j'ai découvert en cherchant justement un forum où l'on parle de philosophie des sciences, de logique et de choses étranges de ce genre (les forums ayant ces domaines pour objet ont l'air de se compter sur les doigts d'une main !).
Bon, j'expose ma situation rapidement. J'ai obtenu mon bac S spécialité physique-chimie l'année dernière, et je suis aujourd'hui en hypokhâgne AL à Lakanal, à Sceaux.
Et c'est là que les choses commencent à se corser. Depuis la première, je sais que ce que j'aimerais vraiment étudier, ce qui me semble vraiment intéressant, c'est la philosophie des sciences, la logique, la philosophie analytique et tous les domaines connexes.
Mais voilà, le problème est précisément que je suis dans une filière où l'on étudie la philosophie, certes, mais une filière exclusivement littéraire.
Or le moment où on doit choisir notre équivalence avec l'université pour l'année prochaine est venu. Personnellement, j'aimerais obtenir une double-équivalence, philosophie et Lettres modernes (parce que j'aime beaucoup la littérature, et surtout parce que les débouchés sont plus assurés qu'en philosophie, en témoignent les taux de réussite aux concours de l'enseignement, mais, vous l'aurez compris, ce n'est pas ce que je voudrais faire par dessus tout).
Alors voilà, ma principale question : puis-je continuer dans cette filière, en allant en khâgne (spécialité Lettres modernes ou philosophie), valider mes équivalences (en espérant que je puisse valider Lettres modernes et philosophie, à Paris IV), tenter le concours de l'ENS LSH (Lyon donc, que j'ai des chances d'avoir, l'année prochaine ou plus vraisemblablement dans 2 ans, au bout de 2 khâgnes - mais que j'ai également des risques de ne pas avoir, plus encore...) ?
En clair, et en supposant que je choisisse d'aller en philosophie au final quoi qu'il arrive (en faisant ou non, en plus, des Lettres modernes à Paris IV aussi pour assurer l'avenir) : Puis-je continuer en AL, pour tenter le concours de l'ENS LSH (pas Ulm, n'étudiant pas de langue ancienne), école qui m'intéresse énormément, puis après me réengager dans un parcours de philosophie des sciences/logique (facile si j'intègre l'ENS je pense, mais est-ce possible si j'échoue au concours, et que je me retrouve à Paris IV en philosophie sans avoir reçu de formation scientifique depuis ma terminale S (!) ?).
Ce qui est clair, cependant :
- c'est que la motivation est là,
- c'est que j'ai une assez grande capacité de travail,
- c'est que je me suis engagé en AL parce que j'adore les matières littéraires, en me disant que de toute façon, aucune prépa ne me semblait être parfaitement adéquate à mon projet, et que la AL ou la BL me semblaient être les filières les plus adaptées.
Voilà, désolé pour ce long message pas très clair.
En espérant que vous n'ayez pas trop à vous répéter (j'ai lu attentivement tous les posts trois fois, sans mauvaise foi !).
Benjamin, qui a dû mal à s'y retrouver dans tous les parcours proposés à l'université.
PS : neojousous, je ne pense pas me tromper en pensant que tu es le même que sur hardware, salut à toi ! Je suis réellement imprerssionné par les connaissances que tu sembles avoir développées en épistémologie/logique, et cela me fait encore plus douter de la pertinence du choix de la prépa pour déboucher sur l'épistémologie/la logique. Heureux de te recroiser, en tout cas !
Eh bien! J'espère qu'une âme charitable saura vous aider dans votre choix. Pour ma part et avec votre message, je viens de découvrir les knâgneux! Vraiment surprenant toute cette terminologie pour les bacs en philo.
Salut,
Euh... C'est seulement le terme utilisé pour la deuxième année de prépa L je crois bien... Enfin pas vraiment spécifique à la philo.
Autrement, je ne pense pas qu'il faille un niveau scientifique particulier pour les filières d'épistémo (pour la L3 de philo mention logique à Paris I par exemple) sachant que la majorité des étudiants viennent de L et qu'à part des cours d'informatiques et de maths (je doute que ca puisse voler plus haut qu'une term S), les sortant de L2 ne devraient pas avoir un niveau faramineux. Enfin je dis ca, je dis rien sachant que je suis encore lycéen; un petit tour sur le site de la sorbonne (Paris I - sa licence de logique me semble plus proche de l'épistémo que la licence de philo/socio à Paris IV):
http://www.univ-paris1.fr/formation/...ubrique57.html
Pour d'autres infos, je suis également intéressé !
GFD.
Salut Gottfer,
je vais sans doute faire sourire par l'ignorance que ems propos sous-tendent, mais pour comprendre pleinement les rares problématiques épistémologiques que je connais touchant aux sciences empiriques (ex la falsifiabilité de Popper) il m'apparaît quasi indispensable d'avoir "pratiqué" un peu les sciences avant.
C'est d'ailleurs aussi, en substance, ce que m'avait dit mon enseignant de philo des sciences lorsque je l'avais questionné sur la provenance des étudiants de son cursus (il était encore en thèse).
Vlad
Oui voilà ! La légende prétend que Napoléon, en examinant des élèves de prépa littéraire (l'équivalent à l'époque, plutôt), s'exclama : "Qu'est-ce que c'est que ces cagneux !" (en comparaison avec les élèves de prépa scientifique, se destinant surtout à Polytechnique, école militaire exigeant une pratique sportive, et donc plus solides physiquement !). Le nom resta donc, avec l'orthographe fantaisiste (on aime beaucoup les k et les ^ en prépa, voci un pêle-mêle du jargon : un khârré, un khûbe, une khôlle, un khôncours etc.).Euh... C'est seulement le terme utilisé pour la deuxième année de prépa L je crois bien... Enfin pas vraiment spécifique à la philo.
Oui, sûr que j'irai à Paris I si je dois un jour aller à la fac à Paris, et non pas à Paris IV (mais bon, j'ai choisi Paris IV juste pour des facilités pratiques, et sur les conseils de nos professeurs, parce que cette université propose tous les autres cursus littéraires, donc ça permet d'avoir le choix).Autrement, je ne pense pas qu'il faille un niveau scientifique particulier pour les filières d'épistémo (pour la L3 de philo mention logique à Paris I par exemple) sachant que la majorité des étudiants viennent de L et qu'à part des cours d'informatiques et de maths (je doute que ca puisse voler plus haut qu'une term S), les sortant de L2 ne devraient pas avoir un niveau faramineux. Enfin je dis ca, je dis rien sachant que je suis encore lycéen; un petit tour sur le site de la sorbonne (Paris I - sa licence de logique me semble plus proche de l'épistémo que la licence de philo/socio à Paris IV):
http://www.univ-paris1.fr/formation/...ubrique57.html
Pour d'autres infos, je suis également intéressé !
Je te remercie pour ces précisions. Apparemment, je ne me suis pas tant trompé de filière que ça, donc. Mais bon après le but serait, comme neojousous, d'être prof dans le supérieur ou chercheur, donc mieux vaut-il être le mieux armé possible. Et si on fait de la philososphie des sciences, on parle des sciences, donc il vaut mieux connaître les sciences elles-mêmes aussi (quoi de plus détestable que ces gens qui parlent de ce qu'ils ne connaissent pas, ou ces philosophes qui font dire tout et n'importe quoi au théorème de Godel, à la Relativité ou à la Mécanique quantique ?).
Merci à toi GottferDamnt !
PS : Désolé à Vladzol pour le squattage de son topic .
Salut Benstein,
à vrai dire tu dois dejà y avoir pensé mais ce que je te conseillerais c'est tout simplement de trouver sur le net les mails des responsables des filières qui t'interessent et de leur écrire, voir de leur rendre visite, en leur présentant ton cas.
Sinon pour le squattage du topic, pas de pb, disons que selon moi ca et un certain nombre d'interventions précédentes prouvent plutôt que les études d'épistémo méritent un post-it dans cette partie du forum...
Vlad
Oui, très bonne idée ! A vrai dire, je n'y avais jamais pensé.Envoyé par Vladzolà vrai dire tu dois dejà y avoir pensé mais ce que je te conseillerais c'est tout simplement de trouver sur le net les mails des responsables des filières qui t'interessent et de leur écrire, voir de leur rendre visite, en leur présentant ton cas.
Bref, tout s'éclaire pour moi maintenant. J'ai eu la confirmation, hier, qu'en étant en hypokhâgne, on pouvait demander (et obtenir...) des équivalences dans les matières qu'on étudiait. Donc je peux demander philosophie (pour tenter justement d'arriver à travailler dans le domaine de l'épistémologie/la logique, ou devenir tout simplement professeur de philosophie au lycée) et Lettres modernes (pour assurer l'avenir).
Et j'écrirai la semaine prochaine, donc, aux responsables des filières qui m'intéressent pour avoir leur opinion.
Merci Vladzol
PS : Ne me prenez pas pour un ingrat si de nouveaux messages sont postés dans la semaine sans que je ne réponde, c'est tout simplement parce que je repars ce soir pour Paris, et que je n'ai pas internet là-bas (heureusement, d'ailleurs !).
J'ai aussi été voir vite fait le forum proposé par l'étudiant en logique à Paris I (si je ne me tromp pas), qui a en effet donné des informations _très_ précieuses - comme l'a dit neojousous -, mais bon il ne m'a pas l'air très dynamique, et il a même l'air un peu mort...
Je ne connaissais pas le livre de Pierre Jacob De Vienne à Cambridge, et j'aimerais donc le lire. Mais j'ai beau chercher sur internet, il m'a l'air d'être épuisé partout. Quelqu'un aurait-il une idée pour que je me le procure ?
Quant aux Neufs essais logico-philosophiques de Quine, je les ai achetés il y a peu, mais je n'ai pas encore eu le temps de les lire. Les vacances approchent, et je vais donc pouvoir m'y mettre : ceci dit, pensez-vous que sans connaissances en logique (on n'étudie pas la logique en hypokhâgne), la lecture de cet ouvrage, ne serait-ce qu'à un premier niveau, est difficile ?
Voilà, je sors vraiment du post initial là, mais bon je ne pense pas que ces deux petites questions pratiques valent un nouveau post.
Je sais pas précisément pour le texte que tu veux lire, mais ce que j'ai lu de Quine, c'est assez difficile. Enfin personnellement j'ai trouvé assez difficile ce que j'ai lu, peut-être que ses autres écrits sont plus clairs.
Pour De Vienne à Cambridge, tu peux pas accèder à une BU de philosophie ? Tu pourrais ainsi photocopier les textes qui t'intéressent.
Salut !
J'ai constaté que vous parliez du master Lophiss, il m'intéresse également, mais je suis encore un peu dans le flou...
Je fait en ce moment un bachelor ( équivalent de la licence en Suisse) à Zurich, pluridisciplinaire: Histoire et Chinois. J'aimerais me tourner vers l'histoire et la philosophie des sciences pour la suite de mes études et j'ai entendu parler du master lophiss mais j'ai quelques questions: quelles sont les différences entre le cursus proposé par paris 1 et celui proposé par paris 4, est-ce que ces formations me permettraient de rester en relation avec le monde chinois ? ( histoire et philo des sciences chinoises),que pensez vous de cette formation de manière générale ?, savez-vous s'il est possible d'y accéder avec une formation Suisse ?, s'il y a des équivalences ? Ou connaissez vous d'autres cursus qui pourraient correspondre à mes attentes et mon profil ?
Enfin voilà, merci pour vos réponses.
mayanne
Bonjour à tous,
pour Benstein, il y a un autre type de prépa qui pourrait te convenir : les BL (où ils font des maths et de la philo (et de l'histoire aussi non ?)).
pour les autres : tout d'abord, j'avoue ne pas avoir lu toute la discussion à tête reposée (sauf la première page).
Ensuite, je ne voyais pas le cursus philosophie des sciences comme vous... A Montpellier, il y a un Master didactique et épistémologie des mathématiques/physique/bio (selon la spécialité) décerné avec l'ENS Lyon. Pour y accéder, il faut avoir une Licence de maths (pour les maths bien sûr), et la première année du master compte 75% de maths contre 25% de didactique/épistémologie/histoire/philo... Perso, je voyais ma formation plutôt comme ça : Maitrise de maths, puis ce MasterR (je ne suis pas du tout sûr de vouloir faire ça, mais cette formation me semble très intéressante). J'ai la nette impression que vous donnez beaucoup plus d'importance à la philo qu'à la science en elle même...
Comme le lien vers la plaquette de ce master ne fonctionne pas, j'aimerais avoir des renseignements sur les débouchés et à quoi ressemble le boulot d'un chercheur là-dedans... J'ai cru comprendre (ici et sur le site de Montpellier) qu'il s'agissait surtout de l'enseignement. Je précise que pour moi, ce serait plutôt la didactique qui m'intéresserait.
Merci
Romain
Pour mayanne, je crois que ce pdf peut répondre à certaines de tes questions:
http://www.paris4.sorbonne.fr/fr/IMG...terLophiss.pdf
+
Bonjour!
Je ne sais pas si ceci est l'endroit idéal pour poser ma question, mais j'y vais quand même.
Je suis une jeune lycéenne de province (bac S maths), et je suis absolument passionnée de philosophie. Mais j'aime aussi énormément les maths (même si mon niveau reste plutôt scolaire). Ce qui m'intéresse par dessus tout, c'est l'épistémo, que j'ai découverte cette année par quelques lectures.
Je crois que de nombreux initiés fréquentent ce site, et je souhaiterais avoir quelques conseils pour l'orientation : je vais l'année prochaine en classe prépa à Paris (a priori HIV ou LLG), et j'aimerais m'orienter ensuite vers la recherche, pourquoi pas justement en épistémo (des recherches sur le net m'ont amenée au site de l'ihpst notamment, c'est ce genre de structure qui m'intéresserait).
Pensez vous qu'il soit préférable de faire d'abord un cycle complet en sciences (ce sont les maths qui m'intéresseraient), puis de chercher seulement ensuite en philo des maths, ou de prendre une voie plus littéraire (prépa BL), pour ensuite suivre un cursus philo-logique??
Je pose cette question car j'hésite vraiment entre une maths sup (sachant que vraiment seule la recherche m'intéresse, que je ne passerais surement pas les écoles d'ingénieures, sauf X), et la voie BL qui présenterait pour moi l'avantage d'une plus grande chance d'admission à normale...
Mais je suppose qu'il est bon en épistémologie de savoir de quoi on parle, donc d'avoir des bases solides en sciences. Commencer par une licence ou un master de maths, à l'ens ou pas, est ce prendre un quelconque retard par rapport aux littéraires BL ou autres qui auront une formation classique bien plus solide??
Quelle est des deux voies la plus sûre pour arriver à faire de l'épistémo à haut niveau(sachant que par BL, plus de chances pour normale qu'en maths sup, me concernant).
Je vous serais infiniment reconnaissante de bien vouloir m'éclairer un peu! Merci beaucoup.
Sigmund.
PS : par ailleurs j'ai déjà entendu dire : avec une bonne licence de maths, on peut suivre n'importe quel master, y compris philo ou littérature si l'envie nous en prend, est ce vérifié? - vous l'aurez compris, je suis une littéraire avec un fort penchant pour les maths et l'abstraction, et je cherche ma voie. Merci pour vos conseils!!
merci pour ta réponse.
En fait, cette autre personne n'est autre que moi : je ne savais pas où insérer le message, en épistémo ou en "orientation", donc je l'ai inséré dans les deux rubriques.
Ce choix d'orientation est plutôt difficile... je suis sûre que d'autres ont été confronté au même genre de choix(éco-maths-philo ou maths sup). J'aimerais avoir des avis ou témoignages sur la question!
Merci d'avance
Cordialement
Sigmund
Je me permets de mentionner une licence qui a jusqu'ici été passée sous silence, et pourrait intéresser notamment Benstein (pour son équivalence) : le parcours "Philosophie & Sciences Physiques" de la licence de philosophie de l'Université de Nice-Sophia Antipolis, dirigé par Jean-Marc Lévy-Leblond. Il a été créé à la rentrée 2004 et la troisième année (L3) sera mise en place en septembre 2006. Je cite un des responsables, Eric Picholle :
La première année (L1, 2004-2005) a été un succès mitigé : si enseignants et étudiants ont beaucoup apprécié l'expérience, le très petit effectif combiné à l'hétérogénéité du public (bacs L & S) a conduit à un taux d'évaporation assez fort (vers une khâgne, pour des raisons de santé, etc.), et il ne nous est resté que trois étudiants en L2 cette année - parmi lesquels un bachelier L, mention AB pour la partie scientifique. Tous ont validé leur L2.
Nous avons donc décidé de restreintre en pratique le recrutement aux bacheliers S, et la seconde promotion (L1, 2005-2006) s'est avérée non seulement très homogène, mais soudée et déjà très attachée au principe de la formation. L'effectif était encore réduit (7 en début d'année), mais un seul a choisi de rejoindre le parcours philo "traditionnel"' au second semestre, en dépit de bons résultats en sciences, et souhaite d'ailleurs rejoindre l'an prochain le programme PSV. Tous les autres ont validé leur année PSP, sans faire appel à la "compensation" entre UE "sciences" et "philo". Ce taux de réussite de 100% est à comparer à celui de 26% pour la filière traditionnelle, pourtant plus légère, la plupart des cours de philosophie étant communs aux deux parcours.
Je viens de découvrir ce forum et j'en suis très content. Il est vrai qu'autour de moi personne ne s'interresse à l'epistémologie.
Je suis étudiant en droit et il n'existe aucune formation d'epistemologie juridique, l'édition française n'y consacre même qu'un seul ouvrage.
Je sait qu'il existe un master d'epistémologie de l'économie à Paris, mais il semble que le reste soit plutôt consacré aux sciences naturelles et formelles.
Pouvez-vous me donner des infos sur ce point si vous en possédez?
Globalement, s'il n'y a rien, on peut considérer que c'est positif car ça signifie que tout est à faire et qu'il y a donc du travail devant nous.
J'ai lu les messages du forum et je peux vous signaler un site de l'académie de Lyon sur lequel sont répertoriés des ouvrages de base, il y en a beaucoup, triés par théme. Bonne lecture.
http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/phil....html#ANCRE007
Petites précisions concernant la licence de logique de Paris 1:
En L2, (j'y suis) on fait un assez gros boulot, mais qui est rattrapable.
Le livre de Lepage ne couvre pas le programme de L2. Il faut pousser plus avant.
On fait 1) la sémantique des langages du premier ordre. C'est à dire l'interprétation par des modèles des formules des langages logiques.
Et au second semestre on étudie 2) des systèmes de déductions syntaxique. C'est à dire que ce n'est plus le sens, interprété par des modèles, qui nous permet de raisonner sur les formules, mais c'est la forme même des formules. (Système Hilbert; déduction naturelle)
Tout, loin de là, n'est pas dans le Lepage.
La Lophiss n'exige pas de connaissances en logique très poussées.
Que les titulaire d'un bac L ne prennent pas peur. Tout cela se rattrape. Autant en science en particulier, qu'en rigueur en générale. J'en fait l'expérience.
+
Tu parles du premier lien sous google ?
qui amène ici : http://www.amazon.fr/Vienne-%C3%A0-C.../dp/2070741508
je viens de tomber sur ce forum et ça m'éberlue de rencontrer des gens qui sont comme moi passionés à la fois par les mathématiques, la logique et la philo. Sigmund, quelles études as-tu faites finalement ? Je suis passée par la B/L à Henri IV et je me pose pleins de questions sur mon orientation. J'ai eu Normale Sup, mais à Lyon, et je me demande s'il vaut mieux que je m'inscrive en maths ou en philo à la fac pour étudier la logique mathématique.
Si vous avez des conseils donc, n'hésitez pas
Bonjour à tous
je m'intéresse de trop loin, mais beaucoup ; à la philosophie non élémentaliste de Alfred Korzybski appelée trop souvent "Sémantique Générale" et je pense que ça pourrait intéresser quelques uns d'entre vous ainsi que les curieux qui viendraient faire un tour par là...
J'ai fait une liste de liens :
http://my.opera.com/theproofofthepud...-commented-lis
Bonne lecture éventuelle ! - (et dites moi ce que vous en pensez…)
Bonjour, en découvrant aujourd'hui ce forum avec la 15 ieme improvisation de poulenc ( l "hommage a edith piaf") je fut ravie de rencontrer des personnes, qui comme moi, sont aussi bien interesse par les sciences, les mathématiques et la philosophie. Je suis étudiant en mp et projette de cumuler une ecole d'ingénieurs (seulement pour le diplome) et des etudes de philosophie. penseez vous que les deux cursus soient cumulable? quelqu'un pourrait il m'envoyer des cours de philosphie et/ou de logique ou me donner des liens et des réferences. merci
l'ensemble des cours d'épistémo de la licence de Logique de PAris 1 proposé d10g3n m'interesserait. pourriez vous me les envoyer?
Bonjour à tous,
je souhaiterais à la rentrée de septembre 2010 m'inscrire dans le master 1 Lophiss cohabilité par Paris 1-Ulm. Or je suis issu d'une prépa HEC scientifique (je n'ai donc pas de licence en philosophie) : je devrai donc passer une épreuve de culture générale (dissertation) + entretien avec un chercheur-enseignant.
ma question : avez vous des sujets de dissertation qui ont été posés à cet effet ? Faut il se concentrer sur l'épistémologie/philosophie des sciences, ou est-ce vraiment une épreuve généraliste ? enfin, en quoi consiste cet entretien de motivation ?
Merci d'avance !
Je répons avec 6 années de retard, mais peut-être cela sera de quelque utilité pour un p'tit jeune qui passerait par là avec la même question...
Perso j'ai fait un bac L option anglais renforcé (donc quasi sans math...), puis HK et Khâgne A/L. A la fin de ma khâgne, j'étais déjà revenu vers l'épistémologie et j'ai commencé à rattraper les maths non vues au lycée, pour commencer un 2e cursus 2 ans plus tard (en L1 math, donc, en même temps que mon M1 philo). Yes. I did it.
C'est faisable mais pour exploiter des textes d'épistémo, il faut des maths et de la logique au moins du niveau L3 math pour se rendre intéressant. C'est faisable avec de la motivation, le problème étant le parcours pro après. Si tu as l'excellence et que tu vises l'enseignement supérieur et la recherche, ok, mais pour ça il faudra un très bon dossier à chaque étape. Reste la possibilité de coupler l'épistémo pure et dure avec un master math ayant de meilleurs débouchés, ou qui motivent particulièrement. Mais effectivement, dans ce cas les maths passeront avant l'activité philo dans ta vie professionnelle (ce qui n'est pas horrifique, mais il faut savoir si ça peut te convenir comme projet d'études).
Le problème est aussi que l'écart des années ne doit pas être trop important, car il est intéressant d'avoir pour soi la connaissance des maths quand on avance en 2e cycle de philo (M1 M2). Sinon les maths attendront après la bataille, et tu auras galéré en M1 M2 pour rester à flot dans les séminaires d'épistémo trop techniques. Auquel cas, mettre la fac de philo en pause et mettre le paquet sur les maths peut être recommandable, jusqu'à avoir rattrapé son retard, et forcément ça rallongera les études d'au moins un an ou deux, mais pour une qualification multiple, une énorme satisfaction personnelle et un excellent profil intellectuel !
Bonjour,
Je me permets d'intervenir sur ce forum dans la mesure où beaucoup d'entre vous parlent du master LoPhiSs. Je suis actuellement en 3ème année de Philosophie, couplée avec un parcours en psychologie (spécialité psychologie cognitive). Le problème est que mes connaissances en sciences se limitent à mon bac scientifique, spécialité Physique. Or, je suis vraiment intéressée par le master LoPhiSs, quitte à prendre un ou deux ans pour me former en mathématiques.
Connaissez-vous les modalités d'admission en M1 LoPhiSS ? Est-ce une simple inscription à partir de la validation de la licence de philosophie, ou est-ce une admission sur dossier, motivation et entretien? Sur le site, il est simplement précisé "accès de droit pour les étudiants ayant validé leur L3 de Philosophie". Mais qu'en est-il vraiment dans les faits?
Merci d'avance.