Je vous demande de m'excuse d'envoyer si tôt un autre message.
Mais en relisant les échanges qui le précédaient, j'ai réfléchis aux "imprudences" que sont les distributions de médicaments insuffisamment testés de même que les ogm et le nucléaire.
Si tant est qu'il nous soit possible de savoir à quel moment les tests doivent s'arrêter pour être sûr.
Le chercheur, à mon sens, doit être dans un dilemme.
Pendant que l'on "étire" les recherches, par prudence, des gens continuent de souffrir et de mourir. (Je ne veux pas penser au mercantilisme pour l'instant, bien qu'étant conscient des abus qu'entraîne sa pratique.)
La simple aspirine entraîne ou peut entraîner des allergies et des troubles aux reins. Nous développons des résistances aux antibiotiques qui font en sorte que nous devions toujours pousser plus loin la recherche d'autres moyens de se prévaloir contres les infections.
Le chercheur doit donc déterminer la limite entre la prudence extrême et la témérité. Cependant, ce qui va déterminer le choix, en fin de compte, est la réalité,
Exemple, sachant le danger de créer, chez son enfant une résistance aux futurs traitements possible, quel parent refuserait qu'il en reçoive une dose qui l'empêchera de mourir d'une infection cellulaire (cellulite) Dans les prochaines 24 heures.
Quelle serait sa réaction si le Médecin lui disait qu'il existe un médicament efficace mais qu'il ne pourra pas l'administrer parce qu'il y a risque d'allergie dans 5% des cas.
Je pense que la réponse va de soit.
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