Bonjour à tous,
L’éthique scientifique gère les relations entre la science et l’homme. C’est ainsi que l’un de ses objectifs est de prolonger la vie de l’homme. Ce résultat est atteint l’homme vie de plus en plus vieux. Cependant dans quelles conditions : Rares sont les personnes de plus de 80 ans non atteintes par une pathologie sévère physique ou mentale.
Si le critère quantitatif est satisfaisant, le critère qualitatif semble plutôt se rattacher à une éthique sociale. Vivre plus longtemps dans des conditions décentes coûte cher. Or globalement la société se désintéresse du problème.
Par exemple une personne dépendante (qui ne l’est pas après 80 ans) à Paris peut recevoir éventuellement une allocation ville de Paris…restituable après son décès sur la succession…
La qualité de vie à partir d’un âge avancé est directement proportionnelle au revenu.
L’éthique scientifique doit-elle se contenter d’une obligation de résultat sans prendre en considération les applications qui en résultent?
Comment intégrer l’éthique sociale à l’éthique scientifique afin d’éviter que cette dernière ne soit de nature purement darwinienne ?
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