Un excès de chut
Que vous ayez 10 ans ou 80 ans, vous avez, déjà et même souvent entendu le long « chut » du prof désespéré par le bruits et les bavardages de ses élèves: « chhhhhhhhhhhhut ! chhhhhhhhhhhhhhhut !.
Une étude de française vient de démontrer que 75 pourcents des profs sont atteints par cette maladie irrémédiable du chutacisme.
Les conséquences de la maladie du chutacisme
Cette maladie se traduit par un excès de diction du « chut ». En effet, la maladie commence par le premier « chut » du prof qui en a assez du papotage de ses élèves. Ensuite, ce « chut » a un effet de drogue, une équipe française a remarqué que les professeurs ont inconsciemment un bien fou à dire « chut » à ses élèves. Pendant la nuit, certains profs auraient même tendance à « chuchuter », une nouvelle sorte de ronflement. Alors imaginez un couple de profs avec un « chut » strident ! Cette maladie entraîne de nombreux problèmes sociaux, comme nous l’explique Monsieur Dupuis : « Je ne me suis pas rendu tout de suite rendu compte pourquoi ma femme m’a quitté, jusqu’à ce que mon médecin à qui je demandait, inconsciemment de se taire, m’a examiné et m’a appris que j’étais atteint du chutacisme ».
Les causes de la maladie du chutacisme
Le système hédonique ou système de récompense et le système lymbique sont activés à longueur de journée par ces profs, comme si, de dire « chut » serait un besoin vital.
En effet, ce déréglage du prof se déroule dans tout son cerveau. Le prof dit « chut », son aire auditive est actionnée, mais la « chut » résonne aussi dans tout son cerveau plus il dure longtemps, un déséquilibre se crée alors. De nombreux IRM et leurs homoncules ont même montré que la sensation du « chut » occupe une énorme partie de l’aire somatosensorielle. Une réorganisation du cortex somatosensoriel est même devenue impossible ! Chez ces professeurs, la plasticité cérébrale aurait disparue ! Ils n’arrivent plus à apprendre d’où leur rabachage excessif donné à leurs pauvres élèves !
Malheureusement, la maladie de certains profs s’aggrave ainsi dire « chut » est devenu un réflexe myotatique. Un bruit, un son ou encore une parole (à partir de seulement 30 décibels) peut engendrer la contraction automatique de la mâchoire et entraîner un lancement d’air, par la personne qui prononce, sans s’en rendre compte, un long « chut »...
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