Je pense plus à un système où la lampe s'allume automatiquement quand la pompe d'arrosage est en marche.
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Je pense plus à un système où la lampe s'allume automatiquement quand la pompe d'arrosage est en marche.
Dernière modification par Yoghourt ; 17/06/2009 à 13h23. Motif: citation superflue
L'idée semble très bonne, mais (je ne suis pas un spécialiste sur le fonctionnement des lampes UV) il me semble que la lampe doit atteindre un éclairement "type" afin de donner son rendement.
Dés lors, il faudrait trouver un système pour la "préchauffer" suffisamment pour qu'elle soit au meilleur rendement.
Notre fournisseur donne comme durée d'utilisation pour les lampes 1 an. ensuite, elles perdent de leur rendement et il faut les changer. Ainsi, il est vrai qu'elles ne s'usent qu'en période d'utilisation... votre idée mérite d'être développée.
De plus, l'écoulement à travers les tubes doit être constant. C'est pour cela que nous conseillons une pompe de relevage (le débit est ainsi régulier), même si la gravitation est possible.
Il faudrait se renseigner un peu plus auprès de spécialistes des UV;
cordialement.
Dernière modification par Yoghourt ; 17/06/2009 à 13h23. Motif: citation superflue
Bonjour ,
@ Micro station corse ,
j'attends aussi quelques réponses à mes précédentes questions et remarques ....
### - merci de rester courtois
merci ...
Dernière modification par Yoghourt ; 17/06/2009 à 13h24.
La réponse à vos problèmes est dans les liens que j'ai transmis.
### - merci de rester courtois
Chacun se fera une idée à la lecture des liens que j'ai transmis afin d'éviter de polluer encore plus ce post par des réflexions stériles et moultes fois évoquées.
Me concernant la discussion est close.
C'est un post sur les micro stations et sur les avantages/inconvénients AINSI que sur la règlementation.
Dernière modification par Yoghourt ; 17/06/2009 à 13h25.
les vraies fausses théories : lien
Il suffisait de lire le texte !
Pour le reste, les réponses sont dans les post précédents.
Dernière modification par Yoghourt ; 17/06/2009 à 13h29. Motif: limitation citation & lignes blanches
C'est vraie que l'on a dévié dans le sujet, mais je maintient que la réutilisation de l'eau épuré n'est pas autorisé pour les particuliers, Vu que le rejet au fossé n'est accepter qu'a titre exceptionnel, et que l'on a pas d'analyse sur les pathogènes, or c'est justement a partir de ces analyse que l'on détermine quelle technique d'arrosage on peut utiliser et pour quelle culture/espace vert. Après libre a chacun de vouloir contourner la réglementation a ses risques et péril.
Ce sujet aurait été (je pense ) mieux placer dans le forum technologie, vu que l'on s'en fout apparemment pas mal de leurs impact sur l'environnement, j'ai ouvert un autre sujet pour comparer les différents technique d'assainissement individuel qui a trouver peut de réponses, il faut croire qu'il dérange les constructeur de micro station d'épuration.
Re ,
non , désolé ... aucune réponse, puisque vous ne daignez pas expliquer ce dont vous parlez !!Envoyé par Micro station corseLa réponse à vos problèmes est dans les liens que j'ai transmis.
Chacun se fera une idée à la lecture des liens que j'ai transmis afin d'éviter de polluer encore plus ce post par des réflexions stériles et moultes fois évoquées.
les vraies fausses théories : lien
Il suffisait de lire le texte !
Pour le reste, les réponses sont dans les post précédents.
citer un lien ne suffit pas pour se faire comprendre, surtout dans le cas de ce dernier lien !!
alors merci de bien vouloir préciser le sens de vos propos afin d'éviter toutes mauvaises interprétations !! , et de les commenter un peu plus que par un simple lien et des phrases inutiles !!
NON !!!C'est vraie que l'on a dévié dans le sujet, mais je maintient que la réutilisation de l'eau épuré n'est pas autorisé pour les particuliers, Vu que le rejet au fossé n'est accepter qu'a titre exceptionnel, et que l'on a pas d'analyse sur les pathogènes, or c'est justement a partir de ces analyse que l'on détermine quelle technique d'arrosage on peut utiliser et pour quelle culture/espace vert. Après libre a chacun de vouloir contourner la réglementation a ses risques et péril.
voici la réponse de sur le site du Sénat :
je ne met pas le lien, car certains on du mal à suivre
Annexe 85 - RÉGLEMENTATION DE LA RÉUTILISATION DES EAUX USÉES ÉPURÉES
Rédaction : M. François BRISSAUD, Professeur à l'Université Montpellier II.
L'article 24 du décret n° 94-469 du 3 juin 1994 fonde le statut réglementaire de la réutilisation des eaux usées urbaines (REU) : Les eaux usées peuvent, après épuration, être utilisées à des fins d'arrosage ou d'irrigation, sous réserve que leurs caractéristiques et leur modalité d'emploi soient compatibles avec les exigences de protection de la santé publique et de l'environnement (...). Les conditions d'épuration et les modalités d'irrigation ou d'arrosage requises, ainsi que les programmes de surveillance à mettre en oeuvre, sont définis, après avis du Conseil Supérieur d'Hygiène Publique de France( CSHPF) et de la Mission Interministérielle de l'Eau par un arrêté du ministre de la Santé, du ministre chargé de l'Environnement et du ministre chargé de l'Agriculture.
On remarque que seules les réutilisations pour l'irrigation et l'arrosage sont prises en compte. Dans l'attente de cet arrêté, il convient de se référer aux recommandations du CSHPF concernant l'utilisation, après épuration, des eaux résiduaires pour l'irrigation des cultures et des espaces verts (Circulaire n° 51 du 22 juillet 1991 et du 3 août 1992 du ministère chargé de la Santé). Ce document, destiné à guider les autorités locales et les équipes chargées d'élaborer des projets de réutilisation, s'appuie sur les recommandations relatives à la réutilisation des eaux usées de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
Les recommandations du CSHPF visent à protéger la santé du personnel placé au contact des eaux usées, du consommateur des produits cultivés et de la population vivant au voisinage des zones d'irrigation. Elles définissent trois catégories de qualité d'eau, C, B et A, de qualité sanitaire croissante, correspondants à des usages en fonction de la qualité des eaux:
Qualité C : même si une épuration préalable est nécessaire, aucune limite microbiologique n'est imposée dans la mesure où les techniques d'irrigation et les types de cultures irriguées assurent une rupture de la chaîne de transmission des risques de contamination. Les cultures autorisées sont : céréales, cultures industrielles et fourrages, vergers et zones forestières ainsi que les espaces verts non ouverts au public.
Qualité B : elle est définie par un critère parasitologique, soit une teneur en oeufs d'helminthes intestinaux (tenia, ascaris) inférieure à une unité par litre. Cette qualité est requise pour l'irrigation par submersion et à la raie des vergers, cultures céréalières et fourragères, pépinières et de végétaux consommables après cuisson (pommes de terre, betterave, choux, carottes...) Les terrains de sport utilisés plusieurs semaines après l'arrosage peuvent aussi être irrigués avec des eaux usées respectant le niveau de qualité B.
L'irrigation par aspersion de ces cultures, des prairies de pâtures ou de fauche ainsi que l'arrosage d'espaces verts inaccessibles au public sont tolérés avec ce niveau de qualité sous réserve que la protection des personnels d'exploitation contre les risques d'inhalation des aérosols soit assurée, que l'aspersion soit réalisée à une distance suffisante des habitations, des zones de sport et de loisir (100 mètres minimum), que des obstacles ou des écrans (arbres) limitant la propagation des aérosols soient mis en place et que l'arrosage direct des voies publiques de communication soit évité.
Qualité A : elle est définie par le même critère parasitologique que la qualité B et par un critère bactériologique, soit une teneur en coliformes thermotolérants inférieure à 10.000 par litre. Cette qualité vise à assurer la protection des consommateurs de produits pouvant être consommés crus. Cette exigence de qualité doit être complétée par la mise en oeuvre de techniques d'irrigation limitant le mouillage des fruits et légumes : irrigation à la raie...
Cette qualité sera également requise pour tolérer l'arrosage des terrains de sport (golf) et d'espaces verts ouverts au public, sous réserve du respect de quelques contraintes supplémentaires (l'irrigation réalisée en dehors des heures d'ouverture au public...).
Parallèlement aux contraintes concernant l'aspect microbiologique des eaux usées épurées susceptibles d'être réutilisées pour l'irrigation, les eaux réutilisées dans cette catégorie doivent aussi respecter des critères de qualité chimique (présence de micropolluants chimiques).
Le dossier de demande d'autorisation de rejet doit comporter une analyse des boues produites par la station d'épuration. Lorsque les valeurs des concentrations mesurées sur les boues dépassent les seuils fixés pour les métaux lourds, un examen complémentaire de la qualité de l'eau épurée devra être effectué si cette eau est destinée à l'irrigation des cultures maraîchères, céréalières, industrielles et fourragères ainsi qu'aux pâturages.
Les règles relatives aux REU font l'objet de controverses à l'échelle mondiale. L'OMS est sur le point de réviser ses propres recommandations, en concertation notamment avec l'Union Européenne. Le dernier projet de révision des recommandations du CSHPF (novembre 2000) tend également à les durcir sensiblement.
Dernière modification par Philou67 ; 26/06/2009 à 11h52.
Ou a tu vu que ce décret s'applique pour l'assainissement non collectif ?
C'est un décrets qui met en place la directive relative aux eaux résiduaires urbaines de n° 91/271/CEE du 21 mai 1991.
"La directive relative aux eaux résiduaires urbaines porte le n° 91/271/CEE du 21 mai 1991 et a pour objectif de faire traiter les eaux de façon à éviter l’altération de l’environnement et en particulier les eaux de surface.
Cette directive a été transcrite en droit français dans la loi sur l’eau du 3 janvier 1992 et surtout dans le décret n° 94-469 du 3 juin 1994.
Ce texte définit les obligations des collectivités locales en matière de collecte et d’assainissement des eaux résiduaires urbaines et les modalités et procédures à suivre pour les agglomérations de plus de 2000 équivalents-habitants.
Les communes concernées doivent notamment :
- réaliser des schémas d’assainissement en déterminant les zones relevant de l’assainissement collectif et celles qui relèvent d’un assainissement individuel (non collectif).
- établir un programme d’assainissement sur la base des objectifs de réductions des flux polluants fixés par arrêté préfectoral pour chaque agglomération délimitée au préalable par arrêté préfectoral.
- réaliser les équipements nécessaires, l’échéance ultime étant fin 2005.
"
Une fois que le zonage d'assainissement collectif/non collectif est fait, c'est la réglementation d'assainissement non collectif qui s'applique aux installation d'assainissement non collectif point.
centre.ecologie.gouv
Tu trouveras peut-être la réponse dans cette question ministérielle de 2007
http://questions.assemblee-nationale.../13-2369QE.htm
Il n'y a pas de différence entre les eaux usées d'un assainissement collectif ou non.
le principe est celui de la réutilisation finale et des traitements à y apporter.
La destination des eaux recyclées est différente selon les régions. Chez nous, par exemple il est formellement interdit de diriger l'eau épurée des assainissement non collectif vers les rivières (ruisseaux) en raison du faible débit de ceux-ci l'été. Ce qui est tout à fait logique.
et je remets le texte suivant :
source : Observatoire régional de santé d'Ile-de-France
Institut d’aménagement et d’urbanisme de la région Ile-de-France
Le lien est donné précédemment.
Page 109 :
La législation française et les recommandations du CSHPF
La réglementation française sur la réutilisation des eaux usées épurées ne concerne que la réutilisation agricole. Il y a donc une lacune réglementaire concernant les autres usages. Les
recommandations établies par le Conseil supérieur d’hygiène publique de France en 1991 sont largement inspirées de celles de l’OMS, avec quelques précautions supplémentaires.
Le contexte réglementaire La réglementation française est assez succincte concernant la réutilisation des eaux usées épurées. Les textes de lois relatifs à l’eau et à l’assainissement sont :
- la loi n° 64-1245 du 16 décembre 1964, fondatrice des Agences de l’eau ;
- la loi n° 92-3 du 3 janvier 1992, bien connue du grand public sous l’appellation loi sur l’eau de 1992, qui établit les SDAGE (schéma directeur d'aménagement et de gestion
des eaux) et les SAGE (schéma d'aménagement des eaux), ainsi que les régimes de déclaration et d’autorisation pour les ouvrages et les activités ayant trait à l’eau ;
- les décrets n° 93-742 du 29 mars 1993, n° 93-743 du 29 mars 1993 et n° 94-469 du 3
juin 1994 ; dans ce dernier, l’article 24 fait entièrement référence à la réutilisation agricole des eaux usées ; le voici en entier :
“ Art. 24. - Les eaux usées peuvent, après épuration, être utilisées à des fins agronomiques ou agricoles, par arrosage ou par irrigation, sous réserve que leurs caractéristiques et leurs modalités d'emploi soient compatibles avec les exigences de
protection de la santé publique et de l'environnement. Les conditions d'épuration et les modalités d'irrigation ou d'arrosage requises, ainsi que les programmes de surveillance à mettre en oeuvre, sont définis, après avis du Conseil supérieur d'hygiène publique de France et de la mission interministérielle de l'eau, par un arrêté du ministre chargé de la santé, du ministre chargé de l'environnement et du ministre chargé de l'agriculture. ”
- les deux arrêtés du 22 décembre 1994 relatifs aux prescriptions techniques et à la surveillance des ouvrages de collectes et de traitement des eaux usées.
Réutilisation des eaux usées 110
Le texte de 1964 donne aux préfets le pouvoir de refuser un plan de rejet d’eaux usées épurées à l’intérieur des périmètres de protection ; cette notion comprend le fait de les épandre sur des
cultures. L’autorisation de rejet (ou d’épandage) est accordée en prenant en compte les caractéristiques du milieu extérieur. Avant les recommandations du CSHPF, l’utilisation des eaux usées en agriculture était donc autorisée au cas par cas. Les préfets n’avaient aucune réglementation sur laquelle s’appuyer, ce qui peut expliquer en partie les débuts timides de la réutilisation des eaux usées épurées en France.
Remarque : la législation est bien plus fournie en ce qui concerne la réutilisation des boues de stations d’épuration.
C'est le PRINCIPE de réutilisation qui est important. L'assainissement est un autre "sujet". Ces textes concernent les eaux issues d'assainissement collectif (ça c'est sûr !) Mais aussi celles des assainissement non collectifs. (A titre d'exemple, un lotissement de 50 villas - soit 200 personnes - peut très bien être en assainissement non collectif -) ou un camping (ce qui est souvent le cas). L'emprise au sol ne permet pas souvent de drainer l'eau en souterrain, il faut recycler.
tu mélanges tout là!
c'est très grave d'avancer de pareille chose!!!
dans tes sources il ya la condition que "sous réserve que leurs caractéristiques et leur modalité d'emploi soient compatibles avec les exigences de protection de la santé publique et de l'environnement "
ça annule la belle phrase qui est dite juste avant... car la DDAS n'en veut pas!
et voilà...
alors svp, cessez de faire de la désinformation! vous etes le seul à avancer ça...
vous n'etes pas juriste que je sache, alors évitez d'interpreter les réglements selon vos gouts...
PS : la modo, ce serait bien de remettre un peu d'ordre là dedans...
Je n'interprète pas je cite.
Si vous avez des doutes, demandez un permis de construire en annoncant que vous allez réutilisez les eaux usées. Ici cela ne pose pas de problème à la préfecture pour les raisons invoquées au dessus dès lors que les normes d'assainissement et de traitement sont respectées.
Si cela vous dérange... tant pis !
Je ne vois pas où est la désinformation.... sauf peut-être la votre qui persistez dans une voie sans issue.
Ou alors, notre préfet se plante depuis le début ?...
Bonne relecture au calme.
La réglementation est différente suivant la charge organique reçu, réglementairement la limite est a 20 EH, en dessous on a des objectifs de filières, au dessus on as des objectif de résultat, Avec 200 personnes ce n'est donc pas les même textes qu'avec 15 EH, par exemple on peut utilisé le lagunage, le filtre a sable planté de roseaux ou autre filières couramment utilisé par les petite collectivité tant que l'on respect les résultats voulue, analyse a l'appuie.C'est le PRINCIPE de réutilisation qui est important. L'assainissement est un autre "sujet". Ces textes concernent les eaux issues d'assainissement collectif (ça c'est sûr !) Mais aussi celles des assainissement non collectifs. (A titre d'exemple, un lotissement de 50 villas - soit 200 personnes - peut très bien être en assainissement non collectif -) ou un camping (ce qui est souvent le cas). L'emprise au sol ne permet pas souvent de drainer l'eau en souterrain, il faut recycler.
Et la, le rejet se fait en milieu superficielle, on peut/doit faire des analyses et donc pourquoi pas récupérer l'eau usée (si ces caractéristique le permette ) pour un usage précis suivant la réglementation que l'on a déjà vu.
Bien sûr, mais dans ce cas la question est le principe de réutilisation de l'eau APRES la filière.
Dans le registre de la récupération de l'eau de pluie, je vous invite aussi à lire les site : http://www.laterre.fr/ qui vient de faire une synthese sur l'assainissement non collectif et qui publie aussi plusieurs excellents articles sur la récupération de l'eau de pluie et ses contraintes règlementaires d'implantation et d'utilisation.
Re ,
@ Micro station corse ,
merci de ne pas daigner répondre (clairement !) à mes questions ...
Aussi ,
décidément ....Dans le registre de la récupération de l'eau de pluie, je vous invite aussi à lire les site : ww.laterre.fr/ qui vient de ...... et qui publie aussi plusieurs excellents articles sur la récupération de l'eau de pluie et ses contraintes règlementaires d'implantation et d'utilisation.
si vous lisiez ces soit-disant "excellents" articles attentivement tout en ayant connaissance des textes concernés en leur gardant une "juste" interprétation telle qu'elle devrait être relatée (ce qui n'est malheureusement pratiquement jamais le cas !!) .... vous changeriez certainement de qualificatif .. !!!
1 seul exemple pour faire vite (en passant sur les autres confusions et incohérences ..) :
tout simplement faux !!!La collecte de l’eau de pluie... trés réglementée :
.../...
L’usage autorisé de l’eau de pluie
Quel que soit le procédé de récupération (cuves, réservoirs, citernes souples extérieures, équipements enterrés, fûts etc.), l’eau de pluie collectée à l’aval des toitures peut être utilisée pour des usages domestiques mais en aucun cas pour la consommation humaine :
(encore un qui ne lit que la moitié de ce qu'il faut ........ )
Cordialement
Je laisse aux lecteurs la possibilité de juger par eux mêmes de la qualité des article de laterre.fr.
### Attaque personnelle
Dernière modification par Philou67 ; 26/06/2009 à 11h55.
Bonjour ,
faudrait aussi m'expliquer comment le lecteur lambda peut s'y retrouver et juger de la qualité d'une information sur laquelle se trompe déjà ceux qui sont censés les informer ... !! ??Envoyé par Micro station corseJe laisse aux lecteurs la possibilité de juger par eux mêmes de la qualité des article de laterre.fr.
surtout quand bon nombre de ces "journalistes" ne prennent absolument pas la peine de vérifier leur éléments de base, de raisonner un peu plus loin que le texte lui-même et de faire preuve d'un peu plus d'objectivité ... !
tout comme vous qui répétez ces mêmes erreurs sans vous soucier de quoi que ce soit ... !!
### Réponse à attaque personnelle
et j'attends toujours quelques explications sur mes précédentes demandes ....
Cordialement
Dernière modification par Philou67 ; 26/06/2009 à 11h56.
Faire croire aux gens qu'ils peuvent consommer de l'eau de pluie sans la traiter est inconscient - point à la ligne.
###
J'attire l'attention des lecteurs sur vos propos, ###, qui dans tous vos posts remettent systématiquement en question les réglements sanitaires.
Dans la chartre de ce forum, la constestation est possible sur un point de vue idéologique, mais pas règlementaire.
###
Suppression des attaques personnelles
Dernière modification par Philou67 ; 26/06/2009 à 11h58.
Re ,
ahaaaaannnnn .... donc comme ça je ferais croire aux gens que l'on peut consommer l'eau de pluie "sans la traiter" ....Envoyé par Micro station corseFaire croire aux gens qu'ils peuvent consommer de l'eau de pluie sans la traiter est inconscient - point à la ligne.
1) merci de me dire où aurais-je dis cela !!
2) avant de lancer pareilles accusations, j'aurais apprécié que vous puissiez lire attentivement les propos que nous tenons, et que vous puissiez vous confirmer à vous-même, par simple lecture de mon site par exemple, la véracité de votre accusation !!
3) certains membres de ce forum commencent à me connaitre, et commencent à reconnaitre toute l'attention que je porte à ce sujet, surtout sur les points règlementaires .. !!
je ne pense pas qu'ils me voient comme un inconscient ...
ni qu'ils "interprètent" erronément mes propos de la sorte !!
### Réponse à attaque personnelle
et moi j'attire l'attention sur le fond de mes propos qui ne font que demander la "justesse" des affirmations énoncées ici ou ailleurs sur des textes de lois que beaucoup ne parviennent pas à lire correctement ni à en comprendre le sens réel ... !!Envoyé par Micro station corseJ'attire l'attention des lecteurs sur vos propos, ###, qui dans tous vos posts remettent systématiquement en question les réglements sanitaires.
### Réponse à attaque personnelle
si je me permets de remettre certaines choses en question, c'est qu'il y a une très bonne raison, car moi, je ne me contente pas simplement de répéter aveuglément ce que je lis ailleurs ... !
Dans la chartre de ce forum, je ne pense pas qu'il soit permis pareilles insultes et accusations directes et gratuites ....Envoyé par Micro station corseDans la chartre de ce forum, la constestation est possible sur un point de vue idéologique, mais pas règlementaire.
merci de me préciser lesquelles, et en me les expliquant SVP .. !!Envoyé par Micro station corseVous feriez bien de vous en inspirez avant de disseminer des monstruosités sous forme d'affirmations.
Cordialement
Dernière modification par Philou67 ; 26/06/2009 à 11h59.
Bonjour ,
quel silence tout d'un coup ......
mais où est donc passé "Mr Micro station corse" ... ???
aurait-il difficile à répondre (précisément) à mes questions ....... ???
Cordialement
### Attaque personnelle
Quant aux réponses que vous attendez... pas la peine d'y revenir toutes les deux pages.
J'ose espérer que les lecteurs de se forums se sont déjà fait une idée en parcourant cette page issue de CE forum
http://www.futura-sciences.com/fr/qu...ns-danger_349/
###
C'est comme cela la vie. Il y a toujours de mécontents.
Pour ce qui est de l'assainissement non collectif, les trois (ou plus...) textes "manquants pour modifier l'arrêté de 1996 sont annoncés (sur le site du ministère de l'écologie ...etc) pour 2009 sans plus de précision sur la date. Les textes devraient tous être publiés ensembles. (je n'ai plus le lien pour le mettre, désolé !)
Donc patience...
Le premier qui annonce la publication aura gagné la considération de tous ceux qui sont dans l'espectative... (cela fait beaucoup, beaucoup de monde).
Dernière modification par Philou67 ; 26/06/2009 à 12h00.
Bonjour ,
@ Micro station corse ,
quelques questions directes cherchant désespérément réponse :
Envoyé par L'écoleaupourrais-je avoir quelques explications de tout ça, car je ne comprends pas vraiment le sens de ce propos .... !
et quelles sont ces "certaines "vraies-fausses" théories" .. ???Envoyé par L'écoleauet ça ... , ça veut dire quoi ???Envoyé par L'écoleauet ça .. ??? , quel projet ???Envoyé par L'écoleaupourquoi aurais-je une gastro ???
alors que vous ne connaissez absolument pas la qualité de mon eau ...Envoyé par L'écoleau1) merci de me dire où aurais-je dis cela !!Envoyé par L'écoleauoù ça .. ! ???Envoyé par L'écoleaumerci de me préciser lesquelles ("des monstruosités sous forme d'affirmations"), et en me les expliquant SVP .. !!
>>
et des attaques personnelles, voire accusations directes :
### La modération a pris note des attaques personnelles et les a supprimées.
Avec tout ça, je pense être en droit de réclamer quelques arguments permettant de justifier pareilles attaques et accusations ....
les émettre de la sorte me semble déjà assez malhonnête ...
mais refuser de se justifier sur des attaques personnelles et donc purement gratuites, je pense que ça dépasse les bornes ....
Qu'en pense la modération ??
Dernière modification par Philou67 ; 26/06/2009 à 12h02.
Micro station corse, les attaques personnelles envers quiconque sont interdites sur le forum. Veuillez adopter un ton moins agressif et plus réfléchi sur nos forums.
Philou67 pour la modération.
:'( Plus j'apprends, et plus je mesure mon ignorance
Bonjour ,
je remercie la modération d'avoir fait un peu le ménage dans ces propos ....
mais je remercierais d'avantage Micro station corse de bien vouloir éclaircir ses propos et de répondre aux justifications qui lui sont réclamées .... !!
(certains propos tenus ici sont directement accusatoires à mon égard et à mon sens dénué de tout fondement ... , mais je peux peut-être me tromper, dans ce cas, j'aimerais en avoir l'illustration !! , car je n'apprécie guère que l'on me fasse passer pour ce que je ne suis pas et surtout que l'on me fasse dire le contraire de ce que j'ai pour habitude de dire ! ..)
Cordialement
J'attire votre attention sur le fait que "maisquiatuebambi" n'est autre que "Micro Station Corse".
Micro Station Corse, je vous enjoins à ne plus utiliser votre deuxième pseudo, qui d'une part, n'est pas autorisé par la charte, et d'autre part, est obscène.
Philou67 pour la modération.
:'( Plus j'apprends, et plus je mesure mon ignorance
Citation:
La collecte de l’eau de pluie... trés réglementée :
.../...
L’usage autorisé de l’eau de pluie
Quel que soit le procédé de récupération (cuves, réservoirs, citernes souples extérieures, équipements enterrés, fûts etc.), l’eau de pluie collectée à l’aval des toitures peut être utilisée pour des usages domestiques mais en aucun cas pour la consommation humaine :
tout simplement faux !!!
(encore un qui ne lit que la moitié de ce qu'il faut ........ )
Bien, commencez à répondre à cela alors :
(je reprends le post zappé par le modérateur)
- Vous dites que l'eau de pluie peut-être utilisée pour la consommation humaine.
Bien... et à quelles conditions ? Préciser votre réponse.
QUESTION :
-Quels traitements doit-elle subir ?
- Quelles sont les obligations déclaratives ?
- Quelles contrôles effectuer ?
- tous les combiens ?
- Quels sont les coûts de ce type d'installation ?
- Quels sont les coûts des contrôles annuels ?
Facile de dire que les journalistes ne comprennent rien, mais là il faut justifier le pourquoi sans ommettre les vraies questions.
cordialement
(petite parenthèse : hier soir, il y avait un débat sur la 5 concernant le traitement de l'eau. Il doit toujours être en ligne sur leur site internet. Il y était question notemment des particuliers qui "traitent" eux-mêmes leur eau. Je vous laisse découvrir les réponses des chercheurs sur ce point, sinon on va me taxer de sectarisme).
A oui ????Bonjour ,
faudrait aussi m'expliquer comment le lecteur lambda peut s'y retrouver et juger de la qualité d'une information sur laquelle se trompe déjà ceux qui sont censés les informer ... !! ??
surtout quand bon nombre de ces "journalistes" ne prennent absolument pas la peine de vérifier leur éléments de base, de raisonner un peu plus loin que le texte lui-même et de faire preuve d'un peu plus d'objectivité ... !
tout comme vous qui répétez ces mêmes erreurs sans vous soucier de quoi que ce soit ... !!
Cordialement
sympa l'insulte sur les journaliste ! Et là le modérateur il n'intervient pas ?
Quelles sont les erreurs dont vous parlez sans les citer ?
Ce serait bien d'en savoir un peu plus afin d'éclairer notre lanterne. Si vous avez des solutions, merci de les communiquer, ce forum est fait pour çà.
Je ne vois pas en quoi mes propos sont incompréhensibles...Re ,
pourrais-je avoir quelques explications de tout ça, car je ne comprends pas vraiment le sens de ce propos .... !
et quelles sont ces "certaines "vraies-fausses" théories" .. ???
et ça ... , ça veut dire quoi ???
et ça .. ??? , quel projet ???
merci d'être un peu moins évasif dans vos propos incompréhensibles !!
Cordialement
Je donne un lien dont le titre lui même suffit à expliquer le contenu.
Au risque de déplaire au modérateur en encombrant le forum, je poste le texte complet issu du site eautarcie.com.
Ainsi M. L ECOLEAU vous avez la réponse détaillée à votre question.
Je n'ai pas l'intention de répondre à la polémique qui suivra la lecture de ce post et je vous laisse libre des propros que vous tiendrez à l'encontre du rédacteur du texte.
Ici on parle de micro station pas de toilettes sèches.
A ce sujet vous pouvez toujours ouvrir un nouveau post, comme pour la consommation de l'eau de pluie d'ailleurs.
Il serait bon de séparer les sujets.
S'agissant des projets d'arrêtés sur la réutilisation des eaux traitées, la réponse a été donnée. On ne va pas y revenir. En tout cas pas moi.
cordialement
Toilettes sèches et idées fausses
La première idée fausse est la séparation de la matière fécale et de l’urine.
Un concepteur danois de toilettes sèches a exposé un jour à une conférence publique organisée par un architecte bruxellois [1] que «les animaux dans la nature ne défèquent et n’urinent pas nécessairement à la même place». Il est donc tout à fait «naturel» de séparer les deux effluents. Cette justification manque de données scientifiques.
Il vaut mieux dire franchement qu’on sépare les deux pour des raisons de commodité technique: la volonté d’espacer les manutentions des effluents. L’urine, facile à stocker dans un réservoir séparé, constitue 90% de la masse de nos déjections. Les fèces desséchées occupent peu de place. Dès le moment où l’urine est évacuée de la toilette par simple écoulement, l’enlèvement du peu de matière solide qui reste peut attendre plusieurs mois. Grâce à cette astuce, l’usage de la toilette sèche s’apparente à celui d’un W-C. L’usager de passage ne voit pratiquement pas la différence. Les nouvelles technologies viennent à la rescousse: la cuve reçoit un revêtement à base de silicone sur lequel les liquides n’adhèrent pas et l’urine ruisselle sans laisser de traces. L’objectif fixé par les constructeurs est atteint: nos excréments sont évacués hors de notre vue. Nous pouvons continuer à faire semblant d’ignorer le problème.
Le compostage interne dans un réservoir situé sous la toilette s’inspire toujours du souci d’éviter de s’occuper, autant que faire se peut, de nos déjections. Malheureusement, il n’est pas possible de réaliser dans une cuve ou dans une fosse les conditions aérobies nécessaires pour un bon compostage. Le véritable compostage se fait sur le sol même , en symbiose avec la faune qui vit dans le sol. Toute fermentation anaérobie, inévitable dans les cuves, soustrait l’azote et aussi une bonne partie du carbone au processus de formation de l’humus, tout en libérant, en prime, la pollution par les nitrates et l’ammonium.
Malheureusement, le prix à payer pour ce confort intellectuel est plutôt élevé aussi bien au niveau technique et financier qu’au niveau environnemental.
Au niveau technique, la séparation de l'urine fait automatiquement émerger le problème des odeurs qui nécessite des solutions complexes et coûteuses. Comme nous allons le voir à propos de la toilette à litière biomaîtrisée , la clef de la maîtrise simple des odeurs se trouve précisément dans la réunion de l’urine, de la matière fécale avec la litière. Lorsqu’on sépare les deux, les odeurs apparaissent des deux côtés. Pour les évacuer, il faut un système de tuyauterie et de ventilation forcée. Une toilette sèche classique comme la Clivus Multrum [2] occupe la place d’une chambre dans une habitation, sans parler du percement du plancher, du plafond et du toit. Une panne de courant et le système d’aspiration, qui doit tourner 24 heures/24, cesse de fonctionner: c’est l’apparition des odeurs et… des mouches.
Il faut vraiment vouloir une telle installation qui coûte facilement 5.000 € (en plus du coût de la place qu’elle occupe dans la maison) et consomme environ pour 100 à 200 € d’électricité par an. Si l’utilisateur de bonne foi prenait la peine d’examiner les impacts environnementaux de sa toilette, il irait rapidement chez le plombier le plus proche pour faire installer un W-C classique et un bon système d’épuration.
La deuxième idée fausse est d’assimiler les fèces desséchées à de l’humus.
Pratiquement la totalité des toilettes sèches du commerce fonctionne suivant le même principe [3] . En consultant les catalogues, hauts en couleur de ces toilettes, on relève la discrétion concernant le devenir des urines. Ce qui est le plus choquant, c’est qu’on appelle «compost» un produit qui n’est rien d’autre que des fèces desséchées. Dès qu’on a séparé les urines, le compostage des matières solides devient problématique. Lorsqu’on mélange ces matières avec de la tourbe, il n’y a, au mieux, qu’une sorte de maturation par dessèchement, mais nullement de la formation d’humus.
Les concepteurs et vendeurs des toilettes sèches n'ont pas le "privilège" de la méconnaissance de la nature de l'humus. Lors de mes discussions avec des techniciens en génie sanitaire, je suis souvent stupéfait de l'étendu de leur ignorance en matière de pédologie (étude des sols), pourtant capital pour connaître les impacts environnementaux de l'épuration. Tout récemment, un de ces techniciens s'est étonné de mes réticences quant à la valorisation agricole des boues d'épuration. D'après lui, ces boues contiennent aussi de la matière organique identique à l'humus. Donc l'azote enlevé des eaux fécales, avec les boues d'épuration se retrouve sur le sol sous forme d'humus. Donc l'épuration collective est un facteur de maintien de la fertilité de nos terres agricoles. Même en faisant abstraction des métaux lourds contenues dans les boues d'épuration, il est aisé de montrer que ce raisonnement est entièrement faux. Ce qui est malheureux est que des "écolos" de bonne volonté ou des vendeurs de toilettes sèches véhiculent aussi les mêmes idées scientifiquement indéfendables. L'extension de ces idées constitue un obstacle efficace devant une prise de conscience généralisée du gâchis environnemental perpétré par l'assainissement pratiqué (voire imposé par la loi) actuellement.
La troisième idée fausse est de croire que l’urine stockée peut être utilisée dans le jardin, sans nuisances.
L’urine est recueillie dans un réservoir où, grâce à l’action d’un enzyme toujours présent dans l’urine [4] , l’azote organique se transforme assez rapidement en ions d’ammonium. C’est ce qui explique l’odeur d’ammoniac (NH3) de l’urine qui séjourne quelques heures dans un pot de chambre ou dans un seau hygiénique. Compte tenu du fait qu’environ 80 % de l’azote organique contenu dans nos déjections se trouve dans l’urine, on comprend l’importance du devenir de l’urine pour le milieu récepteur.
En fait, sous forme ammoniacale, l’azote ne peut suivre dans la nature que le chemin de l’oxydation. Il se forme ainsi des ions nitreux (NO2-) particulièrement toxiques qui s’oxydent en nitrates (NO3-). L’urine stockée dans le réservoir de la toilette devient un concentré d’ammonium contenant des ions de nitrites et de nitrates. Les constructeurs des toilettes sèches recommandent d’utiliser l’urine stockée en la diluant 8 fois pour l’irrigation des plantes.
Après avoir ajouté de l’eau pour diluer 8 fois l’urine, on se demande ce que devient l’économie d’eau annoncée pour justifier l’installation. Le véritable problème réside dans le processus de percolation et d’oxydation de l’ammoniac contenu dans le liquide. Sous forme ammoniacale (NH4+), l’azote s’infiltre encore plus facilement et rapidement [5] dans la nappe phréatique que sous forme nitrique et constitue une pollution particulièrement pernicieuse. Les ions d’ammonium présents dans le liquide épandu en surface s’oxydent en nitrates. Ceux-ci ont incontestablement un pouvoir fertilisant et agissent comme un engrais chimique, mais d’une manière plus nuisible, car ils contiennent en outre, des ions nitreux (NO2-) très toxiques. Affirmer donc que les urines stockées et dilués peuvent être utilisés sans nuisances dans le jardin est une position qui ne peut être justifiée que par l’ignorance complète des processus physico-chimiques qui ont lieu dans l’urine stockée et ceux qui régissent la vie du sol.
En résumé, l'épandage de l'urine dans le jardin s'apparente à celui du lisier d'élevage. Cela est d'autant plus vrai, que les fèces désséchées y aboutissent également. Normalement, ce type d'épandage est également soumis aux même réglements que celui du lisier d'élevage. La quantité d'azote (N) épandu sous forme de lisier ne peut pas dépasser 200 kg par an par hectare. Pour épandre donc avec l'urine et les fèces les 10 kg d'azote que "produit" annuellement une personne, il faut un jardin d'au moins 5 ares (500 m²). Une famille de 4 personnes devrait dont disposer d'un jardin de 20 ares. En-dessus de cette valeur, il y a dépassement des normes.
La quatrième idée fausse est de croire que l’avantage principal des toilettes sèches est l’économie d’eau.
Nous avons vu, à propos de la dilution de l’urine avant son utilisation dans le jardin, que l’économie d’eau est moins importante qu’annoncée. Cette idée en entraîne une autre, encore plus grave: le but principal de la toilette sèche est d’éviter de polluer l’eau. Sans nier cet aspect, il faut attirer l’attention sur le fait que l’urine épandue dans le jardin pollue plus nos réserves d’eau potable que l’épuration classique des eaux fécales. Le corollaire de cette idée fausse est de croire qu’une bonne épuration des eaux fécales répare les dégâts causés par l’usage d’un W-C à chasse. C’est, sans aucun doute, l’erreur la plus lourde de conséquences. C’est ce qui conduit les personnes motivées pour la protection de l’environnement vers les systèmes d’épuration par les plantes . Au risque de nous répéter, nous devons insister sur le fait qu’il n’y a pas de bonne méthode pour épurer les eaux vannes. Le gâchis est fait au moment où les excréments sont évacués dans de l’eau et ce gâchis est irréversible [6] .
Citation:
Envoyé par L'écoleau
1) merci de me dire où aurais-je dis cela !!
ICI.... en ommettant de donner un réponse compréhensive par l'ensemble des lecteurs
Vous avez juste oublié VOUS AUSSI l'essentiel.
A savoir préciser que pour consommer l'eau de pluie il faut :
- traitement
- filtration
- controle des eaux destinées à la consommation humaine
- déclaration obligatoire...
et aussi le coût réel de ce type de dispositif.
J'attends vos réponses.
je vous cite :
Citation:
La collecte de l’eau de pluie... trés réglementée :
.../...
L’usage autorisé de l’eau de pluie
Quel que soit le procédé de récupération (cuves, réservoirs, citernes souples extérieures, équipements enterrés, fûts etc.), l’eau de pluie collectée à l’aval des toitures peut être utilisée pour des usages domestiques mais en aucun cas pour la consommation humaine :
tout simplement faux !!!
(encore un qui ne lit que la moitié de ce qu'il faut ........ )