Perte d'intelligence

[invite1d793136]

Voilà, avant j'étais très intelligent, j'avais réussi mon année scolaire de 1ère S en quatre mois, en commençant au mois de janvier au cned, et puis quand j'ai tout envoyé, à force d'être seul, j'ai fait un jour une très grosse déprime. Je voyais le néant devant moi, sans aucune issu de sortie, sans espoir d'avoir des amis , et je me laissais aller.Je sentais alors que des choses éclataient plus ou moins dans ma tête. Je sus après que je suis devenu bête, presque imbécile.
A présent, j'ai l'impression d'avoir le cerveau vide. Les excercices de Maths et de Physique qui étaient un délice, sont devenues brumeux.
Je n'arrive plus à penser aussi profondément qu'avant, et me concentrer demande des efforts impossibles. En un mot, je n'ai eu besoin ni de cigarettes, ni aucune drogue pour perdre mes facultés intellectuels. Il me reste encore un peu pour m'en rendre compte.Mais pas assez pour réussir aussi bien ma prochaine année scolaire que celle que je viens de passer.
Pensez-vous que l'intelligence puisse se retrouver, ou qu'elle est à jamais perdue?
Est-ce que de très fortes émotions sont capables de détruire une grande partie de notre intelligence?
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[mh34]

Bonjour.
Non, c'est pas l'intelligence qui peut être détruite, mais vos capacités de concentration, réflexion, mémorisation, etc...peuvent ( et sont, on le sait) être durablement affectées par une dépression.
Je vous conseille de consulter, en commençant par votre médecin traitant, qui va éliminer les causes organiques possibles ( parce qu'il en existe quand même pas mal...).
Bon courage.

[invite1d793136]

Bonjour.
Non, c'est pas l'intelligence qui peut être détruite, mais vos capacités de concentration, réflexion, mémorisation, etc...peuvent ( et sont, on le sait) être durablement affectées par une dépression.
Je vous conseille de consulter, en commençant par votre médecin traitant, qui va éliminer les causes organiques possibles ( parce qu'il en existe quand même pas mal...).
Bon courage.

Il est vrai que j'ai pris beaucoup de poids, et que la graisse me gênait à ce moment-là. Mais autre cause organique, je ne vois pas. En tout cas j'espère que ces deux mois d'été seront suffisants pour combler les effets de ma dépression. Mais dites-moi, en général, c'st quoi les causes organiques? La dépression est due à des facteurs pyschologiques. Où se trouve les causes organiques? Il est vrai qu'au moment de ma dépression, j'avais tendance à éliminer certaines choses, obsédé par ma ligne.

[mh34]

Mais dites-moi, en général, c'st quoi les causes organiques?

Ca peut être des tas de choses à commencer par des dysfonctionnements hormonaux.
A voir, encore une fois, avec votre médecin traitant.

[A voir en vidéo sur Futura]

[KLASS]

Je confirme ce que MH34 a dit, il est souvent évoqué des troubles de la mémoire et de la concentration liés à la dépression ce qui aboutit à la baisse de ses résultats scolaires; la pratique de sport est un échappatoire et peut être une façon de rééquilibrer certaines hormones ou neuro-médiateur qui sont de plus en plus suspectés d'intervenir dans nos états d'âmes; bon courage.

[invitec274961f]

Voilà, avant j'étais très intelligent, j'avais réussi mon année scolaire de 1ère S en quatre mois, en commençant au mois de janvier au cned, et puis quand j'ai tout envoyé, à force d'être seul, j'ai fait un jour une très grosse déprime. Je voyais le néant devant moi, sans aucune issu de sortie, sans espoir d'avoir des amis , et je me laissais aller.Je sentais alors que des choses éclataient plus ou moins dans ma tête. Je sus après que je suis devenu bête, presque imbécile.
A présent, j'ai l'impression d'avoir le cerveau vide. Les excercices de Maths et de Physique qui étaient un délice, sont devenues brumeux.
Je n'arrive plus à penser aussi profondément qu'avant, et me concentrer demande des efforts impossibles. En un mot, je n'ai eu besoin ni de cigarettes, ni aucune drogue pour perdre mes facultés intellectuels. Il me reste encore un peu pour m'en rendre compte.Mais pas assez pour réussir aussi bien ma prochaine année scolaire que celle que je viens de passer.
Pensez-vous que l'intelligence puisse se retrouver, ou qu'elle est à jamais perdue?
Est-ce que de très fortes émotions sont capables de détruire une grande partie de notre intelligence?

Bonjour zabour, je suis dans le même état que toi. Est-ce que depuis tu en sais un peu plus sur ce sujet? et quelque chose à changer dans ton état ?

Merci pour ta réponse

[invite1d793136]

Je crois savoir ce qui se passe exactement. Mon intelligence émotionnelle (on en a tous avec une intelligence rationnelle) a du être détruite par la peur qui m'animait énormément ces temps-ci. Or personne ne sait, à ma connaissance, si l'intelligence émotionnelle, indispensable pour le bon fonctionnement du cerveau, peut se reconstruire et devenir tel qu'elle était avant.
La science n'est en fin de compte pas si avancée que ça...

[invite6f9dc52a]

La science n'est en fin de compte pas si avancée que ça...

J'aurais tendance a partager ce point de vue mais avec un raisonnement différent.

Avez vous consulté des professionnels de la spécialité (neurologue, psychiatre, psychologue) pour avoir une idée de l'état actuel de la science et si celle-ci peut vous être utile ?

[invite1d793136]

oui, j'en ai parlé à un psychologue, mais il n'avait pas l'air d'en savoir beaucoup sur la question. parlait le même langage que moi, et simplifiait trop les choses. Disait que c'était le surmenage(il est vrai qu'ayant dû commencer mon année scolaire en janvier avec le cned, l'intensité du travail avait doublé, ) mais ma crise de cerveau s'est faite en pleine période de repos. Fin avril, début mai. Ce qui me perturbait c'était le bac, bien sûr, mais également le regret du lycée(où la plupart me trait comme de la bouse de dragon), des filles intelligentes, et non pas une qui se collait à ma famille avec sa mère sous prétexte qu'elle était la meilleure copine de ma soeur, pour me forcer à l'accepter, passer près de moi au point de frôler, des regards insistants et tout le reste. J'ai pensé que j'ai dû être condamné à l'épouser, parce que je ne voyais plus d'autres filles mieux, et c'est justement là que j'ai fait ma crise de cerveau. en vérité, je m'efforçais à ce moment-là, de ne plus rien ressentir du tout, j'avais lu des bouquins comme des personnages pouvaient mourir de chagrin, et j'essayais de faire ça moi aussi. ça n'a pas marché, et cette peur qui me paralysait le cerveau a fini par détruire mon intelligence émotionnelle.
J'étais très sensible, à présent je ne le suis plus du tout. Mais toujours tendance à avoir un stress, des tocs qui cherchent à me manger tout le reste.

Ah si seulement je pouvais redevenir comme avant...

[invite6f9dc52a]

Reste a consulter un psychiatre et un neurologue (qui sont des spécialités bien différents).

Bonne chance.

[invite6f9dc52a]

Un sujet si "sensible" ne peut être laissé exposé aux commentaires plus ou moins constructifs mais potentiellement délétères des internautes de passage car, sur ce forum, il n'y a jamais eu de définition claire de l'intelligence et encore moins "émotionnelle" et le tout formera au mieux une discussion de comptoir.

http://forums.futura-sciences.com/sa...ise-point.html