bonjour
la suite 1,-1,1,-1,1,-1...... s'écrit (-1)^n
ma question comment ecrire la suite 1,1,-1,-1,1,1,-1,-1,1,1,-1,-1....... ?
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bonjour
la suite 1,-1,1,-1,1,-1...... s'écrit (-1)^n
ma question comment ecrire la suite 1,1,-1,-1,1,1,-1,-1,1,1,-1,-1....... ?
Bonjour,
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
il y a sans-doute plus simple mais cette expression a l'air de convenir : (-1)^{(n+2)/2 + ((n+2)%%2)/2} où n%%2 est le résidu modulo 2 de n
#3 mediat
pour n=1 c'est la racine carré de -1 , comment ? c'est i
Il n'y a pas de racine dans ma réponse précédente, juste la fonction "partie entière"
On peut aussi faire :
Dernière modification par Médiat ; 11/06/2023 à 09h23.
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Ah bon j'ai mal vu la partie entière j'ai cru que c'était juste une puissance .
C'est bon Merci beaucoup
Bonsoir,
va bien.
Bonjour,
Joli.
Et cela permet aussi d'avoir
Je me demandais d'où venait l'idée...
Joli aussi!
avec un dont la partie réelle colle bien pour n entier
avec
et aussi et
Avec pas mal d'informations dans l'OEIS : https://oeis.org/A057077
Dernière modification par stefjm ; 12/06/2023 à 11h46.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Pourquoi "partie entière de n(n-1)/2" ????
Pas d'intérêt si on reste avec n entier bien sûr.
Un peu d'intérêt parce que Médiat m'a donné l'idée en proposant une solution avec partie entière et beaucoup d'intérêt parce que votre expression est la partie réelle pour n entier de la fonction complexe de la variable réelle n.
https://www.wolframalpha.com/input?i...8n-1%29%2F2%29
L'ajout de la partie entière rend votre expression purement réelle, ce que j'ai trouvé sympa.
https://www.wolframalpha.com/input?i...1%29%2F2%29%29
car est égal à 0, contrairement à
Je trouve intéressant ce lien entre partie entière et partie imaginaire nulle, ainsi que le lien entre partie fractionnaire (modulo 1) et complexe d'argument modulo 2pi.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Bonjour Stefjm.
Si n est un entier, l'un des deux entiers successifs n-1 et n est pair, donc est un entier. Lui rajouter la fonction "partie entière" ne change pas sa valeur. Donc "L'ajout de la partie entière rend votre expression purement réelle" est assez bizarre !! Voici la suites des valeurs de pour n variant de -10 à 10 :
55, 45, 36, 28, 21, 15, 10, 6, 3, 1, 0, 0, 1, 3, 6, 10, 15, 21, 28, 36, 45
Cordialement.
J'ai l'impression que tu t'es fait avoir par le calcul formel, pour Wolfram, n n'est pas un entier, à priori c'est un réel, voire même un complexe !
Au lieu de regarder ce que ça donne à la main, en utilisant ton intelligence, tu as sous-traité la question à un logiciel dont tu ne sais pas ce qu'il fait. Comme ta question est mal posée, tu obtiens un résultat fantaisiste ...
Cordialement.
Oui, bien sûr. C'est ce que j'ai résumé par mon "Pas d'intérêt [pour la partie entière] si on reste avec n entier bien sûr."Si n est un entier, l'un des deux entiers successifs n-1 et n est pair, donc est un entier. Lui rajouter la fonction "partie entière" ne change pas sa valeur. Donc "L'ajout de la partie entière rend votre expression purement réelle" est assez bizarre !! Voici la suites des valeurs de pour n variant de -10 à 10 :
55, 45, 36, 28, 21, 15, 10, 6, 3, 1, 0, 0, 1, 3, 6, 10, 15, 21, 28, 36, 45
Le résultat obtenu n'est pas si fantaisiste que cela et j'ai utilisé Alpha pour illustrer (Je suis un peu feignant aussi).J'ai l'impression que tu t'es fait avoir par le calcul formel, pour Wolfram, n n'est pas un entier, à priori c'est un réel, voire même un complexe !
Au lieu de regarder ce que ça donne à la main, en utilisant ton intelligence, tu as sous-traité la question à un logiciel dont tu ne sais pas ce qu'il fait. Comme ta question est mal posée, tu obtiens un résultat fantaisiste ...
J'ai regardé ce qui se passe quand on plonge le problème initial dans les complexes.
J'ai tout de suite eu envie d'écrire le sous la forme , même si j'ai "oublié" le +2.k.pi de l'argument (et franchement, le i n'est pas très loin quand on oublie la partie entière...).
Le fait de considérer -1 comme un complexe doit être une déformation professionnelle de ma part.
Après, c'est peut-être un hasard, cette annulation de partie imaginaire?
Cordialement
Edit : et je n'ai sans doute pas rédiger ma réponse selon les règles de l'art.
Dernière modification par stefjm ; 12/06/2023 à 18h01.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Heu ... si n n'est pas un entier, il n'y a pas de "bonne définition" de . Wofram en choisit une en considérant que , il a été programmé pour cela. Et il emploie un calcul formel sur les puissances qui applique les règles "classiques", dont on sait qu'elles sont contradictoires (voir tous les sujets sur, entre autre). Wolfram ne fait pas des maths.
En tout cas, Tu es parti loin de la question initiale, parfaitement délimitée.
Dernière modification par gg0 ; 12/06/2023 à 18h22.
Je suis surpris par "considérer -1 comme un complexe doit être une déformation professionnelle ", car -1 est plein de choses (entier relatif, rationnel, réel complexe, quaternion, ..), et il est courant de ne pas considérer que c'est un complexe, par exemple dans la détermination principale du logarithme népérien.
Cordialement.
Je sais mais tout cela ne tombe quand même pas bien comme il faut comme par hasard. Si?Heu ... si n n'est pas un entier, il n'y a pas de "bonne définition" de . Wofram en choisit une en considérant que , il a été programmé pour cela. Et il emploie un calcul formel sur les puissances qui applique les règles "classiques", dont on sait qu'elles sont contradictoires (voir tous les sujets sur, entre autre). Wolfram ne fait pas des maths.
La définition utilisé par Alpha :
(-1)^x=cos(pi*x)+i.sin(pi*x)
C'est vrai que je suis parti loin, mais le posteur initial a vu du "i" là où Médiat n'en avait pas mis et la proposition de GBZM était tentante aussi.
Je ne suis pas mathématiciens, mais j'utilise beaucoup les complexes, en particulier en physique, électronique, commande de procédé (stabilité par rapport au point -1 dans le plan complexe) , etc...Je suis surpris par "considérer -1 comme un complexe doit être une déformation professionnelle ", car -1 est plein de choses (entier relatif, rationnel, réel complexe, quaternion, ..), et il est courant de ne pas considérer que c'est un complexe, par exemple dans la détermination principale du logarithme népérien.
Je trouve que les propriété de (-1) commencent à devenir sympathiques qu'à partir des complexes.
Je suis conscient que cela peut être casse-gueule, mais je ne suis jamais trop tomber sur des cas pathologiques.
Cordialement
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Je trouve tout ça un peu farfelu.
Tout simplement, n(n-1)/2 est un entier pair pour n congru à 0 ou 1 modulo 4 et impair pour n congru à 2 ou 3.
est-ce qu'on peut engendrer n'importe quelle suite périodique de 1 et -1 avec une formule du type (-1)^P(n) où P est un polynôme ?
Intéressante question. Ça revient à se demander si n'importe quelle fonction périodique de dans peut s'écrire sous la forme pour une partie finie de . Je ne pense pas.
C'est mon coté un peu loufoque et foutraque.
Ce n'est jamais qu'un plongement des entiers dans les réels, puis les complexes.
Oui. On obtient la séquence [0,0,1,3]
J'avais aussi noté que
https://www.wolframalpha.com/input?i...C+%28-1%29%5Ek
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».