Bonjour,

Je vais tout d’abord me présenter rapidement :
J’ai obtenu une thèse de doctorat en Chimie, par la suite j’ai été recruté en tant qu’A.T.E.R., puis j’ai effectué deux post-doc : un premier en France et un second à l’étranger. Durant mon parcours, j’ai postulé comme MCF dans différentes universités mais sans succès (meilleur classement : 3ième).
J’envisage à l’heure actuelle de passer le CAPES et/ou l’agrégation afin de sortir définitivement de cette situation, plus qu’infernale, avec comme unique perspective le RMI... Je me suis d’ailleurs reconnu très souvent dans les nombreuses situations qui ont été décrites sur ce forum par d’autres chercheurs surdiplômés et futur RMIste.

L’objet de mon post est de collecter des renseignements en ce qui concerne d’éventuelles procédures judiciaires qui auraient été lancées contre des jurys chargés de désigner les MCF dans une université.
En effet, j’ai appris (de source sure) qu’une personne, qui vient juste de passer son doctorat, sera désignée pour un poste de MCF qui sera attribué cette année. Il s’agit donc d’un poste à moustache…
Je voudrais donc savoir si vous avez des informations concernant des personnes qui auraient effectuées la même démarche judiciaire afin de faire « casser » la décision du jury ?
Je voudrais également savoir si ces personnes auraient subit par la suite des sanctions ou auraient été déclarées « persona non gratta » à la même université ? Cette démarche pourrait-elle poser problème par la suite au rectorat (sanctions officieuses pour avoir oser défier ces demi-dieux de l’éducation nationale) ?

Merci pour vos éventuelles réponses.

Yoda

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