Bonjour,
C'est la suite d'un vieux sujet, fermé.. Par les empêcheur de débattre en rond.. il fallait que je réponde à la seul participation intelligente au sujet.
Trés facile ! la RR implique qu'un photon qui voyage à c n'avance pas dans le temps. Il est donc partout à la fois sur son cône d'espace temps.One Eye Jack, ton idée ressemble à l'interprétation transactionnelle de Cramer. La propagation possibles de liens de causalité du futur vers le passé y explique la non-localité.
Par contre ton idée pose un problème nouveau : si on peut remonter dans le passé et faire un choix différent de la première fois, alors les deux choix existent simultanément au même instant t : le choix d'aller à gauche (j'ai réellement été à gauche à l'instant t, c'est grâce à cela que je me suis aperçu qu'il y avait un trou dans le sol) et le choix d'aller à droite (j'ai réellement été à droite au même instant t, sachant qu'il y avait un trou à gauche).
Explique moi comment il est possible en un même instant t d'aller à la fois à gauche et à droite ? Par quel mécanisme l'univers peut-il se scinder en deux ?
(avouez que ça tombe bien non ? )
Dans ma théorie globale, le temps est la communication. D'une façon ou d'une autre, je suis persuadé qu'au niveau quantique quelque chose change avec le temps. Ne serait-ce que l'expansion..
D'autre part, si chez Cramer comme chez toi on peut remonter le temps, comment se fait-il que la flèche du temps en thermodynamique aille toujours dans le même sens ?
toujours l'idée de la RR appliqué au photon.Citation:
Posté par rr-rg-rq Voir le message
Il serait bien étonant que la formulation de bell inclut tout les paramêtres pouvant influencer la polarisation et le temps (relié éssentiellement à la célérité de C pouvant interférer avec le temps de propagation).
La formulation de Bell prend en compte toute variable cachée locale imaginable. Ce qui inclus l'agitation des électrons, les micro-séisme, ou les nains de jardins qui vivent à la surface des protons, à condition qu'ils soient dans la zone d'espace-temps définie dans l'hypothèse de localité EPR.
Toute cause de quoi que ce soit, quelle qu'elle soit.
Et il montre que les résultats des équations de la MQ, observés par l'équipe d'Aspect, ne peuvent s'expliquer que par des causes extérieures à cette région d'espace-temps. Qui viennent de la zone d'espace-temps associée à la particule intriquée, pour être précis.
Conclusion, ou bien les causent agissent plus vite que la lumière (violation de la relativité restreinte) ou bien il n'y a pas de cause (hasard fondamental quantique).
Quelqu'un pourrait-il nous dire si l'approche supersymétrique tente d'expliquer la propagation des causes en faisant intervenir les dimentions spatiales supplémentaires, et si oui, comment expliquer que l'on ne puisse jamais en tirer d'information (envoi de message supra-luminique) si les causes agissent bien sur le résultat de nos mesures ?
PS concernant la censure.. imaginé une foule de machine communicante autoprogrammé.. au début elles n'ont que leur expérience, mauvaise ou bonne.. mais elles peuvent communiquer. Donc ça fait un gros brouaha, plein de connerie sont dites, certaine s'engueule, d'autre claque la porte.. Bien sur il faut vérifié les hypothèses, confirmé les expériences... à la fin, cependant, on arrive progressivement à une amélioration, et tout les machines finissent par tombé d'accord (et peuvent notamment améliorer leur condition d'existence). C'est pourquoi, le temps est la communication et inversement. Peut être faut il laisser le temps passé si il veut absolument se trainer comme une limace.
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