Bienvenu a ceux qui pourront m'aider.
Un paradoxe me torture depuis longtemps... d'autant plus maintenant. En effet en étudiant la longueur de Planck, je suis tombé sur un résultat qui n'a fait que rajouter à mon trouble.
Suis-je la double victime d'un raisonnement erroné et d'une coincidence mathématique?
Avec raison, certains feront le rapprochement avec l'un des paradoxes de Zénon (détails ici) , "la flèche en vol". Mais le défaut de ce paradoxe est de se prêter aux contournements nébuleux faisant appel aux énergies cinétiques ou aux infinitésimaux (voir une explication du paradoxe de la flèche ici).
Mon paradoxe est bien plus simple et ne permet pas ce type d'approche.
Le document détaillé est ici.
Je compte sur les esprits éclairés pour mettre fin à mes nuits blanches.
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] : la valeur de la longueur de Planck dépend du système d'unités physiques choisi. La valeur que tu cites (qui oublie les puissances de 10) est celle dans un système qui repose sur les mètres et leurs sous-multiples. C'est donc une valeur purement arbitraire et sans signification intrinsèque. D'ailleurs, il est bien plus "naturel" (et c'est ce qui est fait en physique moderne) de considérer que la valeur de la longueur de Planck est 1 et que c'est "un mètre" qui a une valeur plus "compliquée", laquelle résulte de conventions [pourquoi telle transition a été choisie pour définir la seconde, et donc indirectement le mètre, est une question historique et pratique, mais pas fondamentale...]

(en MQ on ne peut généralement pas dire si l'objet est en mouvement ou pas avec certitude et donc la question devient caduque).
. On peut représenter la fonction d'onde par un dirac. On ne connait pas sa vitesse. Or, la relativité restreinte nous dit qu'une particule massive ne peut se déplacer plus vite que