Bonjour,
Pourquoi on place le point de fonctionnement au milieu de la droite de charge?
Merci d avance.
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Bonjour,
Pourquoi on place le point de fonctionnement au milieu de la droite de charge?
Merci d avance.
Bonsoir,
droite de charge statique ou dynamique?
Bonjour.
La droite de charge s'employait à l'époque des dinosaures pour calculer des circuits avec des tubes à vide. Par inertie les gens on continué à l'utiliser pour des transistors, avant de s'apercevoir que c'était totalement inutile. Je pensais qu'elle était tombée dans les oubliettes depuis plus de 30 ans.
Pour un transistor à jonction, la droite de charge ne permet pas de trouver le point de fonctionnement, simplement parce que les caractéristiques électriques, comme le bêta sont très variables entre composants et avec la température.
Pour les transistors à effet de champ on pourrait, à la rigueur, l'utiliser. Mais on lui préfère d'autres méthodes pour fixer le point de fonctionnement.
Au revoir.
Salut,Bonjour.
La droite de charge s'employait à l'époque des dinosaures pour calculer des circuits avec des tubes à vide. Par inertie les gens on continué à l'utiliser pour des transistors, avant de s'apercevoir que c'était totalement inutile. Je pensais qu'elle était tombée dans les oubliettes depuis plus de 30 ans.
Pour un transistor à jonction, la droite de charge ne permet pas de trouver le point de fonctionnement, simplement parce que les caractéristiques électriques, comme le bêta sont très variables entre composants et avec la température.
Pour les transistors à effet de champ on pourrait, à la rigueur, l'utiliser. Mais on lui préfère d'autres méthodes pour fixer le point de fonctionnement.
Au revoir.
J ai posé cette question parce que je l ai trouvée dans un exercice,et si vous dites que c est une méthode inutile,je me demande pourquoi notre prof l a mis dans le cours mais le probleme c qu il ne l a pa expliqué.
Merci au revoir..
En classe A, on polarise le transistor au centre de la droite de charge (statique donc, la question ne se pose pas HULK) de manière à avoir la plus grande amplitude possible avant saturation/blocage.
Bonjour.
Une des règles de ce forum est que l'on essaie d'écrire en bon français. Je n'ai pas envie de répondre à un SMS.
Au revoir.
Bonsoir,
Je m excuse pour ma réponse qui était mal rédigée.Vraiment je passe par une période des examens et vous savez la pression et tout ça...
Je vais essayer d écrire en bon français dorénavant.
En tout cas je vous remercie,au revoir.
Bonjour.
La droite de charge était une méthode graphique pour trouver la résistance qu'il fallait mettre pour obtenir un point de fonctionnement choisi.
Ceci était parfaitement justifié pour les tubes à vide, pour lesquels les caractéristiquement électriques étaient connues uniquement par ces courbes et non par des équations. Mais ces courbes étaient le reflet de la réalité car les caractéristiques électriques des tubes provenaient de la géométrie des éléments du tube, qui étaient de grande précision mécanique.
Dans le cas du transistor à jonction, la seule caractéristique est Ic= bêta Ib, avec bêta compris entre 40 et 100 et avec Ib qui varie exponentiellement avec Vbe. Donc vous ne pouvez pas avoir un dessin avec des courbes de Ic en fonction de Ib ou Vbe.
Peut-être que votre prof a des bonnes raisons de parler encore de "droite de charge", mais j'aimerais les connaître.
Au revoir.
Bien sur que la question se pose.
C'est pour cela que je lui demande de quelle doite de charge il parle.
De plus où vois tu qu'il est question de classe A?
LPFR, tu n'es pas dans le vrai non plus, désolé.
La droite de charge permet bien des choses, mais visiblement vous avez l'air de les ignorer.
Je vous conseille donc de rapidement vous saisir d'un cours sur ce composant essentiel de l'électronique.
Hulk t'es vert, tu fais plein de fautes
Donc vamosleo, je te conseille d'ignorer les "recommandations" ci dessus.
Prenons le cas d'un montage émetteur commun:
On recherche en premier lieu la polarisation au point de repos, valeurs qui définissent l'état du transistor, en représentant dans le bon quadrant l'équation de la maille d'entrée (sa représentation est une droite d'attaque statique) et de la maille de sortie (droite de charge).
Leurs intersections définissent les grandeurs de repos.
La droite d'attaque:
Pour un émetteur commun la maille d'entrée s'écrit: VBB=RB*IB+VBE
D'où l'équation de la droite statique: IB=(VBB-VBE)/RB
Et la droite de charge (donc la maille de sortie) s'écrit: IC=(VCC-VCE)/RC
Pourquoi cela est-il nécessaire?
Un transistor ne doit pas être vu simplement par le point de vue idéal, ce composant possèdent des imperfections qui doivent être contrôlées afin de toujours se situer dans une zone de travail non destructive.
Par exemple le gain n'est pas fixe d'un modèle à l'autre et peut varier de manière importante, par construction ou par des effets extérieurs notamment la température.
Ainsi pour un fonctionnement normal, le point de repos doit se trouver dans une zone circonscrite entre 3 zones particulières:
1/ la zone de saturation
2/ la zone de blocage
3/ la zone (délimitée par une hyperbole) de dissipation maximale
Egalement il faut penser à la maintenance et à la fabrication en série, 2 échantillons d'une même référence n'ont pas forcément le même béta et pourtant il faut s'assurer que le remplacement de l'un par l'autre assurera un bon fonctionnement.
Surtout si tu fais 2000 cartes, si tu en as que 5 qui fonctionnent correctement c'est que tu as mal fait ton boulot.
Il est préférable de fixer le point de repos afin que celui-ci ne glisse pas hors de cette zone.
Par exemple pour IB = 0 il existe un courant collecteur non nul correspondant au courant dit de saturation d'une jonction polarisée en inverse et noté ICB0.
IC = ICB0 + (béta*IB), lorsque la température augmente ICB0 augmente aussi ce qui se traduit par un décalage vers le haut de l'ensemble des courbes et donc une dérive de l'ensemble des caractéristiques du montage dans lequel est intégré le transistor, ce qui est inacceptable par exemple en métrologie.
On met donc en oeuvre des stabilisateurs du point de fonctionnement.
Par exemple une petite résistance dans l'émetteur, si IB augmente, IC augmente (IC=beta*IB), donc VRE augmente => VBE diminue => IB diminue => stabilisation.
Différents circuits de polarisation sont utilisés, certains plus performants que d'autres (polarisation en courant, polarisation en tension, polarisation par rétroaction, mirroir de courant,
Des systèmes plus complexes permettent de réaliser une stabilisation sans pour autant altérer d'autres performances recherchées (gain,...) en amplification par exemple.
Pour reprendre l'exemple de notarobot et l'amplification en classe A, en analysant les droites de charges nous constatons qu'idéalement, la dynamique maximale serait atteinte lorsque le point de repos se situe au milieu de la droite de charge dynamique et non au milieu de la droite de charge statique.
C'est une erreur classique.
En régime alternatif la source d'alimentation continue est équivalente à sa résistance interne supposée nulle (donc le point E et la masse sont reliés par un court-circuit en alternatif) et que les condensateurs sont supposés équivalents à des court-circuits.
La droite de charge dynamique diffère de la droite de charge statique, sa pente n'est plus -1/(RE+RC) mais -1/(RC//Ru) puisque le condensateur court-circuite RE et que C2 équivalent à un court-circuit ramène donc Ru en parallèle sur RC.
Donc tu vois que l'étude des droites de charge statique et dynamique ne relève pas du mythe mais bel et bien de considérations conjointes physique et fonctionnelles.
Ne pas tenir compte de ces éléments pour définir correctement cette zone de travail s'est s'exposer à des déboires, la techique de mettre au "pif" est malheureusement toujours directement contrariée par la "loi de Murphy"...
@+
Bonjour,
Une première approche:
http://pagesperso-orange.fr/michel.h...c/chap_tr1.htm
Et merci pour vos explications. LPFR m'avait mis le doute.
J'ajoute quelques commentaires concernant les habitudes de notations (bonnes et/ou mauvaises) car on est sur le forum "physique".
En électronique, on appelle "droite de charge statique et dynamique" les droites que vous avez définie.
En automatique, le gain de cette droite dynamique est le gain statique de la fonction de transfert. (eh oui, il faut le faire... )
En électronique, la dynamique concerne l'amplitude max des signaux admissibles.
En automatique, la dynamique concerne les temps de réponses des systèmes. (constantes de temps ou fréquences caractéristiques)
Ici encore, il faut le faire...Des jours, j'arrive à plaindre les nouveaux étudiants.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».