Les aurores boréales

[invitea9a1d190]

Comme nous savons les aurores boréales sont du au vents solaires pour rester simple.
Ne pourrions nous pas récupérer cette energie pour alimenter des usines ou je ne sais quoi en éléctricité.
Avec la supra conductivité qu'on mettrait dans de l'azote liquide afin que sa resistance soit égale à 0 donc nous aurions conservation de l'éléctricité pour autant de temps qu'on veut et puis pendant une perturbation solaire trés importante nous pourrons modifié le système pour qu'il recoive l'ensemble de l'éléctricité car avec les systèmes d'aujourd'hui nous avons la possiblié d'être prévenu 3 jours à l'avance d'un orage solaire important.

Pour montrer la puissance de ce phenomène en 1972 je crois toutes le Quebec fut privé d'éléctricité pour 9 jours et on pouvait observer les aurores boréales chez eux.
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[invite6dffde4c]

Bonjour.
Il ne suffit pas que quelque chose puisse fournir de l'énergie pour que cette chose soit utilisable.
Il faut qu'elle soit économiquement réalisable, si non rentable. Avez-vous imaginé quel genre de capteur il faudrait mettre... en orbite. Il y a déjà d'autres sources d'énergie de plus facile accès à la surface de la terre qui sont infiniment moins chères et moins polluantes (envoyer quelque chose en orbite coûte beaucoup d'énergie et c'est très polluant).

Si quelque chose est économiquement faisable c'est déjà fait ou en cours de commercialisation. On ne vous pas attendu.
Au revoir.

[invite786a6ab6]

La foudre aussi pourrait fournir pas mal d'énergie si on récupérait tout ça dans un grand réseau mondial de paratonnerres supraconducteurs mais voilà ce n'est pas facile à faire... et l'investissement difficile à amortir. Il ne suffit pas d'avoir une bonne idée, il faut qu'elle soit économiquement rentable, et les éoliennes à vent solaire ne sont pas pour demain.

[invitea9a1d190]

Je ne parle pas d'une mise en orbite d'un satellite mais seulement une installation d'usine éléctrique dans les hémisphere en plus imaginons que nous utilisions un satellite je vois mal comment on pourrait transférer cette eléctricité sur la Terre mais même si c'était possible le récépteur de l'energie qu'a récupéré le satellite couterait trés cher.
Tous ca pour dire que je reste raisonnable dans mon raisonement d'un point de vue économique.
Pour ce qui est de la pollution ce serait déjà plus raisonnable que ce que nous avons là:
l'énérgie solaire avec les panneau qu'on doit non seulement fabriquer mais en plus on doit le changer régulièrement.
le nucléaire on doit conserver les déchets pour plus de 1000 ans
avec le pétrol et le charbon je t'explique même pas ce que ca dégage.
nous avons l'hydraulique les éoliennes et la géothermie qui reste encore raisonnable.
En ce moment nous avons le projet ITER qui reste assez douteux.
Donc pourquoi pas l'energie "bauréale" quand le stock de pétrol charbon et nucléaire sera écoulé.

[A voir en vidéo sur Futura]

[invitea9a1d190]

Pour tes orages la question s'est posé une bonne milliardième de fois.
Mais il s'avere que la foudre n'apporte absolument rien en énérgie éléctrique.
Reste à savoir pour les vents solaires.

[invite6dffde4c]

J
Donc pourquoi pas l'energie "bauréale" quand le stock de pétrol charbon et nucléaire sera écoulé.

Re.
Et comment comptez vous capter cette énergie?
Il faut finir par la transformer en 50 (ou 60) Hz et la brancher sur le réseau.
A+

[invite786a6ab6]

Ce n'est pas parce que les aurores ont fait disjoncter le réseau canadien qu'elles sont capables de fournir beaucoup d'énergie (faudrait faire le calcul). de plus cette énergie est très dispersée et disponible pendant de très courtes périodes. Il faudrait de gigantesques boucles pour recueillir sans doute que quelques MW.h qu'il serait certainement difficile d'injecter dans le réseau électrique.

[invitea9a1d190]

Moi je dit pourquoi pas!
La technologie avance à grande vitesse.
Pour le fait que les aurores polaires apporte ou pas de l'énergie éléctrique il est vrai que je n'ai ici aucune certitude mais il me semble avoir exquissé mon ignorance dessus dans les messages précédent.