Voilà.. vous allez sans doute me prendre encore pour un hurluberlue, mais peu importe..
Je tente de réconcilier, par la pensé, la MQ et la relativité général.. voici une idée que j'ai qui semble prometteuse. (Oui. Rien que ça.. et alors ? ne confondez pas l'impossible et l'improbable)

Quand on pense à ce qu'est la mécanique quantique (en profane que je suis) on arrive à cette description :
Il existe des particules en interaction, qui se rencontre dans des croisements qui font apparaitre et disparaitre certaine dans un jeux de "réaction". Le processus est multiple et complexe : comme dans le diagramme de Feymann, ce qu'on observe est comme le résultat final d'une infinité de combinaison qui aurait eu lieu en même temps.
Donc, on peut voir cela comme une foule immense d'anonyme, mais comportant d'innombrable opposé, c'est à dire des "entités" regroupement par couple, dont l'effet de l'existence s'annulent. Ce qu'on observe, ce sont uniquement certain d'entre eux, qui sont suffisamment singulier pour être en trop "la matière par rapport à l'antimatière", et dont la présence, leur propriété d'être en surnombre par rapport à la moyenne en somme, bien qu'il disparaissent et apparaissent constamment au fil des innombrables croisement avec la foule d'anonyme, est "globalement" une constante stable, qui définit la loi de conservation de l'énergie.

Dans un diagramme de Feymann, on pose les hypothèses suivante : chaque particule à une probabilité non nulle de sauter d'un point à un autre instantanément (selon l'équation de la probabilité, par exemple pour un photon qui est il me semble en 1/(x²+y²+z²-t²) ).

On observe également, que ce brouillard quantique, fait de multiple scénario possible est constante, sauf si une observation (pour nous) disons qu'une chaine de causalité implique une trop grande quantité de matière.. (je passe tout de suite sur la vieille interprétation erroné basé sur la présence du physicien : on sait aujourd'hui (dixit de nombreux livres) que c'est uniquement le changement d'échelle qui entraine la décohérence.. comme si plusieurs scénario était possible tant qu'il n'était pas trop différent entre terme de masse. La particule peut être à droite et à gauche en même temps, mais pas le million, qui lui à une longueur d'onde trop courte pour ça. Donc c'est bien le changement d'échelle de la chaine de causalité (quand le nombre de domino renversé par telle ou telle scénario devient trop grand pour que les scénario coexistent, en somme) .
On sait que tout est "particule". On sait donc que tout interaction est discontinue. Comme une bande d'aveugle dans une patinoire..

D'autre part, on a, la relativité général. Comment s'applique la relativité général ? On suppose qu'une masse implique une courbure de l'espace temps. ça signifie grosso modo, que le vecteur vitesse d'un objet subit dans l'espace une courbure. En d'autre terme, selon le principe d'équivalence : l'espace chute litterallement vers la masse.
Une idée me trotte dans la tête depuis plusieurs année : si on accepte l'idée qu'une particule se comporte comme un cabri qui saute de position en position, on doit logiquement admettre qu'une courbure de l'espace, une courbure simple de l'espace (pas espace temps) implique une accélération. En effet, si vous êtes un point posé sur une nappe courbé, et que vous faite un bond de 1 unité : vous constaterez que le cercle qui décrit vos choix possibles est raccourcit ou allongé à certains endroits, selon la courbure.
Une courbure simple, donc, suffit, si vous êtes un cabri, à orienter votre déplacement, voir votre accélération dans une direction, si il s'agit d'une courbure positive.

Comment se fait il donc que la courbure engendré par la gravitation soit une courbure de l'"espace temps" et non une courbure simple..

Mon idée est la suivante :
Posons l'hypothése suivante : il existerait une particule, une interaction, qui a l'effet d'une courbure simple (un particule qui pourrait simplement.. transporter une impulsion, comme le photon, la courbure simple devenant l'équivalent d'un champs éléctrique).. qui est rayonné par tout les masses. Mais cette particule à une particularité : elle ne peut, c'est l'hypothése, exister en surnombre.
En gros, on ne peut percevoir son existence, et elle ne peut jamais être directement observé, ni elle ni ses effets directe.

L'idée est la suivante : si la particule n'a d'effet que parmis les particules anonyme.. son effet sur un objet va donc dépendre du nombre d'interaction de cette objet avec le reste. Un objet immobile (relativement), va avoir beaucoup d'interaction avec l'observateur. A l'inverse, un objet en mouvement va avoir peu d'interaction.
On constate bien que si la particule "graviton" ne peut agir que sur les foules anonymes, et non avec le reste, cela peut expliquer que l'effet géométrique, soit lié à la vitesse de l'objet.

Comment expliquer ça de manière plus simple. Imaginer une foule d'aveugle sur une patinoire, qui peuvent s'envoyer et recevoir des messages et des impulsions (les photons) en les faisant glisser sur le sol. Mais qu'il existe également une autre forme de message (les gravitons) qui soit réglementé par une régle stricte : il doit impérativement être impossible de dire que tel aveugle à reçu un graviton de tel personne. Autrement dit les gravitons sont comme "secrets", incapable par une loi de l'univers à n'avoir aucune existence propre, comme les photons par exemple.
Autrement dit, la "constante de couplage" du graviton serait inversement proportionnel à la quantité d'interaction avec les autres forces.. augmentant avec la vitesse.
(On voit d'ailleurs trés bien l'inverse dans la relativité : quand un objet accélére, son temps diminue, autrement dit, quand un objet reçoit une impulsion (gravitationnel ou non) et passe d'une vitesse à une vitesse plus elevé, le temps diminue, ce qui est rigoureusement équivalent à une diminution de toute les constantes de couplages..)

Dans ce cas précis, on pourrait (peut être... ) observer quelque chose qui ressemble à la gravitation..

Voilà.. qu'en pensez vous ?