bonjour,
Je voudrait savoir si les physicien du cern on découvert le boson de higgs
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bonjour,
Je voudrait savoir si les physicien du cern on découvert le boson de higgs
Bonjour,
Ici: http://forums.futura-sciences.com/ac...ml#post3794059
J'avais lu ceci sur un autre forum:
Les collisions de protons de cette année, qui incluent une recherche du Higgs parmi ses objectifs,se sont terminé le 1er Novembre. Tous ce mois, le LHC est occupé par les collisions des ions plomb. De Décembre à Mars 2012, il sera fermé. Les collisions de protons reprendront l'année prochaine, d'avril à Octobre. Puis en 2013 jusqu'à la mi 2014, le LHC sera fermé pour une mise à niveau de la machine. les résultats de cette année devraient être annoncés en Mars, mais ils ne seront pas suffisants pour tirer une conclusion définitive. Il ya beaucoup de variations sur le thème de Higgs, il faudra au moins jusqu'à la fin de 2012, peut-être beaucoup plus
bonjour,
Je voudrais savoir aussi a quoi sert le boson de higgs? et surtout pourquoi lest temps primordiale pour confirmer le modéle standard
re,
Oui je croit qui l'agit avec les particule, ces particule vont baigné dans ce champs plus ils sont massif plus ils vont être profond dans ce champs
Bonjour,
pour faire le point sur la question :
http://public.web.cern.ch/public/fr/.../Higgs-fr.htmlEnvoyé par CERNDans les années 1970, les physiciens constataient que deux des quatre forces fondamentales, la force faible et la force électromagnétique, sont de même nature. Cette avancée majeure pour la physique des particules a permis l'unification des deux forces dans la même théorie, qui constitue la base du modèle standard. Ainsi, l'électricité, le magnétisme, la lumière ainsi que certains types de radioactivité sont toutes des manifestations d’une seule et même force appelée, logiquement, force électrofaible. Cependant, pour que cette unification soit vérifiée mathématiquement, il faut partir du principe que les particules porteuses de force n’ont pas de masse. Or, nous savons que cela n’est pas le cas ;
les physiciens Peter Higgs, Robert Brout et François Englert ont proposé une solution à cette énigme.
Leur théorie est que, juste après le Big Bang, aucune particule n’avait de masse.
Lorsque l’Univers a refroidi et que la température est tombée en-dessous d’un seuil critique, un champ de force invisible appelé « champ de Higgs » s’est formé en même temps que le boson de Higgs, particule qui lui est associée.
L’interaction avec ce champ répandu partout dans le cosmos permet aux particules d’acquérir une masse par l’intermédiaire du boson de Higgs. Plus les particules interagissent avec le champ de Higgs, plus elles deviennent lourdes.
Au contraire, les particules qui n’interagissent pas avec ce champ ne possèdent aucune masse.
La particule de Higgs, hypothétique, actuellement recherchée, est une bonne piste pour fournir un mécanisme à l'unification de la force faible et de la force electromagnétique.
Ne pas la trouver ne remetrait pas en cause la réussite de cette unification, mais ne permetrait pas de valider le seul (?) mécanisme imaginé dans le cadre du modèle standard.
L'hypothèse est que la particule de Higgs, ou mieux dit son champ, fourni aux particules (ondes) qui ne possèdent jamais de masse, une masse lorsqu'elles interagissent avec ce champ.
Accessoirement donc, sa mise en évidence permetrait de fournir une explication validée à ce que représente la masse.
re,
Donc d’après toi ce champs se serait formé alors que la température de l’univers refroidisse. Ma question est la suivante: pourquoi ce champs c'est formé grâce aux refroidissement de l'univers?
Je suis flatté, , mais ce n'est pas d'après moi, ceci est issu des théories qui font actuellement consensus.Envoyé par Anthony93Donc d’après toi ce champs se serait formé alors que la température de l’univers refroidisse.
Envoyé par Anthony93Ma question est la suivante: pourquoi ce champs c'est formé grâce aux refroidissement de l'univers?http://www.astronomes.com/le-big-ban...sance-matiere/Envoyé par AstronomesAprès l’inflation, l’Univers s’installe dans un rythme d’expansion beaucoup plus lent, similaire à celui que nous observons de nos jours. Rien de spécial ne se produit jusqu’à 10^-12 seconde. A cette époque, la température est de l’ordre de 10^15 kelvins, le seuil en dessous duquel les interactions électromagnétique et faible ne sont plus unifiées. Les deux forces se dissocient et l’Univers connaît une dernière transition de phase. Contrairement à la précédente, celle-ci se passe en douceur, sans effet majeur. A partir de ce moment, l’Univers est régi par les quatre forces que nous observons encore de nos jours.
1015 kelvins est le seuil en dessous duquel les interactions electromagnétiques et faibles faibles ne sont plus unifiées.
D'un point de vue plus théorique :
http://physique.quantique.free.fr/chapitre%2012.htmEnvoyé par Physique Quantiqueb) Brisure spontanée de symétrie - Mécanisme de Higgs
Une brisure spontanée de symétrie est un phénomène par lequel un système physique perd en degrés de symétrie. La rupture spontanée de la symétrie joue un rôle très important dans beaucoup de domaines différents de la physique. Comme nous l’avons vu, les équations de la physique possèdent en général des solutions qui présentent une ou plusieurs symétries internes. L'idée fondamentale réside dans le fait que certaines solutions de ces équations peuvent casser ou briser cette symétrie. L’un des exemples les plus connus d’un tel phénomène est la transition de phase du paramagnétisme au ferromagnétisme du fer.
Lorsque l’on chauffe un aimant, ses pouvoirs magnétiques décroissent pour disparaître subitement lorsque la température dépasse un seuil nommé température de Curie. Inversement, si l’on refroidit ce même aimant, ses propriétés magnétiques vont tout aussi subitement réapparaître lorsque la température passe au dessous de la température de Curie.
Chaque atome individuel de fer possède un moment magnétique propre c'est-à-dire qu’il se comporte un peu comme un aimant ou un dipôle magnétique en langage physique. Pour des températures situées au-dessus de la température de curie tous ces dipôles se dirigent dans des directions aléatoires. Dans ce cas-ci le système et les équations qui le décrivent ont une symétrie par rotation dans l’espace.
En effet, en faisant tourner de façon aléatoire le morceau de fer dans l'espace, les propriétés magnétiques de ce dernier ne sont globalement pas altérées. Quand la température tombe au-dessous de la température de curie, les interactions entre les dipôles magnétiques ont pour effet de les aligner selon une direction unique (le morceau de fer devient ce que l'on appelle dans le langage courant un aimant).
Avant la transition de phase le système était inchangé par n'importe quelle rotation dans trois dimensions, tandis qu’après la transition de phase le système est inchangé seulement par des rotations dans le plan perpendiculaire à la direction des dipôles. La symétrie tridimensionnelle initiale a été spontanément brisée en une symétrie bidimensionnelle
Il se trouve que le potentiel de l’interaction électrofaible se comporte de façon semblable à celui illustré par cet exemple.
Au delà d’une certaine énergie (~ 100 GeV) le potentiel électrofaible possède la symétrie SU(2)L x U(1). En deça, les états d’énergie sont dégénérés et ce qui conduit briser spontanément la symétrie.
Pourquoi le potentiel électrofaible a-t-il cette forme ? Ceci est du au fait que d’autres champs se superposent à ceux de l’interaction électrofaible : les champs de Higgs dont les quanta sont appelés bosons de Higgs. Ces champs ne possèdent pas les mêmes symétries que ceux de l’interaction électrofaible. A haute énergie, leur effet n’est pas décelable et donc la symétrie de l’interaction faible est apparente. En revanche, à partir d’un certain seuil, la forme du potentiel est affectée par les champs de Higgs au point de provoquer la dégénérescence des états d’énergie, et du coup, ils provoquent la brisure spontanée de la symétrie électrofaible.
La présence des bosons de Higgs induit un autre phénomène d’une importance majeure : ils font anormalement baisser l’état d’énergie du vide.
Par conséquent, les bosons de l’interaction électrofaible (W+, W- et Z0) ne se trouvent pas dans leur état fondamental (on dit qu’ils ne sont pas sur leur "couche de masse") et acquièrent une masse ! En acquérant une masse, leur portée devient finie et comme cette masse est très élevée (entre 80 et 90 GeV) cette portée est très courte.
Bonjour,
C'est vraiment très compliqué de vulgariser le mécanisme de Higgs.
Je ne sais pas si des discours comme celui cité (physique quantique) éclaire quiconque.
J'ai déjà donné plusieurs versions vulgarisées sur Futura et pour comprendre il faut avoir au moins au départ quelques repères, sans quoi
comprendre est une pure allusion.
1- Les transitions de phases en physique du solide: notion de brisure spontanée de symétrie.
2- Le modèle standard des particules: L'invariance de jauge comme symétrie. Comprendre pourquoi toutes les masses sont nulles.
3- Un exemple de brisure de jauge: L'effet Meismer dans le phénomène de supraconductivité.
4- Le modèle inflationnaire de la cosmologie: Pour situer le rôle du champ de Higgs dans l'évolution de l'univers.
Donc pour comprendre le mécanisme de Higgs il faut connaitre quelques bricole dans les domaines ci-dessus.
Bonsoir,
Le modèle standard n'a pas attendu le higgs pour fonctionner et heureusement !
Le modèle standard est avec la RG, une théories des plus avancé jamais conçue par les scientifiques, extrêmement bien vérifié expérimentaient, a un tel point qu'il n'y a apparemment pas de nouvelle physique suite au expériences du LHC.
La logique est une méthode systématique d’arriver en confiance à la mauvaise conclusion.