Sujet centrale psi 2010 physique

[inviteca3a75b7]

Bonjour,
Je suis entrain de travailler le sujet centrale psi 2010 physique et je me pose quelques questions :
I-C- 1 : Miroir de Bragg je ne comprends pas pourquoi on introduit pas un éventuel déphasage de pi lorsque il y a reflexion sur un milieu d'indice plus élevé (l'indice varie avec le carré du sinus de l'épaisseur). C'est plus simple mais je ne vois pas pourquoi on en tient pas compte.
I - C - 3 : je ne vois pas du tout ce qu'il faut répondre.
I - C - 5 :je ne vois pas comment on trace la courbe.
Merci de bien vouloir m'aider.
Bonne soirée
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[invitecbf2e464]

Peut-être pourrais-tu mettre le lien vers l'énoncé ou le détailler un peu pour nous...

[inviteca3a75b7]

Bonjour,
Voici un lien :
http://www.sujetsetcorriges.fr/dl2/s...10-phy-PSI.pdf
Bonne journée

[inviteca3a75b7]

Bonjour,
personne ne voit?

[A voir en vidéo sur Futura]

[invite6dffde4c]

Bonjour.
Le sujet est plutôt mauvais. Il commence mal en disant que le procédé Lippmann est peu connu. En fait, les physiciens n'ont l'air de connaitre que ce procédé qui n'a jamais fonctionné en pratique. Alors qu'ils ignorent le procédé "Autochrome" des frères Lumière qui fut une réussite commerciale et le seul utilisé pendant plusieurs décennies.

I-C-1. Vous avez raison. Il faudrait ajouter un signe moins. Mais ceci ne change pas le résultat de ce que l'on voit. Il faut dire que le sujet est plutôt mauvais. Et dire que le résultat de l'exposition de la plaque est un changement d'indice de réfraction me semble faux. C'est de l'argent métallique qui est précipité et qui disperse la lumière.
I-C-3 Comme les variations d'indice sont faibles, l'amplitude de la lumière réfléchie à chaque interface sera faible et celle de la lumière transmisse proche de celle incidente. Calculez la longueur d'onde dans la gélatine et le nombre d'interfaces dans 50 µm
Mais la question ressemble à celle de Bilbo (Bilbon en français) "Qu'est-ce que j'ai dans ma poche ?". Vous devez deviner ce que le rédacteur avait dans sa tête quand il a (mal) rédigé la question.
Peut-être qu'il s'agit de dire que le nombre d'interfaces de réflexion est infini. Ce qui est une connerie, car non seulement il y a l'épaisseur de la gélatine. Mais surtout le temps de cohérence de la lumière qui limite les interférences constructives.
I-C-5. Regardez ce que donne la formule de la question précédente pour 't' (presque) égale à 1. (comparez le t² à 1)
En simplifiant, on peut tracer la courbe sans problème.
Au revoir

[inviteca3a75b7]

Tout d'abord merci pour votre réponse. Vous m'ouvrez des perspectives que je ne voyais pas.
Certains points me gênent cependant encore un peu.

I-C-1. Vous avez raison. Il faudrait ajouter un signe moins. Mais ceci ne change pas le résultat de ce que l'on voit.

Je ne réussis pas à voir en quoi ça ne changerait rien, l'évolution de n est sinusoïdale et tout ça ne me semble pas évident. La modélisation, comme vous le dites, n'est peut être pas correcte.

I-C-3 Peut-être qu'il s'agit de dire que le nombre d'interfaces de réflexion est infini.
Au revoir

Si les variations de l'indice sont faibles j'aurais plutôt tendance à penser que le nombre d'interface justement est faible. l'énoncé semble demander une conclusion sur la faible valeur de n.

I-C-5. Regardez ce que donne la formule de la question précédente pour 't' (presque) égale à 1. (comparez le t² à 1)
En simplifiant, on peut tracer la courbe sans problème.
Au revoir

Pour les valeurs particulières je trouve que pour (lbda/m, m entier) on a des max (très élevés car t proche de 1 donc dénominateur proche de 0), des minimums pour (2lbda/(2m+1), m entier). Mais pour la forme générale de la courbe, je ne vois pas l'allure d'un (1/cos) en tout cas ça me semble difficile en concours de faire ça. I élevée quand lbda très élevé me dérange (E = hc/lbda).
Mais je me prends peut etre trop la tete.
En tout cas merci encore pour votre réponse

[invite6dffde4c]

Re.
1 -Que les interférences se fassent avec des signaux qui partent avec un signe + (dans la formule) ou avec un signe moins, l'interférence sera constrictive ou destructive aux mêmes endroits dans les deux cas et ce que nous voyons n'est pas l'amplitude mais l'intensité (le carré de l'amplitude).
2 - Le nombre de maxima et minima de "choses" dans la gélatine ne dépend pas de l'intensité des "choses" mais de la distance entre elles et de l'épaisseur de la gélatine.
3 - Arrêtez de vous fixer sur le nombre multiples de . C'est sans intérêt. N'oubliez pas que les longueurs d'onde sous-multiples ou multiples de tombent dans l'infrarouge ou l'ultraviolet. Car c'est du visible.
A+

[inviteca3a75b7]

Merci beaucoup !!!
Bonne journée