ceci est conceptuel, et issu des travaux des scientifiques à propos de la particule de higgs aussi nommé graviton, et la génération de micro singularité ( un checrheur dans un petit laboratoire en israël en a fait une démonstration )
j'éditerai pour mettre le sliens vers les articles dont j'ai pris connaissance ;
alors: à partir des travaux suivants: ( edit à venir, merci de patienter quelques instants)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Graviton
passage tiré de cette source:
Malgré de nombreuses tentatives, le graviton n'est pas même théoriquement bien cerné. À ce jour, toutes les tentatives de créer une théorie simple de la gravité quantique ont échoué. Il reste encore inobservé, et la recherche du Higgs (ou boson BEH du nom de ses "découvreurs" Brout Englert Higgs), autre boson pressenti quant à lui comme le fondement de la masse de tout fermion – alors que le graviton en constituerait le vecteur –, focalisait au début du XXIe siècle les efforts de la communauté de recherche fondamentale. Le boson de Higgs a été découvert au CERN et l'annonce en fut faite le 4 juillet 20122.
Certains chercheurs ont même tendance à ne pas considérer le graviton comme une véritable particule.
quelque soient les hypothèse envisagés par toute les diverses variantes ( comme par exemple le "graviton, serait une vibration ou une corde, peu importe en fait; le stravaux suivant: ( de ce scientifique dans un petit laboratoire en israël )
http://www.israelscienceinfo.com/phy...noirs-video-2/
passage tiré de cet article :
Technion (Israël) : une expérience accrédite la théorie de Stephen Hawking sur les trous noirs. Vidéo
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Jeff Steinhauer dans son laboratoire à côté de l'expérience qu'il a menée sur le rayonnement de Hawking. © Nitzan Zohar Jeff Steinhauer dans son laboratoire à côté de l'expérience qu'il a menée sur le rayonnement de Hawking. © Nitzan Zohar
Le 20 août 2016 par Israël Science Info desk
On n’a malheureusement toujours pas découvert de trous noirs en train de s’évaporer par rayonnement de Hawking. Toutefois, les raisonnements et calculs conduisant à prédire ce phénomène viennent d’être testés dans un laboratoire du Technion en Israël avec un système physique qui l’imite : un trou noir acoustique.
Il semble que l’expérience la plus solide et la plus précise à ce jour, que l’on peut donc considérer comme la première observation de l’équivalent du rayonnement de Hawking en laboratoire, ait finalement été réalisée avec succès par le physicien israélien Jeff Steinhauer, du Technion (Israël).
Le chercheur a produit un trou noir acoustique dans un condensat de Bose-Einstein formé d’atomes de rubidium ultra-froid. Pourquoi ne pas avoir choisi un fluide conventionnel ? Parce que les fluctuations thermiques dans un tel fluide dégraderaient tellement l’éventuelle émission de rayonnement de Hawking d’un trou noir acoustique que l’on ne pourrait démontrer facilement sa présence. Il faut en effet obtenir un rayonnement de corps noir presque parfait et aussi pouvoir démontrer que les phonons émis par le trou noir sont intriqués avec d’autres phonons qui ont été absorbés par le trou noir acoustique au cours du même processus.
Jeff Steinhauer pense donc être arrivé à atteindre ces deux buts. S’il a raison, cela ne prouve toujours pas que de vrais trous noirs puissent s’évaporer par rayonnement de Hawking mais cela accrédite l’idée qu’il n’y a pas d’erreurs de raisonnement dans la dérivation de ce phénomène à partir des lois de la mécanique quantique, de la relativité générale et de la thermodynamique.
Une révolution pourrait émerger
La révolution de la physique quantique s’est produite quand les physiciens ont étudié en profondeur les interactions entre matière et rayonnement, à la croisée de la théorie du champ électromagnétique de Maxwell et de la thermodynamique statistique de Boltzmann et Gibbs, toutes deux appliquées aux atomes.
Une révolution similaire pourrait émerger lorsque l’Homme aura compris en profondeur l’émission par les trous noirs du rayonnement que Stephen Hawking a découvert théoriquement en 1974. Ce dernier essayait alors de démontrer que Jacob Bekenstein se trompait lourdement en affirmant que l’on pouvait associer une entropie à un trou noir.
Rappelons qu’un trou noir n’est pas défini par l’existence d’une singularité mais par celle d’un horizon entourant une région de l’espace et l’isolant complètement de toute communication vers l’extérieur (un signal quittant cette région devrait dépasser la vitesse de la lumière). Il est donc noir car la matière qui y pénètre ne peut plus envoyer du rayonnement en-dehors de l’horizon. Or, selon les lois de la thermodynamique, un système physique qui possède une entropie, qui est une mesure du désordre de ce système, ou encore de l’information qu’il dissimule, doit posséder une température et donc rayonner.
L’évaporation des trous noirs, la clé du Big Bang
Comme allait le démontrer Hawking, ce rayonnement est celui d’un corps noir parfait et il conduit à l’évaporation d’un trou noir, ce qui montre qu’en fait Bekenstein avait raison. Cela pose le difficile problème du paradoxe de l’information ainsi que celui du pare-feu. Une théorie quantique de la gravitation devrait les résoudre et nous dire ce que devient finalement l’information tombée dans un trou noir avec la matière et la lumière qu’il peut avoir absorbées au cours de sa vie. Nous devrions alors mieux comprendre comment est né l’univers.
Toutefois, personne n’a encore jamais vu de trou noir en train de s’évaporer. Les trous noirs de masses supérieures à celle du Soleil sont certes trop froids pour produire du rayonnement mais on espérait bien détecter des minitrous noirs produits pendant le Big Bang ou dans les collisions au LHC. Alors, pourquoi les chercheurs n’ont-ils jamais observé un tel phénomène ? Peut-être parce que les trous noirs ne rayonnent pas et que Hawking s’est trompé… En tout état de cause, ses calculs sont muets sur l’état final de l’évaporation d’un trou noir.
Il existe cependant une stratégie pour tester la validité de ces calculs jusqu’à un certain point et, peut-être, découvrir des indices supplémentaires pour construire une théorie de la gravitation quantique. Cette stratégie a été proposée il y a longtemps déjà par William Unruh. En 1981, celui-ci démontrait qu’un écoulement supersonique pouvait, en théorie, reproduire l’analogue de l’horizon d’un trou noir et qu’une sorte de rayonnement de Hawking en découlerait sous forme de quanta d’ondes sonores.
fin de citation
Des trous noirs acoustiques pour tester l’effet Hawking;
concept envisagé ( désolé c'est pas rigolo, mais c'est important pour moi )
en faisant une double création de ses trous noirs acoustiques et en attirant assez de gravitons ; de ce que j'ai comprit: les deux trous noirs : s'échangeraient régulièrement des gravitons, effet secondaire: gravité artificielle.
peut on envisager la possibilité de "capturer" des gravitons avec ces micro singularités ?
cela reste conceptuel, et les fusées qui vont sur la lune aussi ont commencé comme ça.
j'avait pousser le concept jusqu'à la gravité artificielle nécessaire à pressurer l'hydrogène, une forme de fusion froide, mais je me suis heurté à un manque de connaissances dna sle sméatériaux pour y aboutir. j'avait intiulé cette oeuvre écrite de mes mains chronos X ( curieusement, après que je l'ai mis au placard, trop peu voulant les écouter et essayer de comprendre ces quelques concepts: des fusées space x ont commencé à exploser... mais je n'arrive pas à trouver de "lien de causalité de l'un à l'autre; peut être une histoire de miroir, et d'orgue de barbarie; passez ce trait d'humour si vous ne le trouvez pas amusant )
merci d'éclairer ma lanterne quant vos possibles, commentaires ( évitez de remettre ces concepts au placard comme la première fois que j'ai abordé ce sujet sur ce forum, j'ai un peu peur des conséquences si vous le faisiez, vous comprenez ? ) et utilisations de ces quelques concepts.
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