Oui mais du coup, il me semble difficile de considérer
d'un coté
- une réponse à débit négligeable et donc variation de niveau constant
et de l'autre (et en même temps)
- une réponse en rampe de la variation de niveau, correspondant à un débit constant
C'était juste pour signaler que je n'ai pas d'ouvrage à citer.
Il faut faire attention avec les asservissements : Asservir quelque chose demande de l'énergie qu'il faut fournir ou retirer au système étudié pour obtenir la consigne.
C'est justement le réglage du terme en p qui est lié à l'entropie (un échange d'énergie avec l'extérieur).
Le cas de l'intégration pure est un cas particulier puisque transfert en 1/p, sans perte d'énergie.
Ce qui n'est pas le cas du premier ordre à pôle non nul (1/(1+T.p)) qui dissipe ou consomme de l'énergie.
Cette hypothèse est incompatible avec la suite : "quand le lac est entièrement vidé"
Soit on considère que le lac reste plein, soit on admet qu'il se vide.
Déjà relevé par Amanuensis, mais apparemment pas compris par toi.
J'ai pris la discussion en route, il faut que je lise ce qui précède pour avoir un avis plus précis, mais d'instinct, il me semble que c'est le noeud du problème.
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), l'entropie est un concept dérivé du concept d'énergie (et la conservation de l'énergie est l'un des piliers le + solide de la Physique, cependant & comme l'entropie en dérive ... la croissance entropique & donc le MEP semble incourtounable
)
))
& l'énergie sombre, tout comme l'inflation sont bien des phases d'expansions de l'univers ...)
, avec Pe : Puissance entropique, J puissance éxergétique et R un coeff de proportionnalité ? Pas étonnant alors que J puisse servir ou desservir Pe, non ? Mais comme remonter le temps est certainement moins probable : j'ai une tendance à l'interprétation Time Symmetric, mais je devrais plutôt dire Time Asymmetric puisque justement les états à rebrousse temps se dilue dans les effets du temps par irréversibilité des phénomènes macroscopiques ...