avion 2.jpgFig.2 Sécurité.pngFig.3 sécurité.pngFig. crash.png
Bonjour
Une personne au bord de la noyade s’accroche à une paille , plus dramatique lorsqu’il s’agit d’une chute d’une hauteur semblable à celle du mont Everest où on cherche à s’accrocher à une plume d'oiseau, voir un rayon lumineux s’il passe près de nous.
Quelque soient les progrès techniques et technologiques, les avions, et surtout ceux des voyageurs, ne sont pas à l'abri d'un crash suite à un arrêt brusque des moteurs ou autres disfonctionnements. D'où il faut prévoir un moyen qui malgré transporté par l'appareil, son fonctionnement ne doit en aucun cas dépendre de l'avion. le truc proposé ne transforme pas l'avion en aérostat où l'avion peut continuer son parcours, mais rendre la chute meurtrière en atterrissage souple avec moins de dégâts.
C’est dans ce sens que vous propose une solution qui parait pratique, simple, non couteuse et qui peut former une base d'étude face aux crashs d’avion survenus à haute altitude.
En premier, on prévoit plusieurs trappes sur le corps de l’avion et sur ses deux ailes. Dans chaque trappe on met un grand ballon du genre Montgolfière plié de la façon d’un parachute. Le ballon est attaché rigoureusement à la structure solide de l’avion par des câbles élastiques semblable à ceux utilisés par les sauteurs de pont mais plus puissant parce que ce sont ces câbles qui vont tenir l’avion qui tombe du ciel en chute libre.
Dans la cabine de pilotage ou met des cuves ou bouilleurs en tôle galvanisée revêtus de caoutchouc pour ne pas laisser étendre la chaleur engendrée par la réaction chimique qui se produit dedans.
Dans chaque bouilleur, contenant deux orifice*; l’un recevant l’eau alors que l’autre laisse sortir les gaz sous pression vers les ballons, on met la quantité qu’il faut de chaux vive qui après dissolution en contact de l’eau produit en même temps une chaleur capable de réchauffer l'air contenu dans les ballons et la pression qu'il faut pour gonfler parfaitement les ballons qui se trouve en dehors de l’avion. Fig.2.
Lorsque le pilote voit que le crash est inévitable, par une simple manœuvre ouvre le robinet pour que l’eau mouille la chaux vive, ou par électrovanne commandé par l'arrêt du moteur, et en quelques secondes les ballons commencent à se gonfler par des gaz très chauds. Ce sont ces gaz chauds qui vont maintenir l’avion en amortissant le choc contre le sol de la terre. Fig.3
A haute altitude la pression atmosphérique diminue, ce qui entraine le refroidissement des gaz contenus dans le ballon; vapeur d'eau. avec plus de chaux vive dissoute dans l’eau, la chaleur engendrée peut maintenir les ballons bien gonflés. Ou prévoir une autre astuce laissant l'air ambiant entrer dans le ballon et chauffer par la chaux vive. Une fois l'air dans le ballon atteint une température plus élevée que celle de l'air ambiant il ne sort plus du ballon alors que la vapeur condensée quitte le ballon. Fig.4
A noter que*:
- les gaz dégagé ne sont pas inflammable
- Quelle que soit l’immensité de l’avion, il se trouve théoriquement un ballon plein de gaz chaud qui peut le maintenir en air. Et quelle que soit l’immensité*du ballon, il y’a assez de chaux vive qui une fois dissoute dans l’eau peut parfaitement le gonfler.
- En cas de mélange de grandes quantités de chaux vive et d'eau, la chaleur dégagée est telle que l'eau peut se mettre à bouillir. CaO + H2O → Ca(OH)2 + 1*155*kJ·kg-1CaO
Le Ca(OH)2 reste dans le brouilleur alors que 1155 kJ·kg-1 de chaleur se dissipe vers le ballon. Avec formation après refroidissement de faible quantité d’eau au sein ce dernier.
Cordialement
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