Bonjour,
J'espère être au bon endroit pour ce sujet. Je souhaiterais témoigner d'une expérience dont j'ai été le témoin. N'ayant que l'âme d'un scientifique et non sa formation, je suis certain que cela peut trouver à s'expliquer même si en premier lieu ce que j'ai vu est déroutant et je n'ai pas de solide explication.
Les faits :
En descendant à mon bureau en sous-sol, j'allume la lampe d'une marque suédoise très connue. L'ampoule grille, ou peut être implose. De manière très classique en appuyant sur l'interrupteur elle a grésillé, s'est allumée fortement une fraction de seconde et s'est éteinte. Sauf qu'à cet instant précis une sorte d'étincelle s'est laissée "couler" tel une larme, ou choir comme une feuille morte s'éteignant progressivement et ce à l'extérieur de l'ampoule. J'ai allumé l'éclairage principal, retiré l'ampoule qui est intacte (non fissurée), je n'ai pas retrouver trace d'une quelconque "cendre" ou étincelle morte sur mon bureau, bien que cette lueur semblait soumise à la pesanteur.
Mon analyse :
Je me dis que cela doit pouvoir s'expliquer. Et potentiellement, il pourrait s'agir de la réunion de différentes circonstances dont les principales me paraissent être celles ci :
- il s'agissait d'une ampoule à incandescence de 60w, celle-ci en toute logique devait contenir un gaz...
- la lampe de bureau est de style classique, articulée à l'aide de ressorts, l'ampoule prend place dans une sorte de cloche ou de tulipe. Sa morphologie est donc légèrement conique.
- j'étais dans une forte obscurité, ce qui m'a permis peut être de voir quelque chose d'invisible avec plus de lumière
- mon sous-sol est froid (environ 14° au moment de la constatation du phénomène) et plutôt humide (65%).
- l'étincelle était de couleur chaude (plutôt jaune que blanc/bleue)
Ma conclusion :
J'ai pensé à la matérialisation d'une énergie qui ne serait pas l'électricité du circuit électrique mais plutôt présente, du fait de ces conditions, autour de l'ampoule, comme de l'électricité statique (mais je n'ai toujours vu que de l'électricité statique bleue en secouant une couverture polaire dans le noir...). Le gaz qui potentiellement monte en température de manière fugace dans l'enveloppe de l'ampoule lors de la rupture du filament, alors que la température extérieure est plus froide, le tout dans un cône métallique (doit être de l'acier de base) aurait peut-être pu amplifier ou focaliser une concentration d'énergie, probablement faible, mais réelle autour de l'ampoule... mais je n'explique pas, si c'est de l'énergie, son mouvement comme soumis à la pesanteur, sauf à ce à penser que, comme l'électricité, cette énergie a cherché la terre.
Tout cela n'est que supputation, car j'avoue n'avoir jamais rien vu de semblable, ni même lu... mais il y a forcément une explication...
Qu'en pensez-vous ? Avez-vous déjà vu, ne serait-ce qu'en labo, une expérience similaire ?
Merci à chacun.
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