Bonjour,
Pour expliquer ce qui suit, voici l'exemple d'un bateau sur la mer.
Si l'on interprète correctement le principe d'Archimède l'on constate qu'une mer calme fait flotter un bateau parce que celui-ci a équilbré les "forces" avec elle. Mais en fait, cet équilibre de forces est plutôt un équilibre de pressions, depuis toute la profondeur sous l'eau jusqu'au niveau "zéro" de la mer, indépendamment des diverses étendues de surface de la coque des vaisseaux.
Et à partir du moment où l'on parle de pressions, l'on peut éventuellement adapter le principe d'Archimède à la loi de Bernoulli. Curieusement, à première vue le seul endroit où le principe d'Arcimède d'un vaisseau à l'arrêt sur l'eau peut s'adapter à Bernoulli ...
.. est celui du niveau zéro de la ligne de flottaison. A cet endroit, non seulement la pression vaut zéro, mais la vitesse également (au départ, c'est convenu comme cela), et la hauteur z, elle aussi, vaut zéro. Car n'oublions pas: pour la mer, tout ce qui flotte n'a pas de + de "hauteur" que son propre niveau. Donc la mise en équation serait la suivante : P(0) + "rho". v²(0)/2 = - "rho". g. z(0), pour P = pression, rho = masse volumique du liquide, v = vitesse, g = acc. grav, et z = hauteur.
Je cherche à savoir si cette version est bonne, (le signe - interprète la poussée sous-marine) afin de m'en servir pour calculer plus aisément le problème du surenfoncement des bateaux quand la vitesse d'un bateau fait bouger aussi celle de l'eau de mer contre elle (v supérieur à zéro)..
Merci
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