Bonjour,
Je ne suis peut-être pas dans le bon forum mais je ne sais où poser cette question : Bien que la quantité d'oxygène ne varie pas dans l'air en fonction de l'altitude; il n'en est pas moins vrai que l'air se raréfie lorsque l'altitude augmente. Il doit exister une courbe ou une table de répartition de cette variation en fonction de l'altitude ? Merci davance pour vos réponse. Cordialement.
http://www.educnet.education.fr/bio/...r/respqmod.htm
la dessus tu as la pression en fonction de l'altitude.
Tu peux fabriquer ce que tu souhaites en considerant par ex que l'air est un Gaz parfait (GP)
équa du GP : PV=nRT.
Tu peux fixer V = 1 m3
Il te rester a trouver T en fonction de l'altitude h
tu aura donc : n(h) = P(h)/(R* T(h) )
Si on prend n(O2) = cte. il suffit de prendre 21% de n(h) est tu as la quantité d'O2 dans un m3 d'air a l'altitude voulu
François
Personnellement, j'utiliserais l'approximation de l'atmosphère isotherme pour en déduire l'évolution de la masse volumique de l'air en fonction de l'altitude.
En orientant l'axe, on a
En considérant l'air comme un gaz parfait, on peut utiliser la relation PV=nRT. Or nM=m, donc
Donc
On a également
Au final, on peut donc faire apparaitre une différentielle logarithmique :
ce qui nous donne la masse volumique de l'air en fonction de l'altitude :
Après il faut supposer que le rapport masse volumique de l'oxygène et de la masse volumique de l'air est invariant selon l'altitude (heu, bon ca c le point faible : je ne suis pas sur que ca soit tout a fait vrai)
En tout cas, la courbe de la pression donnée par lephysicien ressemble à une exponentielle décroissante, donc mon résultat ne semble pas abérant, reste à le confirmer...
Nikel pour moi, j'ai vu cette demonstration cette année.Envoyé par Scorp
Personnellement, j'utiliserais l'approximation de l'atmosphère isotherme pour en déduire l'évolution de la masse volumique de l'air en fonction de l'altitude.
En orientant l'axe
En considérant l'air comme un gaz parfait, on peut utiliser la relation PV=nRT. Or nM=m, donc
Donc
On a également
Au final, on peut donc faire apparaitre une différentielle logarithmique :
ce qui nous donne la masse volumique de l'air en fonction de l'altitude :
Après il faut supposer que le rapport masse volumique de l'oxygène et de la masse volumique de l'air est invariant selon l'altitude (heu, bon ca c le point faible : je ne suis pas sur que ca soit tout a fait vrai)
En tout cas, la courbe de la pression donnée par lephysicien ressemble à une exponentielle décroissante, donc mon résultat ne semble pas abérant, reste à le confirmer...
D'ailleur on retrouvait le resultat dans un autre chapitre, mais je ne sais plus lequel a chaud comme ca.
pour ce qui est de n(O2) = cste, moi aussi, je ne suis vraimant pas sur.
par ex, on sait que le CO2 est assez dense dans l'air pour qu'il se dirige vers le bas ...
maos apres entre N2 et O2 (totu juste a coté dans le tableau) , aps de grande difference, est ca fait 99% de l'air, donc l'approximation semble valable aussi, enfin, c'est ce que je pense
une petite erreur dans mon post : il manque un z dans la formule : on a démontré que
Après quelques petites recherches, il semble en réalité que le modèle d'atmosphère isotherme est le modèle le plus simple que l'on puisse adopté, donc très peu réaliste. Un second modèle serait d'utiliser un gradient de température (constant pour faciliter les calculs).
Il faut a priori supposer une évolution adiabatique. Par exemple, une masse d'air qui s'éleve doit se refroidir par détente adiabatique.
Les météoroloques doivent avoir des modèles beaucoup plus sophistiqués pour décrire l'atmosphère, mais bon là, c'est plus de mon niveau, et de loin...
Merci pour vos réponses; il me reste à travailler. Cordialement.
