Bonjour,
Si on raisonne en fonction des énergies, comment se transforme l'énergie potentielle de pesanteur (Epp) d'une charge se trouvant à une certaine hauteur laquelle charge est déplacée vers le sol par un moteur électrique ?
Même question lorsque cette charge est soulevée du sol vers une certaine hauteur.
Merci.
j'ai oublié une autre question. Est-il vrai que la chaleur engendrée par les forces de frottement est plus importante lors de la descente que lors de la montée pour un moteur électrique entrainant une charge ?
Merci.
Il y a une solution simple : tu remplaces le moteur électrique par tes mains.
Que se passe-t-il si tu lâches la corde ?
Que se passe-t-il si tu laisses descendre le poids en le retenant ? Y a-t-il échauffement, brulure ?
Tout est toujours plus complexe qu'on (que je) ne le pense de prime abord.
Dans un premier temps, on peut oublier les frottements qui peuvent être négligeables et considérer que la machine électrique est parfaite (pas de perte).
Je ne considère que le régime permanent à vitesse constante.
En Descente :
La machine électrique se comporte en génératrice électrique et maintient constante la vitesse de descente.
Il y a conversion d'énergie potentielle mécanique en énergie électrique.
La machine convertit le travail du poids et fournit de l'énergie électrique.
En Montée
La machine électrique se comporte en moteur électrique et maintient constante la vitesse de montée.
Il y a conversion d'énergie électrique en énergie potentielle mécanique.
La machine convertit l'énergie électrique en travail contre le poids.
Dans les deux cas, l'énergie échangée est égale au travail du poids : masse.g.hauteur (g accélération de la pesanteur)
La puissance m.g.vitesse.
Coté énergie cinétique, il n'y a pas de variation lors du régime constant établi.
La situation entre montée et descente est à peu près équivalente.
Si on débranche la machine, elle ne convertit plus aucune énergie.
La charge est alors accélérée par son poids seul et il y a conversion d'énergie potentielle en énergie cinétique et cela finit mal car accélération permanente.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Facile...Envoyé par Sethy
Difficile car cela dépend du rendement.
Je peux ne pas chauffer du tout en réglant ma masse sur celle de la charge et remonter pendant que la charge descend (régime établi).
Dans ce cas, je fais de l'échange énergie potentielle de la charge avec ma propre énergie potentielle et un minimum de chauffe (poulie).
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Pour répondre au "comment" d'ancien, la conversion énergie potentielle mécanique vers énergie électrique, implique :
Un peu d'énergie cinétique pour le déplacement prise au début (accélération) et rendue à la fin (descelleration).
Un peu d'énergie magnétique (courant d'induit) pour le fonctionnement du moteur-générateur prise au début et rendu à la fin.
Ces énergies sont en générales négligeables devant l'énergie échangée.
Après, on peut rajouter les frottements qui font ch.és dans les deux sens, aussi pénibles à la montée (faut fournir + d'énergie électrique que sans) qu'à la descente (on récupère moins d'énergie électrique avec que sans).
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
je m'adresse à stefjm :
Vous dites qu'en descente verticale, la machine se comporte en générateur de tension ou de courant. Certes, mais, comment ce générateur peut-il contrôler la vitesse de la charge de telle sorte qu'elle se déplace suivant une vitesse constante ?
Merci.
Je m'adressais à tout le monde
Tout est toujours plus complexe qu'on (que je) ne le pense de prime abord.
Si la machine travaille à vitesse constante, elle est source de tension. C'est le cas le plus classique.
Si elle travaille à couple constant, elle est source de courant.
Il y a soit des asservissements de vitesse cachées derrière, soit c'est un moteur à courant continu.
Tension proportionnelle à la vitesse.
Courant proportionnel au courant.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Gniark...
Tension proportionnelle à la vitesse.
Courant proportionnel au couple.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
