J'ai lu l'intéressant article concernant la substance blanche. Ma question est la suivante : peut on imaginer que la variation de la taille et de l'épaisseur des gaine de myéline servent en faite de synchronisateur, de temporisateur des signaux ?
Mon idée et que dans les mécanismes impliquant un timing, comme par exemple pour jouer du piano, il faut que les différents actes s'enchaine dans le temps selon un timing précis. On peut alors supposer que la variation des structures des gaines de myéline servent à créer différent retard de signaux, permettant au final de temporiser l'enchainement de la procédure motrice.
Du coup, ça pourrait expliquer les maladies mentales lié aux mutations des gènes qui organise sa mise en place : les rapports humains, leur stratégie notamment, implique un timing, qui est en fait une sorte de convention.
A l'état sauvage, les animaux sont en concurrence pour la nourriture et la chasse : les neurones sont donc optimiser pour réaliser des tâches physiques, et le timing est utiliser dans la réalisation de comportement d'ordre mécanique, variable en fonction de l'anatomie et la réaction musculaire. La chimie du cerveau, qui elle organise la structure des liaisons nerveuses, n'a donc pas besoin d'aller plus vites que ne l'impose l'évolution physique de l'animal.
Mais même depuis que l'homme utilise son cerveau pour des activités purement intellectuelles, dé corrélées de la physique matériel, en grande partie interne, la myéline et le timing doivent toujours influencer la vitesse de l'activité intellectuelle, et ceux toujours en relation avec l'activité chimique du cerveau. Si pour un individu, l'activité éléctrique devient un peu plus rapide ou plus lente que le niveau moyen, on risque de voir apparaître des phénomènes de désynchronisation avec l'activité chimique lente (la réorganisation de la structure) : cela expliquerait donc les troubles du comportement.
Qu'en pensez vous ?
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