Bonjour, un sujet qui me tient à cœur et qui pourtant parait anodin !
Est-ce que la catégorisation au sens catégorielle n'est-elle pas qu'une manière de dire .... ?
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Bonjour, un sujet qui me tient à cœur et qui pourtant parait anodin !
Est-ce que la catégorisation au sens catégorielle n'est-elle pas qu'une manière de dire .... ?
Bonjour à toi,
Non: C'est un processus psychique. C'est ce même processus qui permet aux scientifiques de créer des catégories en fonction de leurs compréhensions: protéines, types de galaxie, etc....
Les à-priori, en revanche, tu fais bien de le souligner, c'est une mauvaise compréhension des catégories: Ils font des inférences de propriétés sur des catégories où ils ne devraient pas en faire car ces propriétés ne peuvent être trouvées.
Comme je l'avais dit sur un autre forum (et ça avait fait un tollé !), le racisme, c'est un manque d'amour ou d'intelligence !
Cyrille
Bon et d'une je ne suis pas raciste (je préfère préciser), en fait c'est surtout sur les catégorisations floues que je pensais comme vivant/inerte par exemple !
bjr, je ne sais pas s'il existe des catégorisations totalement nettes et sans "l'épaisseur du trait" comme on dit.
celà depend aussi des définitions propre à chaque terme la prop A peut être incompatible avec la prop B en prenant une certaine définition mais ne pas l'être avec des définitions légèrement différentes.
mais si tu as des exemples precis !???
en général, celà simplifie l'organisation des réflexions.
c'est déjà utile.
j'ai bien de nombreux tiroirs ( heureusement ) pour classer mes dossiers, même si certains pourraient atterir à gauche ou à droite.
Pour reprendre un de mes cheval de bataille : La schizophrénie !
"Ceux qui disent ne pas être malade sont malades" et "ceux qui sont malades sont malades"
Plusieurs formes différentes de schizophrénie peuvent être distinguées :
La schizophrénie simple. Les symptômes négatifs sont au premier plan : appauvrissement des relations socio-professionnelles, tendance à l’isolement et au repli autistique dans un monde intérieur. Il y a peu ou pas de symptômes délirants. Cette forme évolue lentement mais très souvent vers un déficit de plus en plus marqué.
La schizophrénie paranoïde. C’est la forme la plus fréquente de schizophrénie. Le délire et les hallucinations dominent le tableau clinique et le sujet répond le plus souvent aux traitements antipsychotiques.
La schizophrénie hébéphrénique. La dissociation des fonctions cognitives est prédominante. C’est la forme la plus résistante aux thérapeutiques. Cette forme de schizophrénie touche principalement les adolescents.
La schizophrénie catatonique. Le patient est comme figé physiquement et conserve les attitudes qui lui sont imposées, comme une poupée de cire. Il est enfermé dans un mutisme ou répète toujours les mêmes phrases. Actuellement, cette forme se traite et est donc rarement définitive.
La schizophrénie dysthymique (troubles schizo-affectifs). Les accès aigus ont la particularité d’être accompagnés de symptômes dépressifs, avec risque suicidaire, ou au contraire de symptômes maniaques. Ces formes répondent au moins en partie aux traitements par thymorégulateurs (comme le lithium).
La schizophrénie pseudonévrotique. Elle associe des symptômes de schizophrénie et des symptômes importants ni schizophréniques ni bipolaires (syndrome de conversion, phobie, anxiété ou obsession).
La schizophrénie pseudo-psychopathique ou « héboïdophrénique ». Cet état est considéré comme un trouble à caractère pré-schizophrénique où l'adolescent a des comportements d'opposition importants envers son entourage en présence de troubles de la pensée, phases délirantes et impulsivité. Il coexiste alors des passages à l’acte très violents et des symptômes dissociatifs comme une grande froideur affective.
Notons que les schizophrénies simple, hébéphrénique et catatonique sont regroupées dans le groupe des schizophrénies déficitaires.
Je défie quiconque de ne pas se trouver des apparentés dans ces définitions !
Ce serait bien de citer les sources.La schizophrénie simple. Les symptômes négatifs sont au premier plan : appauvrissement des relations socio-professionnelles, tendance à l’isolement et au repli autistique dans un monde intérieur. Il y a peu ou pas de symptômes délirants. Cette forme évolue lentement mais très souvent vers un déficit de plus en plus marqué.
La schizophrénie paranoïde. C’est la forme la plus fréquente de schizophrénie. Le délire et les hallucinations dominent le tableau clinique et le sujet répond le plus souvent aux traitements antipsychotiques.
La schizophrénie hébéphrénique. La dissociation des fonctions cognitives est prédominante. C’est la forme la plus résistante aux thérapeutiques. Cette forme de schizophrénie touche principalement les adolescents.
La schizophrénie catatonique. Le patient est comme figé physiquement et conserve les attitudes qui lui sont imposées, comme une poupée de cire. Il est enfermé dans un mutisme ou répète toujours les mêmes phrases. Actuellement, cette forme se traite et est donc rarement définitive.
La schizophrénie dysthymique (troubles schizo-affectifs). Les accès aigus ont la particularité d’être accompagnés de symptômes dépressifs, avec risque suicidaire, ou au contraire de symptômes maniaques. Ces formes répondent au moins en partie aux traitements par thymorégulateurs (comme le lithium).
La schizophrénie pseudonévrotique. Elle associe des symptômes de schizophrénie et des symptômes importants ni schizophréniques ni bipolaires (syndrome de conversion, phobie, anxiété ou obsession).
La schizophrénie pseudo-psychopathique ou « héboïdophrénique ». Cet état est considéré comme un trouble à caractère pré-schizophrénique où l'adolescent a des comportements d'opposition importants envers son entourage en présence de troubles de la pensée, phases délirantes et impulsivité. Il coexiste alors des passages à l’acte très violents et des symptômes dissociatifs comme une grande froideur affective.
Pardon, humilité, humour, hasard, tolérance, partage, curiosité et diversité => liberté et sérénité.