Bonjour ou bonsoir à toutes et à tous...
Je suis étudiant passionné de physique. Ainsi, j'aimerais m'orienter dans un domaine de post-baccalauréat en rapport avec ma grande passion. (Et, si toutefois j'ai l'impression de m'être trompé -- même si, compte tenu de mon investissement extra-scolaire, il est peu probable que cela arrive un jour --, alors je pourrais me réorienter sans souci dans d'autres de mes passions... M'enfin bref, je divague !)
Pour exposer la situation, je tiens à préciser que j'habite à un endroit relativement lointain de toute civilisation "habituelle" en France; ainsi, il n'y a qu'une seule université me permettant de suivre une formation en rapport avec la physique. Néanmoins -- et c'est là que les choses s'enveniment quelque peu --, le parcours que je peux suivre est nommé Sciences de l'ingénieur, parcours Physique. C'est littéralement la seule licence en rapport avec la physique qui pourrait me faire envisager une conservation d'atmosphère; mais je veux être chercheur(-enseignant) en physique fondamentale. Ainsi, je suis très sincèrement embêté, car j'ai cru comprendre que la licence Physique a un programme et une logique de parcours et d'apprentissage bien davantage adéquate à mes souhaits et envies.
En connaissance de ces informations, j'aimerais poser la question qui suit, et je vais le faire. La licence SPI-Physique est-elle trop "différente" de la licence Physique relativement à mon objectif ? Je tiens tout de même à souligner le fait que de devoir passer en licence Physique me serait fort coûteux, et de surcroît (mais en réalité devrais-je plutôt dire "en ce sens que"...) je devrais déménager en conséquence.
Une finalité est toutefois notable: de toute façon, au bout d'un moment, je devrai déménager, quelle que soit la filière que je choisirai, car je souhaite continuer sur un master en physique fondamentale, formation à propos de laquelle j'ai appris naguère qu'elle n'est pas proposée "proche" de chez moi... (Remarquez que, quand je dis "proche de chez moi", je parle tout de même d'une formation à plus d'une heure de route de mon domicile actuel a minima !)
Pour en revenir au cœur du sujet initial, la question est posée, et tous ses enjeux sont exposés: ils sont aussi bien économiques que sociaux et psychologiques (peur légère des foules, désir d'isolement, non-amour de la ville et grande facilité au stress ajoutés). Merci d'avance pour vos réponses, et désolé pour la longueur de mon texte, j'ai quelque peu de mal à restreindre mes lignes, à "faire court" comme on dit...
Une bonne journée ou soirée, et une excellente santé.
Post-scriptum: j'entrevois déjà certains petits hurluberlus me dire de partir en classes préparatoires, et la réponse est déjà toute trouvée: non pas que je ne sois pas en capacités intellectuelles de le faire (ou plutôt ce n'est pas tant ce qui dérange) mais, plutôt, le refus consiste en ceci que je n'ai pas "la force mentale" pour résister à tant d'anxiété -- me semble-t-il.
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