Bonjour,
Comme dans d'autres discussions concernant médocs, vaccins et autres pharmaco-thérapies, n'étant pas médecin ou autre, ma question ne concerne pas la validité ou la commercialisation de telle ou telle nouvelle molécule.
Mais concerne la (bonne ?) pratique du médecin généraliste et spécialiste ainsi que du patient:
- du point de vue de la patientèle, comment éviter l'angoisse due à l'innovation, à la nouvelle molécule, qui constitue pour le médecin un nouveau moyen de soigner mais aussi "un test in vivo" en quelque sorte. Ne devrait-il pas figurer (pour le patient ou dans la pharmacie du patient) sur la boîte des indications plus évidentes que " tenir hors de la portée des enfants" en ce qui concerne les contrindications ?
- la qualité du suivi dans ce cas n'est-il pas primordial ? Comment privilégier le dossier médical chez un généraliste - pour le suivi - par rapport au spécialiste, (ou les consultations hospitalières souvent inutiles, et chères) - qui n'intervient finalement que sur le problème précis ?
- Que doit faire le patient en premier lieu en cas de réactions, de problèmes ou d'effets indésirables importants suite à la prise d'un médoc récent : d'abord son médecin ? la pharmacie ?, le spécialiste…le bar-tabac (), la concierge ? (ça c'est pour un peu de légèreté, y a pas de bar tabac en Belgitude, pas de code d'entrée d'immeuble, peu de conciergerie enfin dans les communes moyennes).
- question subsidiaire : les institutions européennes en la matière sont-elles équivalentes aux institutions propres à chaque pays ? Quel est le degré d'organisation ? Je vois déjà des différences entre la France et la Belgique (et pas seulement sur les marques, sur des classifications parfois)
Vos réponses, vos remarques, critiques et pros sont extrêmement bienvenues…J'espère avoir été plus ou moins claire dans mes questions.
Au plaisir (toujours) de vous lire. Illuminés par la science infuse s'abstenir.
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