La valeur officielle est-elle trop grande?Envoyé par Amanuensis
Réponse des médecins? des autorités? du public?
En particulier, certains cancers sous certaines conditions.
Le médicalement correct consiste à dire que le jeûne réduit les effets secondaires alors qu'il peut être le remède.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Informations déjà données via une référence, cf. message #21.
Variable... 90g selon l'autorité à l'échelle Union Européenne, 45 g voir 25 g selon l'OMS.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Merci. ça fait un peu peur. Heureusement que je ne lis jamais les étiquettes! Je ne me fie qu'aux réponses de mon corps, que j'écoute avec attention...
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Le problème étant que le corps peut donner des signaux divers et variés interprétés selon des croyances tout aussi diverses qu'infondées qui peuvent amener à tout un tas de pathologies. Je ne veux pas dire que des signaux aussi évidents que le surpoids, l'essoufflement, les douleurs, les troubles visuels et tout ce qu'on peut trouver d'évident ne signe pas un problème qui peut être entretenu ou d'origine alimentaire mais ça ne signifie pas que l'individu va deviner quels aliments il lui faudra sans en connaitre leur composition (sans lire les étiquettes).
C'est une partie des buts de la biologie et de la médecine que d'éviter ça ; ce qui veut dire que si c'était si simple, les gens vivraient plus longtemps et en meilleure santé sans ces disciplines.
Je n'accepte de ne lire les étiquettes qu'à la condition de cohérence et de validité de la source. Pour les ARJ du sucre, il y a bien un problème. Non?
D'un autre coté, j'imagine bien l'émeute industrielle et sociale si la médecine et la biologie recommandaient avec efficacité une diminution drastique du sucre.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
L'étiquette donne la composition du produit, c'est à dire, ce qui va être ingéré et si on ne sait pas ce qu'on mange, il est inutile de connaitre les ARJ, corrects ou pas.
En ce qui concerne les ARJ, de toutes façons, entre un sédentaire rond d'un mètre vingt de large et un sportif assidu sans problème staturo-pondéral ni métabolique, il y aura une énorme différence qui n'est pas considérée comme un problème.: les réels problèmes ont, de mon point de vue, été bien exposés par Amanuensis.
L'affichage des % des ARJ (ou RNJ) n'est pas obligatoire, mais est présentée comme une aide apportée aux consommateurs:
Pour faciliter la compréhension par le consommateur de la contribution de la consommation de la denrée aux apports de références d’un adulte moyen consommant 8 400 kJ (2000 kcal), les teneurs en énergie et en nutriments peuvent être exprimées de manière complémentaire et volontaire en % des apports de références
(Référence: https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/...es-europeennes)
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
bah moi quand je consomme du sucre - et plus généralement quand je m'abandonne aux excès de toutes sortes - je me sens très bien. Je ne pense pas qu'écouter son corps soit une méthode très efficace pour rester en bonne santé.
se sentir très bien : oui.
mais pendant combien de temps?
et le contre coup derrière avec la descente en sucre dans le sang qui ré appelle la consommation de sucre (drogue préféré des souris...)?
Savoir écouter son corps sur le long terme est un plus indéniable.
Pour la convivialité, il y a moyen de se mettre en état d'excitation euphorique sans usage de sucre, alcool, tabac et/ou autres drogues externes au corps. Faire la fête sans tout cela est inconcevable pour la plupart des gens et c'est pourtant possible...
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Encore une fois, savoir écouter son corps peut permettre de lui donner les pires réponses pour sa santé. En d'autres termes, sans savoir interpréter correctement les signaux "écoutés" (...), le seul plus indéniable ne représente rien d'autre qu'à se sentir "bien ou mal" sans avoir la moindre idée des dégâts ou des bienfaits apportés.
Un très bon exemple résumé ici:
bah moi quand je consomme du sucre - et plus généralement quand je m'abandonne aux excès de toutes sortes - je me sens très bien. Je ne pense pas qu'écouter son corps soit une méthode très efficace pour rester en bonne santé.
Savoir écouter son corps va bien au delà du se sentir "bien ou mal".
Cela se caractérise en terme de "performance" intellectuelle, physique, état psychologique, etc...
C'est une forme de science avec partage des informations entre pairs.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Et le lien avec la nourriture peut être totalement inexistant, voire délétère, votre amélioration ou aggravation due à un facteur confondant, peut être transitoire, précédant une aggravation voir une dégénérescence définitive, etc....
Ce n'est donc ni une science ni même une logique puisque vous oubliez la moitié du processus: savoir écouter ne veut pas dire savoir répondre correctement.
Edit: il était bien évident qu'en évoquant "les signaux écoutés (...)", je ne les limitais pas et envisage peut être bien plus que ce que vous pensez pouvoir percevoir. Ça ne change rien au fait que vous vous ne savez pas ce qui les provoque ou les modifie et plus vous êtes à l'écoute, plus vous avez d'informations, moins vous pouvez en tirer de conclusions ou de corrélations pertinentes.
A moins bien sur que vous ayez la science infuse et sachez tout (au sens large).
En tout point en accord avec le post précédent.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
