Bonjour,
Des résultats forts amusants.
http://xkcd.com/1047/
Concours : trouver des justifications physiques à ces valeurs approchées
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Bonjour,
Des résultats forts amusants.
http://xkcd.com/1047/
Concours : trouver des justifications physiques à ces valeurs approchées
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
on peut tout approcher mais peut être rien atteindre ?
Dommage que la plupart soit dimensionné!Bonjour,
Des résultats forts amusants.
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Concours : trouver des justifications physiques à ces valeurs approchées
il y a le 6pi^5, l'honneur de Feynman est sauf.
Mais il en manque plein!
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Parmi l'infinité, certaines sont plus connues et plus pertinentes que d'autres.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Qui maitrise la fonction Zêta (ζ ) de Riemann, maitrise ....
Patrick
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
bonjour , j'ai falli avoir une attaque en voyant le titre
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
oui tu as raison , mais le problème est que déjà je me fais avoir avec un titre sérieux et un fil qui me fait rouler par terre de rire ...
Mais est ce que le titre est bien choisi car pour moi numérologie
c'est
123456789
abcdefghi
jklmnopqr
stuvwxyz
Bonjour,
Effectivement.Envoyé par Deedee81
Pour résumer la méthode (1), on associe des entiers naturels ainsi que pi et e, de manière à obtenir une valeur proche d'une "constante".
(1): Excepté pour le cas de l'estimation de la population mondiale, puisque dans ce cas on produit un interval de valeurs valides "selon un certain temps" et non plus une seule valeur.
Que l'on puisse produire un nombre approximatif, à partir de l'association d'autres nombres, n'est pas nouveau.
Il reste alors à pouvoir justifier quelles sont les associations valides, et celles qui ne le sont pas.
Il s'agit donc, à première vue, de la méthode de l'âge du capitaine.
http://michel.delord.free.fr/captain1-0.pdfEnvoyé par Extraits de "Mathématiques : les leçons d'une crise" de Michèle ArtigueMichèle Artigue, dans l'article cité, tire les leçons de la crise des maths modernes qui est exactement le contexte qui m'intéresse.
Elle en profite pour expliquer ce qu'est le contrat didactique qu'elle présente comme "concept clé".
Il est donc judicieux de s'intéresser à ce concept et l'utilisation qui en est fait.
Elle s'intéresse pour cela aux problèmes dits "d'âge du capitaine" posés à l'école élémentaire dont elle donne plusieurs exemples :"
Dans une classe, il y a 4 rangées de 8 places, quel âge a la maîtresse ?
Dans une classe, il y a 15 garçons et 14 filles, quel est l'âge de la maîtresse?
Un berger a trois chiens et 120 moutons, quel est l'âge du berger ? ".
Et elle ajoute : " Et scandale ! On s'aperçut que les élèves de l'école élémentaire s'appliquaient dans leur grande majorité, comme si de rien n'était, à résoudre ces problèmes, ne choisissant même pas au hasard les opérations : la maîtresse était créditée de 32 ans dans le premier cas, de 29 dans le
second, le berger de 40 ans …
Cette aventure … est certes caricaturale, mais elle a le mérite de montrer jusqu'à quel point peut poser sur le fonctionnement cognitif de l'élève le poids du contrat didactique, et l'intérêt qu'il y a à être sensible au rôle qu'il joue explicitement, et surtout implicitement".
La question n'étant à ce stade pas résolu...
N'existerait-il pas des liens pour certaines de ces valeurs fantaisistes basés sur les nombres ?
De la numérologie donc, qui est hors du domaine scientifique...d'où le titre.
A ce sujet, je pense que l'approche numérologique de la description de notre environnement est la plus pragmatique, certes, mais ne fourni pas les mécanismes permettant de comprendre les tenants d'une "règle".
Cette approche est donc dangereuse, à mon avis, puisqu'elle ne propose pas des points de repères permettant d'établir le lien entre le réel et le modèle.
Néanmoins certaines "coincidences" pourraient elles être utiles pour les sciences ?
Dernière modification par invite698524 ; 06/10/2012 à 00h37.
Parce que, déjà, 3 , simplement, ça me fait ça :
Très connu est l'approximation qui découle de la fraction continue de .
Très facile de se souvenir des deux nombres qui interviennent : 3 et 7 sont les deux dimensions qui permettent la définition d'un produit vectoriel avec les bonnes propriétés.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Salut,
Ou l'inverse. On se souvient que 7 est le nombre de dimensions pour le produit vectoriel car pi s'approxime comme 3+1/7. Chacun son truc
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)