Bonjour à tous, je viens vous partager ici un article que j'ai écris sur mon blog ### supprimé : autopromotion. Il raconte le pseudo paradoxe de l'infini, surtout cela devient un paradoxe avec des yeux ne voyant que le fini.
Imaginez un hôtel qui vous indique à l’entré « No vacancy » (complet), on passe donc notre chemin. Pourtant dans un monde infini ce genre de chose est totalement possible mais qui plus est … on vous trouvera une chambre.
Admettons un hotel infini, avec une infinité de chambre. Toutes* les chambres sont occupées. Mais le réceptionniste vous indique qu’il pourra vous donner une chambre. En évacuant les problèmes de divergences, il indiquera à toutes les personnes de changer de chambre en prenant le numéro de leurs chambres et d’aller dans la chambre ayant leurs numéro + 1.
Donc dans ce cas, la chambre 0 se libère et tout le monde pourra s’endormir dans un autre lit. Ici si vous imaginez ceci dans un monde fini, c’est tout simplement impossible. Mais dans un monde infini, vous ne pouvez dire qu’il y a un moment « Voilà la dernière chambre » vous ne pouvez vous arrêter de compter.
Car si vous vous arrêtez en y indiquant que vous êtes arrivé à l’infini, regarder à côté de vous, vous y verrez encore de la place … donc quelque chose de plus grand que l’infini … ce qui montre que vous n’êtes toujours pas arrivé à la dernière chambre. Force est de constaté que vous n’y arriverez jamais.
Maintenant imaginons, un car infini qui vient avec une infinité de passagers. Votre hôtel est complet mais le réceptionniste n’a pas peur.
Il demandera aux personnes de l’hotel de multiplier le numéro de leurs chambre par 2 et d’aller dans la chambre qu’indique cette multiplication et aux personnes du car de prendre les chambres impaires.
Petite question pour une réflexion sur cet hôtel :
Et si nous avions une infinité de car avec une infinité de passagers ?
Pour obtenir la réponse à ceci, je vous invite à répondre à ce billet
*Faites attention avec ce toutes, il peut prêter à confusion"
**Ne faites pas trop attention aux fautes d'orthographes, je me ¬relis
-----