Énigme : Pour quelle raison ne provoque-t-on pas, parfois, d'étincelles sur un
commutateur, lorsqu'on ferme ou que l'on ouvre le circuit d'un courant "Secteur" ?
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Énigme : Pour quelle raison ne provoque-t-on pas, parfois, d'étincelles sur un
commutateur, lorsqu'on ferme ou que l'on ouvre le circuit d'un courant "Secteur" ?
Salut
Si on a de la chance, et que le circuit ne soit pas selfique, alors toutes les dix millisecondes on passe par zéro.
S'il n'y a pas de courant ?
On trouve des chercheurs qui cherchent ; on cherche des chercheurs qui trouvent !
Bonsoir à tous,
Si on alimente un consommateur éteint ou grillé ( exemple une ampoule H.S ) ou comme dit plus haut au passage par zéro du courant alternatif.
Bonne soirée à tous
Faire tout pour la paix afin que demain soit meilleur pour tous
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.
On passe par 0 mais avant on n'est pas à 0.
Si "avant on est à 0" c'est qu'on arrive pile poil a mettre "le contact" pendant que la tension décroit.
Donc, à mon avis, ce qui serait interressant ce serait de voir à partir de quand (tension, intensité) une étincelle se forme.
Ensuite on peut, peut-être, envisager la présence ou non de nanoparticules de carbone, favorisant(?) l'apparition d'étincelles ?
Dans l'air, un arc ne peut s'amorcer et se maintenir que pour des tensions supérieures à une vingtaine de volts environ, mais ça ne signifie pas qu'en dessous il n'y a pas d'étincelles: lorsque des conducteurs se quittent ou s'approchent, les surfaces de contact deviennent infinitésimales, et un peu de métal est vaporisé.
Dans l'obscurité, il est possible de voir des étincelles causées dans un circuit soumis à quelques dizaines de mA sous une tension de quelques volts, et même probablement moins.
D'autre part, avec un circuit inductif il sera incroyablement difficile de ne pas créer d'étincelles: le moindre courant résiduel au moment de l'interruption provoquera une surtension bien supérieure à 20V, suffisante pour démarrer éventuellement un arc.
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.
contradiction ?
Si on a de la chance, et que le circuit soit selfique ou pas, alors toutes les dix millisecondes on passe par zéro.j'avais écrit :D'autre part, avec un circuit inductif il sera incroyablement difficile de ne pas créer d'étincelles: le moindre courant résiduel au moment de l'interruption provoquera une surtension bien supérieure à 20V, suffisante pour démarrer éventuellement un arc.en pensant à la question posée, qui était production d'étincelle ou non.Si on a de la chance, et que le circuit ne soit pas selfique, alors toutes les dix millisecondes on passe par zéro.
Il n'y a pas de contradiction: le passage par zéro est une réalité incontestable sur le plan théorique, mais son exploitation effective dans ces conditions sera délicate.
N'importe qui lisant ta phrase en déduirait que dans un circuit selfique soumis à un courant alternatif, les passages par zéro disparaissent, et il vaut mieux éviter de semer le doute, en précisant les aspects théoriques et pratique du problème.
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.
Je reconnais que tu as raison dans le fond, mais faut vraiment que le n'importe qui que tu évoques et qui ignorerait la notion de déphasage au point de supposer que miraculeusement le passage par zéro disparait avec une charge non linéaire, mériterait en plus d'être n'importe qui, le titre de n'importe quoi.
Le problème, c'est que si on laisse la moindre ouverture, et que si ça apparait sur Futura, il y a toujours des gens qui sont trop heureux de prendre tout cela pour parole d'évangile. Les questions dans différentes sections montrent que c'est tout à fait le cas, certains sautent sur n'importe quoi en confondant la proie pour l'ombre (j'aurais volontiers employé une figure de style plus imagée, mais ça ferait désordre).
Lorsqu'on écrit une affirmation aussi forte, il ne faut pas compter sur le contexte pour la corriger: il faut qu'elle puisse être citée telle quelle, sans que cela la dénature. Autrement, il y a beaucoup trop d'espace pour les dérapages et interprétations douteuses et non-orthodoxes.
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.