Les expérimentations en fusion à visée énergétique semblent partie à fond sur les tokamak dont notamment le futur ITER. Malgré certains résultats encourageants y compris sur notre tore supra national, on reste loin de l'ignition et ca semble pas encore gagné...
Du coup, je me demandais pourquoi on essaie pas plutôt d'avancer en première phase sur la fusion inertielle type Laser Megajoule. Cette installation n'a pas vocation a produire de l'énergie, mais l'intérêt du procédé est qu'on est certain (?) de pouvoir arriver à faire exploser des nano bombe H a partir de pastilles D-T par la pression de radiation de lasers focalisés.
Ne peut-on pas imaginer un réacteur qui ferait ça à la chaine dans une enceinte conçue pour récupérer la chaleur produite. Est ce parce que l'opération de mise en place de la cible est fastidieuse (précision géométrique, manipulation du glaçon d'hydrogène, etc...).
C'est un truc passionant la fusion, et angoissant aussi. Parce que si on n'y arrive pas, dans 50 ans ont peut fermer la boutique et retourner dans les cavernes...
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  ). Dans un autre domaine, si on compare une turbine à combustion et un moteur à pistons, la première est d'une simplicité extrême. Un rotor avec des ailettes qui tourne dans un carter et un bruleur, point. Le moteur c'est des pistons, bielles, vilebrequin, soupapes, arbre à cames, etc. Pourtant, la réalisation du moteur est plus simple et moins onéreuse que celle de la TAC.
 ). Dans un autre domaine, si on compare une turbine à combustion et un moteur à pistons, la première est d'une simplicité extrême. Un rotor avec des ailettes qui tourne dans un carter et un bruleur, point. Le moteur c'est des pistons, bielles, vilebrequin, soupapes, arbre à cames, etc. Pourtant, la réalisation du moteur est plus simple et moins onéreuse que celle de la TAC.