Bonjour à tous
Comme il est écrit en tête du forum technologies, "Toutes vos questions sur les nouvelles technologies, étudiants, amateurs, on vous expliquera le pourquoi du comment"
J'ose penser que si il y a un désaccord avec mon raisonnement on m'expliquera le pourquoi du comment.
Il est possible que je sois agaçant, que je fasse grincer les dents de quelque un, mais le véritable scandale (terme que l'on me prête) serait de ne pas envisager l'hypothèse qu'un raisonnement logique soit probable, sous prétexte qu'il est novateur.
Il me plait de rappeler certaines phrases célèbres:
"Les cons ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnait" Michel Audiard
"Tout le monde savait que c'était impossible à faire. Puis un jour quelqu'un est arrivé qui ne le savait pas et qui l'a fait" Winston Churchill
Voila mon raisonnement sur la sur-unité virtuelle.
Avant propos
Ce document est l’aboutissement d’une idée qui a évolué sur plusieurs années. J’espère avoir été le plus logique possible dans les explications qui y sont écrites. Vous y trouverez par ordre de transcription :
Mes observations des cas avérés de sur-unité virtuelle et du fonctionnement d’un alternateur.
Mes constations.
Mes déductions logiques qui résultent de ces constatations.
L’expérimentation mentale des mes déductions.
La confrontation des résultats de cette expérimentation mentale en conformité avec les lois physiques.
Similitude entre gravitation et phénomène électromagnétique
Formulation
Il manque l’expérimentation pratique.
Observations des cas avérés de sur-unité virtuelle
La poulie:
La poulie équilibre deux charges suspendues grâce à la gravitation et au support de poulie qui compense la gravitation. C’est la terre par l’intermédiaire du support de poulie qui assume la compensation.
En rompant cet équilibre avec une faible énergie les deux charges vont se déplacer. Cette faible énergie permet aux deux charges d’exprimer leur énergie potentielle équilibrée.
Pendant le temps Δt de déplacement nous avons une apparence de sur-unité. Car la faible énergie de déséquilibre à l’origine du mouvement n’est pas génératrice de l’énergie des deux charges en mouvement. C’est la gravitation qui est génératrice de l’énergie des deux charges en équilibres et la terre qui assument la compensation de l’action d’équilibrage. Sans compter qu’il a fallu développer de l’énergie pour mettre les charges en position adéquate.
Nous avons donc pendant un temps Δt, une apparence de sur-unité dans le respect de la loi de la thermodynamique. Exemples : certains Ascenseurs à bateaux, monte charge, ascenseur pour le personnel, pont-levis, Barrages hydroélectriques, Ballons dirigeables, Bateaux, …
Les ballons dirigeables et non dirigeables :
Sans entrer dans les détails, c’est la poussée de l’atmosphère qui équilibre la gravitation responsable du poids du ballon et le maintien à une certaine altitude.
Les bateaux :
Sans entrer dans les détails, c’est la poussée de l’eau qui équilibre la gravitation responsable du poids du bateau et le maintient au dessus de l’eau.
Le fonctionnement d’un alternateur actuel qui n’est pas un cas de sur-unité.
Schéma 1.png
Quand l’alternateur est en charge normale, l’effet de la réactance d’induit est un couple antagoniste sur l’axe moteur. Il faut alors appliquer sur l’axe moteur un couple suffisant pour compenser le couple de l’effet de la réactance d’induit. Les machines actuelles ont en général un rendement de 80%.
Constatations
Ces cas de sur-unité virtuelle autorisent des rendements (η) avérés supérieurs à l’unité, tout en respectant les lois de la physique. Ils nous permettent dans bien des applications de faire des économies effectives d’énergie. Ces économies sont recherchées et appliquées. Car elles nous permettent de faire des économies budgétaires avérées et de moins polluer.
Pour les trois premières observations irréfutables, la nature de l’action qui assure l’équilibre des énergies est indépendante du résultat qui est la sur-unité
La réactance d’induit des alternateurs réagis au différentiel de rotation et ces effets s’y opposent. Que l’induit ou l’inducteur soit en rotation et l’autre statique, le résultat est le même.
Information fournie non constatée : Les champs magnétiques se propagent à une vitesse équivalente à celle de la lumière.
Déductions logiques qui résultent de ces constatations.
S’il faut appliquer sur l’axe de l’alternateur un couple suffisant pour compenser le couple de l’effet de la réactance d’induit. Je peux en déduire que la compensation de Pu en charge est égale à l’effet de la réactance d’induit.
Si la nature de l’action qui assure l’équilibre des énergies est indépendante du résultat. Je peux m’affranchir de la gravitation, pour la remplacer par des phénomènes électromagnétiques.
Fort de ces observations avérées, de ces constatations et des déductions logiques qui en résultent ; je propose un assemblage qui respecte les critères précédents avec l’avantage de la continuité de mouvement. J’utilise les mêmes phénomènes physiques connus qui ont déjà fait leur preuve.
L’expérimentation mentale de mes déductions.
J’utilise un système d’engrenages dessinés si dessous.
Les axes des engrenages A et B ne sont pas solidaires.
J’impose les conditions : Ø des engrenages de l’axe moteur = x
Ø de l’engrenage de l’axe A = x/2
Ø de l’engrenage de l’axe B = x
Si l’axe moteur tourne à une vitesse angulaire V = ω, la vitesse de A sera 2ω et celle de B sera ω.
Schéma 2.png
En fonction des rapports d’engrenages de 1/2, si l’engrenage A reçoit un couple Ea, et l’engrenage B un couple Eb = Ea/2, ces deux couples vont s’équilibrer sur l’axe moteur.
Le couple perpendiculaire au plan de rotation, du à la distance entre les deux engrenages moteur, est compensé par les paliers de l’axe moteur.
Schéma 3.png
J’utilise un alternateur bis rotors (rotor A et rotor B). De sorte que l’induit et l’inducteur soient tout les deux solidaires de leur axe respectif A et B de la boîte.
J’entraîne l’ensemble par un moteur solidaire de l’axe moteur. Le moteur n’est pas représente sur le schéma
Je mets l’ensemble en rotation en appliquant sur l’axe moteur un couple supérieure aux pertes.
Je mets l’alternateur bis rotor en charge normale.
La réactance d’induit tend à figer les rotors A et B, son effet (E) se répartie en deux valeurs Ea et Eb, qui ne peuvent être que égales, car la réactance d’induit utilise comme point d’appuis et point d’action les rotors A et B. Ea = Eb au niveau des Rotors. Car si Ea ou Eb devait être différents ils se rééquilibreraient immédiatement du fait des points d’appui et d’action communs à la réactance d’induit.
Ea et Eb vont se reporter respectivement sur les engrenages A et B de la boîte d’engrenages.
Similitude des résultats de l’expérimentation mentale Conformité avec les lois de la physique.
Les valeurs Ea = Eb des effets de la réactance d’induit sur les deux rotors A et B ne seront plus égales une fois reportées sur leur engrenage respectif. Car le rapport d’engrenage entre A et B est de ½.
Sur l’engrenage A la valeur sera Ea = 2 Eb et sur l’engrenage B la valeur Eb sera égale à Ea/2.
Le rapport de ½ inversé de la boîte d’engrenage, reporte Ea et Eb sur l’axe moteur tel que, Ea = Eb.
Schéma 4.png
Sur l’axe moteur Ea – Eb = 0, donc les effets de la réactance d’induit sont équilibrés et il n’y a aucune opposition au couple moteur.
Conséquence : la puissance nécessaire à la rotation de l’alternateur bis rotors en charge ne dépasse pas celle nécessaire aux pertes. Le courant induit qui a pour origine la variation temporelle Δt du flux inducteur ΔΦ, est maintenu par le couple moteur qui ne rencontre aucune opposition.
C’est un cas de sur-unité apparente, car des phénomènes d’équilibrage sont en action comme dans les cas incontestables observés. Ce n’est pas le couple moteur, compensateur des pertes qui assure l’équilibrage des effets de la réactance d’induit ; mais le courant d’utilisation induit générateur de cette réactance d’induit. Bien que je ne suis pas limité par le temps ni par la distance, cela m’autorise à utiliser l’apparent gain d’énergie effectivement disponible comme pendant l’espace temps Δt des cas incontestables observés de sur-unité virtuelle.
Le rendement classique d’un alternateur est de 80%, (80/20+80) ou (80/100).
Donc (80%+20%) d’énergie à fournir pour obtenir 80% d’énergie en sortie.
Pour l’assemblage proposé avec les mêmes phénomènes physiques je fournie 20% pour obtenir 80%. Ce qui détermine un rendement de 80/20 = 400%
Ce rendement est obtenu en respectant la loi de la thermodynamique comme dans les cas d’observations incontestables de sur-unité virtuelle.
Similitude entre gravitation et phénomène électromagnétique
Dans le cas de la poulie, la gravitation équilibre les deux charges sur l’axe de la poulie. L’axe de la poulie prend appui sur la carcasse qui s’appuie à son tour sur le sol qui s’appuie sur la terre. La terre compense le poids des deux charges. Hors la terre n’est rien d’autre que la gravitation en équilibre sur elle-même.
Dans l’espace les effets de la gravitation attire deux masses l’une par rapport à l’autre. Elles vont se rapprocher jusqu'à se toucher. Une fois en contact ces deux masses continuent d’être liées par la gravitation qui les colle l’une à l’autre. La gravitation ne disparaît pas du fait de cet équilibre fourni par un point d’action et un point d’appui commun. Bien entendu tout cela sans interférence extérieure.
Un aimant électromagnétique ou naturel attire une masse ferromagnétique par son champ magnétique. Une fois en contact le champ magnétique ne disparaît pas du fait de cet équilibre fourni par un point d’appui et un point d’action commun.
Dans mon assemblage, la réactance d’induit est un champ électromagnétique fournie par un électroaimant parcouru par un courant induit. Ce champ magnétique a pour effet d’attirer les deux rotors entre eux pour supprimer le différentiel de rotation. Inévitablement un des effets d’attraction aura le même sens que la rotation, du fait que le différentiel de rotation des rotors a pour cause une différence de vitesse angulaire ω dans le même sens. Cette attraction divisée en deux sur chaque rotor est inévitablement égale sur les deux rotors, car le point d’appui et le point d’action ont en commun cette attraction. Cette attraction se répartie en deux effets, les deux effets vont s’auto-équilibrer sur l’axe moteur quelque soit sa position à 360°, par l’intermédiaire de la boîte d’engrenage.
Une fois équilibrée cette attraction, qui est l’effet du champ électromagnétique de la réactance d’induit ne disparaît pas. Car la réactance d’induit est une conséquence du courant induit utilisé. Tant qu’il y aura un courant induit utilisé la réactance d’induit restera effective avec son champ électromagnétique.
Ce sont les masses qui créent la gravitation c’est pour cela que ses effets ne sont pas supprimés même s’ils sont équilibrés. C’est le courant induit qui crée la réactance d’induit qui est un champ électromagnétique, c’est pour cela que ses effets ne sont pas supprimés même s’ils sont équilibrés. Voila pourquoi c’est un cas de sur unité virtuelle dont il est possible d’utiliser les avantages physiques en respectant les lois de la physique.
Formulation
Pour appréhender la formulation il faut élargir son champ de constations et prendre en compte toutes les puissances en jeux, dans l’alternateur et dans sa charge. Car La réactance d’induit n’est effective que lorsque la charge est utilisée. Dans le schéma je prends pour charge un radiateur électrique soufflant.
Schéma 5.png
Pt = puissance transformée en chaleur par le radiateur avec les pertes de radiateur comprises.
Pu = puissance utiliser pour cette transformation.
Pertes = pertes
Po = Puissance d’opposition des effets de la réactance d’induit, ΔΦ et Δt induits par le courant induit.
et les effets de l’induction (ΔΦ et Δt inducteur) qui agissent à l’intérieure de l’alternateur
Pa = puissance apportée sur l’axe de l’alternateur pour compenser Po et les pertes.
Constatations
Bien que la réactance d’induit n’a pas besoin d’énergie pour exister, son effet d’opposition à la rotation Po nécessite une puissance supplémentaire en charge sur l’axe de l’alternateur.
Bien que la formule classique (Pu+pertes=Pa) soit utilisée, elle est insuffisante à représenter la réalité. Car Pu nécessaire à Pt ne peut pas être efficace à deux endroit différents, à la fois à l’extérieure et à l’intérieure de l’ordinateur. Si non se serait la sur-unité réelle garantie qui est impossible.
Déductions
La variation temporelle du flux inducteur n’a également pas besoin d’énergie pour exister. Car à vide elle existe et Pa ne compense que les pertes à vide.
S’il faut appliquer sur l’axe de l’alternateur un couple suffisant pour compenser le couple de l’effet de la réactance d’induit. Je peux en déduire que la compensation de Pu en charge est égale à la puissance d’opposition Pu et Pu est égale à Pt. Donc Pu = Pt et Pu = Po.
La formulation globale de l’alternateur classique respecte la loi de la thermodynamique.
Formulation pour l’alternateur bis rotors :
Dans l’alternateur bis rotors j’ai démontré que les effets de la réactance d’induit s’équilibraient sur l’axe de l’alternateur qui est aussi l’axe moteur. Le résultat est une valeur de Po reportée à zéro sur l’axe moteur et Pu-Pt est égale à zéro. Donc en retirant de la formule globale toutes les valeurs égales à zéro, j’obtiens, la formule suivante, (Pertes = Pa) qui confirme l’expérimentation mentale d’un cas de sur-unité virtuelle en conformité avec la loi de la thermodynamique.
En prévisualisation du message les schémas apparaissent en petit, j'espère que une fois validés ils apparaitront en grand
Bonne lecture à tous.
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