Fusion de deux discussions.
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Fusion de deux discussions.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Bonjour, déjà merci
De deux, Je suis en stage et c'est une demande de projet, l'argent ne sera pas de moi.
J'ai choisi la solution du sondeur pour repérer un poisson BEL ET BIEN immobile dans le référentiel du sondeur comme alternative car la solution proposée par le maître de projet allait lui couter quelques bras en plus.
Un gentil monsieur a plus proposé de détecter les cétacés de manière passive et je lui en remercie.
J'ai conscience que 500 mètres, ce n'est pas petit, mais bon, ce sont les exigences du patron.
Les poissons qui morderont ne pouront pas s'échapper, et ce sont d'une assez grande espèce de thon.
merci
Mais ça ne sera jamais le cas, ne serait-ce qu'à cause du courant... et d'autant plus à 500m de distance. Ton poisson sera immobile par rapport au référentiel de l'hameçon.J'ai choisi la solution du sondeur pour repérer un poisson BEL ET BIEN immobile dans le référentiel du sondeur comme alternative car la solution proposée par le maître de projet allait lui couter quelques bras en plus.
(je pense que je suis le gentil monsieur...). Oui mais ça mériterai un éclaircissement: on détecte les mammifères marins de manières passives car on sait caractériser leur chant en fonction de l'espèce (on détecte leur chant si tu préfères), mais chaque détecteur est propre au type de mammifère à détecter (le cachalot ne fait pas le même chant que les dauphins -> les détecteurs sont différents). De plus, ces méthodes reste pour l'instant du niveau de la recherche, je ne suis pas sûr qu'il y ait grand chose d'industrialisable à peu de frais...Un gentil monsieur a plus proposé de détecter les cétacés de manière passive et je lui en remercie.
AMHA, la distance n'est pas un problème en soit le son se propage très bien dans l'eau (beaucoup mieux que dans l'air). En revanche le fait de traverser des couches d'eau à différentes températures risque de poser de gros problème...J'ai conscience que 500 mètres, ce n'est pas petit, mais bon, ce sont les exigences du patron.
En résumé: la boîte dans laquelle tu fais ton stage a-t'elle une expérience en acoustique ? en acoustique sous-marine ? des systèmes en environnement salin ? Si la réponse est non aux trois questions il risque d'y avoir pas mal de plâtre à essuyer...
Mais ça ne sera jamais le cas, ne serait-ce qu'à cause du courant... et d'autant plus à 500m de distance. Ton poisson sera immobile par rapport au référentiel de l'hameçon.
(je pense que je suis le gentil monsieur...). Oui mais ça mériterai un éclaircissement: on détecte les mammifères marins de manières passives car on sait caractériser leur chant en fonction de l'espèce (on détecte leur chant si tu préfères), mais chaque détecteur est propre au type de mammifère à détecter (le cachalot ne fait pas le même chant que les dauphins -> les détecteurs sont différents). De plus, ces méthodes reste pour l'instant du niveau de la recherche, je ne suis pas sûr qu'il y ait grand chose d'industrialisable à peu de frais...
AMHA, la distance n'est pas un problème en soit le son se propage très bien dans l'eau (beaucoup mieux que dans l'air). En revanche le fait de traverser des couches d'eau à différentes températures risque de poser de gros problème...
En résumé: la boîte dans laquelle tu fais ton stage a-t'elle une expérience en acoustique ? en acoustique sous-marine ? des systèmes en environnement salin ? Si la réponse est non aux trois questions il risque d'y avoir pas mal de plâtre à essuyer...
En utilisant le théorème de pythagore et la trigonométrie, pour un sondeur avec un angle conique de 10° ( angle conique pour les sondeur de haute fréquence, autour de 200 Hz), le rayon de détection du sondeur sera de 5714.8 mètre à une profondeur de 500 mètres.
J'ai aussi lu que plus une onde sonore est aiguë, plus elle s'atténuera avec la distance.
Mais l'écholocation se bien plus précise avec un sondeur haute fréquence, l'angle conique sera juste plus courte.
Je devrai donc couper la poire en deux.
L'espèce du cétacé visé est connu, et c'est le seul qui s'en prend au poisson pêchés.
Leurs champs prend la forme de "cliquetis".
La réponse à vos trois question est oui, et c'est même leurs spécialité. Je continue de chercher de mon coté et je vous remercie de m'avoir consacré de votre temps.
salut,
quelle est l'application visée? si je comprends bien tu a un poisson fixé à un hameçon (sur une palangre j'imagine) et tu veux repérer un éventuel globicéphale qui s'en prendrait audit poisson? mais ensuite?
200kHz plutôtangle conique pour les sondeur de haute fréquence, autour de 200 Hz
Le compromis est omniprésent dans le métier d'ingénieur... Effectivement, ça doit être l'équation du sonar, mais la donnée principale reste quand même la puissance d'émission... Ceci dit, je ne suis pas bien-sûr que toutes ces équations théoriques ne te donnent beaucoup plus que des ordres de grandeurs de ce dont tu peux rêver en perf sans jamais pouvoir l'obtenir.... L'eau de mer (surtout sur une profondeur de 500m) est loin d'être homogène, et c'est principalement ça qui va impacter ta propagation (atténuation, finesse du pinceau). De plus, c'est extrêmement bruité, le "mer 0" ne s'entend qu'à des profondeurs importantes, éloigné des routes maritimes / côtes, sans vent et sans pluie... Si la boîte pour laquelle tu fais ton stage à effectivement de l'expérience en acoustique sous-marine en milieux marin, elle devrait le savoir autant que moi...J'ai aussi lu que plus une onde sonore est aiguë, plus elle s'atténuera avec la distance.
Mais l'écholocation se bien plus précise avec un sondeur haute fréquence, l'angle conique sera juste plus courte.
Je devrai donc couper la poire en deux.
Alors il faut chercher dans la littérature scientifique si des gens ont déjà caractérisé/modélisé ces cliquetis... Si ce n'est pas le cas, collectionner un maximum d'enregistrement pour essayer de faire cette modélisation. Ceci dit, si c'est pour avertir le pêcheur que sa pêche est en train de se faire piller, il faut tailler dans la masse, c'est juste une détection (présence / absence), et éventuellement une distance (ils approchent, ils sont déjà en train de ce goinfrer).L'espèce du cétacé visé est connu, et c'est le seul qui s'en prend au poisson pêchés.
Leurs champs prend la forme de "cliquetis".
C'est tout ce que je sais, on ne m'a pas dit le réel but du projet