bonjour à tous,
Je suis comme vous pouvez vous en douter en classe de premiere S
Avec mes deux camarades nous avons choisis le Tpe suivant: les reactions chimiques de l'amour!
Ce sujet ne manque certes pas d'information, mais au niveau de l'experimentation nous n'avons aucune idee!
Notre professeur ayant aprouvee le sujet, je demande votre aide dans la rechercje de notre experience!
Si vous avez des questions, je tenterai d'y repondre le plus vite possible!
Merci à tous,
Bonjour à toi,
Un excellent sujet, même si il existe peu de connaissances sur celui-ci...
Si vous avez un accès à un labo d'analyses médicales, tu peux tester une molécule de ton choix --- sur un petit échantillon de "non amoureux" et de "très amoureux" ---
Cyrille
Merci, on nous a conseillé de faire un questionnaire en temps quexperience, mais nous prefererions realiser quelque chose de plus concret!
Auriez vous egalement par hasard une idée de plan scientifique sur ce sujet??
Bonjour à toi,Envoyé par Meava
Google devrait etre connu de tous !
Dans ce genre de cas ,je lui dis:
"chimie de l'amour".....et il me dit de reste !
Tu vas avoir l'embarras du choix !
A+
Tomber amoureux provoque les mêmes réactions que la cocaïne
Grâce à cette débauche d'hormones, le cerveau ne tarde pas à s'emballer. Des chercheurs anglais ont fait l'expérience de recruter des jeunes gens "follement amoureux" et de leur montrer, au milieu d'autres images banales, une photo de leur bien-aimé(e). Résultat : les aires de la matière grise qui s'excitent à cette vue sont les mêmes que celles qui sont stimulées par la cocaïne et d'autres substances similaires. La dopamine (hormone de la même famille que les amphétamines) fait également des siennes, en nous demandant de rechercher toujours la source du plaisir, c'est-à-dire l'autre. On connaît la suite : coups de fil sans fin, contemplation des photos de vacances, visites surprises...
La passion, drogue dure ?
Attention, danger ! Les personnes fragiles ou qui vivront trop fort la phase précédente risquent de devenir durablement "accro". On sait qu'il existe aux Etats-Unis, parmi les cliniques chargées de soigner toutes sortes de dépendances, des unités spécialisées pour les addicts à l'amour... pour lesquels les experts utilisent les mêmes méthodes de diagnostic et de soins que pour les alcooliques. Comme les drogués, l'amoureux transi dit toujours pouvoir rompre, mais ne s'y résout jamais ; il promet de se maîtriser, mais appelle quand même l'autre vingt fois par jour... De tels comportements demandent un "sevrage" aussi douloureux qu'une désintoxication, plus même parfois, car une relation amoureuse est quand même plus complexe qu'un simple produit...
Les hormones de l'attachement durable
Si l'amour fou des premiers temps ne se transforme pas en passion néfaste, il peut évoluer vers un attachement durable et plus calme. Les hormones qui coulaient jusque-là en abondance diminuent avec le temps, de la même manière qu'une drogue prise régulièrement fait de moins en moins d'effet. Mais, différence notable avec la drogue, l'amour n'est pas néfaste, et on n'éprouve en général pas le besoin de multiplier les doses : deux autres hormones, l'ocytocyne et la sérotonine, vont prendre le relais en douceur. Elles procurent un plaisir plus doux et plus durable, celui d'être ensemble et de construire dans la sécurité. Comment finissent les contes de prince charmant, déjà ? Ah, oui : "ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants.
Il ne faut pas confondre les neurotransmeteurs avec des hormones dont les fonctions sont bien différentes.
Les amphétamines stimulent (entre beaucoup d'autres choses plus ou moins liées) la libération de dopamine, sérotonine, norépinéphrine et d'acétylcholine (en particulier dans le néostriatum et le système réticulaire).
La différence avec les hormones tient aussi aux effets sur le métabolisme cellulaire.
http://ticemed.chusa.jussieu.fr/www_.../chap0302.html
http://books.google.fr/books?id=YyN8...page&q&f=false
De la même façon, ces substances ne sont pas du tout comparables. Tout le temps présentes, elles ont des effets bien particuliers qui leurs sont propres (en particulier lors de l'accouchement et la lactation pour l'une et l'autre est un médiateur chimique intervenant un peut partout dans l'organisme).
S'il y a évolution dans le comportement, ce n'est pas du a un "relais" par une autre substance mais un équilibre très complexe qui est modifié.
http://books.google.fr/books?id=dzyy...ologie&f=false
http://www.vulgaris-medical.com/ency...ysiologie.html
Me semble quelque peu contradictoire avec ce qui suit :
