De la matière à la Conscience - Page 4
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De la matière à la Conscience



  1. #91
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience


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    Quand à évolution de l'espèce humaine, on est encore très loin de tout comprendre
    Je le sais que trop et je ne cherche qu'à comprendre, mais je sais cependant que tout est interrelié dans la nature comme tu le sous entant, et je cherche à faire les ponts entre les différents champs de connaissences les uns vers les autres. Merci de ton intervention

    A++

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  2. #92
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience

    Salut

    Pour compléter mon poste 89, je vous propose maintenent un petit schéma évolutif porté sur la matière nerveuse, il s'agit d'une partie d'un livre que je voulait écrire mais que j'ai abandonnés en court de route.

    Les prémices comportementales et évolutives de la matière nerveuse, ont été établis progressivement par les différents réflexes biologiques et physiologiques qui ont été conditionnés de manière automatique par les organismes vivants les plus simples et les plus primitifs de la terre, comme les bactéries, les éponges, les méduses, les vers, et les plantes etc... Tous ses différents mécanismes d’adaptations génétiques et biologiques, ont été élaborés en étroites relations par rapport aux différentes lois d’harmonie et d’équilibre environnemental de la nature. Les lois de la nature qui dirigent et orientent les différentes réactions chimiques et biochimiques de la matière, sont en fait les principales responsables et la cause première, de tous ces différents mécanismes comportementaux exprimés par les organismes vivants.

    Ces différents types de réflexes biologiques, sont tout simplement le résultat de certaines réactions moléculaires et biochimiques, qui ont été acquis lors de l’évolution des différentes molécules organiques. (ADN, ARN, protéines, enzymes, etc…) Leurs différents niveaux d’organisations et de fonctionnalités ont tout simplement été orientées et structurées par l’évolution et l’adaptation des organismes vivants unicellulaires, de type bactérien et ceci par rapport à leur environnement. Les premiers types de comportement cellulaires des bactéries, ont donc été axés sur la survie des individus et de l’espèce, et le tout étaient coordonnés par toutes sortes de signaux chimiques intérieurs et extérieurs. Par la suite les organismes vivants unicellulaires, ce sont regroupés en différentes colonies de bactéries. Les bactéries pouvaient ainsi entrer en relation et en communication, par certains signaux chimiques libérés dans leur environnement immédiat et pouvant provoquer des réactions biochimiques de toutes sortes. Cet aspect de l’évolution organique et moléculaire dirigée vers la communication extracellulaire, est à l’origine de l’évolution des différentes cellules sensorielles, qui ce son développer par différents processus d’adaptation génétique et environnementale et qui par la suite se sont tout simplement spécialisés à l’intérieur des organismes pluricellulaire de plus en plus complexe. Certaines protéines et molécules organiques situer à la surface de la membrane cellulaire, sont tout particulièrement spécialiser pour la réception et le traitement de ces différents signaux chimiques. Il s’agit en fait, d’une forme de processus biologique et biochimique effectués de manière totalement automatique, que possède tous les organismes vivants, envers une certaine forme de perception sensorielle et interactive de leur environnement immédiat.

    Les organismes vivant les plus simples de la nature, comme les bactéries et les algues microscopiques. Interagissent donc avec leur milieu, selon une forme d’affinité chimique et biochimique. Puisant ainsi directement dans leur environnement immédiat, les différents éléments nutritifs essentiel à leur survie et adoptant également à l’occasion, certains comportements reliés à leur reproduction, pour la préservation de leur espèce. Ces différents comportements bactériens reliés à la survie, sont donc rendus possibles et réalisés grâces à différents processus biochimiques, qui regroupent en fait toutes les différentes réactions chimiques de la matière vivante. Elles impliquent des phénomènes et des réactions d’oxydoréductions de la matière, effectués par l’échange d’électron ou par l’échange d’atomes d’hydrogènes. Le but de ces différents processus chimiques de la matière organique, est de favoriser l’échange de certains groupements d’atomes, servant entre autre à l’édification et la régénération cellulaire et pour également l’édification des différents mécanismes réactionnels utilisés par les molécules de la vie, les enzymes entre autre.

    Ses différents processus biochimiques, sont donc établis selon une certaine forme de complémentarité et d’affinité électrochimique, entre certaines protéines, enzyme et autres molécules organiques, qui sont elle-même en étroites relations et contrôlés par la structure génétique interne des cellules bactériennes. La sélection naturelle, allait donc favoriser la survie et l’évolution des organismes vivants, présentant alors les meilleures capacités d’interactions et d’adaptations comportementales face à leur environnement, et pouvant êtres également transmis de génération en génération. Ainsi, si la girafe possède actuellement un long cou, ce n’est pas parce qu’elle se nourrie à la cime des arbres. Mais belle et bien par ce que la nature en a voulut ainsi sur le plan génétique, et la girafe s’est tout simplement adapter à ses nouvelles conditions de vie physiologique, en se nourrissent justement à la cime des arbres. (concept du néodarwinisme)

    L’évolution a donc favorisé sur le plan génétique et physiologique, l’expression de certain caractère bien spécifique des êtres vivants, qui allaient se développer par la suite à travers d’organismes pluricellulaire de plus en plus complexes. Cette forme de direction évolutive envers les organismes pluricellulaires et envers les prémices d’une certaine ébauche du système nerveux. Représentée au tout début de l’évolution par certaines cellules bactériennes possédant une forme de sur spécialisation sur le plan génétique, et étant axées sur les différentes formes de communications inter et extracellulaires. Ceci a permit aux organismes vivant pluricellulaires de maintenir une certaine forme de contrôle sur l’intégrité de leurs cellules, et ceci afin de coordonné l’ensemble de leurs activités physiologiques et biochimiques de leur organisme. L’équilibre ainsi maintenu par l’échange continuel d’information moléculaire, axées sur la surveillance et le maintient de leur fonctionnalité individuelle et collective. A permit aux organismes vivant de surmonter les différents obstacles de leur survie et de contrôler ainsi d’une manière beaucoup plus efficace, leurs différents métabolismes en fonction des exigences et des modifications de leur environnement immédiat. L’évolution de la vie et du système nerveux n’a donc jamais été le fruit du hasard seul, elle faisait tout simplement partie d’un ensemble de possibilités adaptives beaucoup plus vastes qui présentaient des fonctionnalités auto programmables, et le tout contenu tout simplement à l’intérieur de nos gènes.

    Seulement environ 10% de tout l’ADN contenu à l’intérieur de nos cellules actuelle, soit environ de 30 000 gènes ont une activité génétique axées sur la production de protéines et d’enzymes. Activité qui est essentielle pour le bon fonctionnement et à la survie de nos cellules, ce sont les exons. Les introns représente plus de 90% de l’ADN non codant, qui n’est pas utilisé par nos cellules actuelles. Il s’agit peut être en réalité, des résidus de cette longue course évolutive, envers les différentes stratégies d’adaptation utilisée par les cellules face à leur environnement, et qui ont été tout simplement conservés par la nature à l’intérieur de nos cellules actuelles. Les introns pouvaient donc êtres réutilisés à l’occasion par les cellules, et ceci à différentes époques de leurs évolutions et selon les besoins. Les introns pouvaient ainsi servires en quelque sorte, de banque de donnée supplémentaire sur le plan génétique, et pouvaient éventuellement servir à augmenter les possibilités envers les différentes capacités d’adaptations cellulaires, qui étaient alors effectué de manière beaucoup plus efficaces et de manière beaucoup plus économique.

    Ces différentes capacités d’adaptations génétiques, contenue à l’intérieur des gènes, pouvaient êtres sélectionnés à tout moment et selon les différentes pressions évolutives exercées sur les bactéries et envers l’équilibre environnemental du milieu dans lequel elle se retrouvait. Ceci était rendu possible grâces aux différentes propriétés organisationnelles et structurelles des gènes et de leur très grande souplesse envers les différents processus biochimiques d’adaptations environnementaux. Cet aspect de l’évolution génétique sur le plan environnemental, allait évoluer par la suite, vers les véritables gènes homéotiques (homéobox) de développement et de segmentation des organismes vivants, pour ainsi donner naissance aux différents mécanismes de coordination et de différenciation cellulaire. Favorisant ainsi le développement, l’adaptation et l’évolution des premiers véritables organismes pluricellulaires beaucoup plus évolués et beaucoup plus diversifiés et complexes, que leurs ancêtres unicellulaires.

    La suite dans le prochain poste
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  3. #93
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience

    Les bactéries ont ainsi évolués en favorisant des contactes très étroits avec la nature et avec leur environnement immédiat, et ceci en fonction de certains états d’équilibre, d’harmonie et de complémentarité sur le plan des échanges et des réactions biochimiques et génétiques. Les différents comportements exprimés par les bactéries envers leur environnement, ce sont donc établis en fonction de leur survie individuelle et de la survie de leur espèce. Survie qui découle elle-même, de la recherche d’une certaine forme d’état d’équilibre chimique et biochimique toujours croissant, par rapport aux différentes possibilités et capacités d’adaptations face à l’environnement. La compétition naturelle établit entre les différents organismes vivants unicellulaires et entre les différentes espèces de bactérie de cette époque. S’effectuait donc d’elle-même et de manière totalement automatique, envers la sélection naturelle des espèces et envers également les différentes mutations et les différentes capacités portés sur la réorganisation génétique des bactéries. Les forcant ainsi à évoluer d’avantage par l’acquisition de nouvelle forme de capacité complémentaire et adaptative de plus en plus complexes envers leur environnement.

    Ses différentes affinités physico-chimiques et biochimiques avec leur environnement et envers les autres organismes vivants de leur entourage. Ont permis aux bactéries de se nourrir, de se reproduire, de se regrouper en différentes associations ou colonies, de coopérer en fonction des différents contactes de proximité établis entre-elles (ancêtres du fonctionnement nerveux) et de fuire en fonction des dangers. Ces différents types de comportements cellulaires ainsi que quelques autres, étaient à cette époque les seules qui pouvaient êtres exprimer envers l’environnement et effectués de manière totalement automatique, étant tout simplement de purs réflexes sur le plan physico-chimique et biochimique. Les futurs comportements reliés plus étroitement à la dominance, dont les prémisses évolutives sont axées sur la survie des individus et de l’espèce, ainsi que tous les autres types de comportements à caractères plus instinctifs. Ont donc des origines et des bases moléculaires et cellulaires très anciennes, faisant tout simplement partie des différentes réactions élémentaires de la nature, envers l’évolution de la matière organique et génétique. Dont la nature à tout simplement voulut garder les différentes traces, à travers l’évolution de tous les organismes vivants, dont le tout découle tout simplement d’une origine commune.

    Les premières colonies de bactéries :

    Aux files des années et des siècles, certaines bactéries se sont regrouper pour former des colonies, afin de facilité leur survie et leur adaptation face à l’environnement. Comme les stromatolithes qui sont les premiers vestiges calcaires de colonie de cyanobactérie, qui ont peuplé la terre à cette époque. Les cellules se trouvaient donc regroupés à des endroits bien différents à l’intérieur de ses colonies. Elles avaient donc accès aux différents éléments nutritifs du milieu de manières très différentes, selon les positions respectives qu’elles occupaient à l’intérieur de celle-ci. Pour assurer ainsi leur survie, certaines de ses bactéries se sont donc mises à coopérer de plus en plus étroitement avec leurs entourages, en échangeant ou en transférant de temps à autres, certains de leurs éléments nutritifs. Processus qui a été grandement facilité par la suite par l’intervention de certaines formes de mutations génétiques, qui ont été effectués de manière tout à fait aléatoire, sur le plan de l’adaptation et de l’évolution.

    Plusieurs facteurs environnementaux peuvent interagire avec l’ADN et causés toutes sortes de mutations, comme les rayons ultraviolets, certaines substances chimiques, la foudre et des erreurs de transcriptions, etc... Les bactéries ont ainsi évoluées, en favorisant et en établissant différentes formes de contactes très étroits entre elles et leur environnement et par différente forme de communication intra et extracellulaires, effectués de manières quasi permanentes entre elles. Les différentes formes de communications entrent les bactéries, étaient alors rendu possible grâces à différents processus biochimiques et génétiques axés sur certaines molécules organiques, ce trouvant alors situées à la surface de la membrane cellulaire des bactéries. Ainsi certaines d’entres-elles vont se spécialiser de plus en plus et se concentrée d’avantage sur la production et la sécrétion de différentes molécules, qui seront par la suite évacuée à l’extérieur d’elles pour informer les autres bactéries de ses besoins essentielles. Nous avons ici l’ancêtre du mécanisme cellulaire qui est reliés à la sécrétion et à la communication à distance, et effectuées par les hormones.

    De file en aiguille, avec les différentes formes de mutations génétiques, qui seront à l’avenir orientées sur les différents aspects de la communication intra et extracellulaire. Vont avoir une certaine forme de répercussion moléculaire et biochimique, acquises par les modifications effectuées sur la structure génétique interne de ses bactéries, et devenir par la suite une acquisition qui sera de plus en plus diversifier et complexes. La cellule possède différentes stratégies moléculaires et biochimiques pouvant lui permettre de s’adapter à son environnement, et d’acquérir ainsi une certaine forme d’équilibre. Elles possèdent également des mécanismes d’ingénieries moléculaires, servant à la réparation de leurs brins d’ADN, qui à ses époques très reculées de l’évolution de la vie, n’était tout simplement pas aussi performante qu’actuellement. Plusieurs formes de mutations sont alors rendues possibles, par des erreurs effectuer pendant la transcription et la copie de l’ADN, lors de la division cellulaire des bactéries. Les cellules bactériennes possèdent également différents mécanismes leurs permettant d’échangés entres-elles, certaines morceaux d’ADN. La conjugaison bactérienne comme reproduction.

    D’autres phénomènes génétiques sont également mis en jeu, comme la découverte en 1940 des séquences mobiles d’ADN pouvant se déplacer à l’intérieur de la structure génétique d’une cellule. Élément transposable permettant une diversité génétique, encore plus grande face à l’évolution des espèces. Elle consiste pour la cellule à couper une certaine partie de son ADN, dans le but de la recoller à un autre endroit, situé à l’intérieur de sa structure génétique. Le morceau d’ADN, se trouvant ainsi déplacer de sa position initiale et recoller ailleurs dans la structure génétique de la cellule. Favorise ainsi différentes formes d’adaptations possibles et accidentelles envers l’expression de nouvelles caractéristiques moléculaires, biochimiques et génétiques des cellules face à leur environnement, tout en augmentant du même coût ses différentes possibilités de survie. Dont certaines de ses caractéristiques, étant les plus favorables à l’évolution et à l’adaptation des cellules envers leur milieu, seront désormais transmises et conservées sous forme héréditaire, favorisant ainsi la survie de l’espèce sur le plan de la sélection naturel. Tandis que les autres cellules et bactéries n’ayant pas réussit, en des temps raisonnables à s’adapter adéquatement à leur nouveau milieu et à leur environnement. Seront tout simplement remplacer par les nouvelles générations, dont ceux n’ayant pas les mêmes caractéristiques génétiques, seront tout simplement appeler à disparaître.

    C’est le processus standard qui est attribué à l’évolution de la vie et à la sélection naturelle des espèces, ou le plus fort envers ses différentes capacités d’adaptations sur le plan génétique et physiologique, l’emporte tout simplement sur les autres et assure ainsi à sa descendance les meilleurs attributs génétiques possibles. Certaines de ses mutations accidentelles effectuées sur le plan génétique, ont ainsi favorisé différentes interventions possibles sur l’environnement, qui par le développement et l’adaptation de leur différente fonctionnalité, dont certaines d’entre elles se sont tout simplement révélés très utiles. Ont tout simplement été sélectionné afin de favoriser une meilleure adaptation possible face à l’évolution. Adaptation qui résulte en fait d’un processus purement biochimique, visant tout simplement des meilleurs affinités électrochimiques sur l’état vibrationnelle et réactionnelle des molécules impliquées dans ses différentes réactions chimiques. Ainsi selon la position occupée par une bactérie à l’intérieur d’une colonie quelconque. Différents processus biochimiques, faisant partie d’un ensemble de possibilité génétique beaucoup plus vaste et pouvant être exprimé en fonction des différentes situations d’équilibre et de complémentarité environnementale, biologique et biochimique. Seront tout simplement sélectionnés et mis en contribution pour répondre aux différents besoins de survie des bactéries. Peut importait désormais la position occupée par une bactérie à l’intérieur de la colonie.

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  4. #94
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience

    Ces différentes contributions sur le plan génétique et biochimique, qui ont été acquit à travers toute l’évolution, seront désormais sélectionnées et activées en fonction de certains facteurs environnementaux, qui seront alors capter et traduit par les cellules, afin de mettre en activité certaines région génétique axée sur la production de certaines protéines et enzymes. Dont l’activité et l’action première, sera d’effectuées une certaine forme de complémentarité biochimique, visant un meilleur équilibre fonctionnel de la cellule envers son environnement. C’est un mécanisme qui est basé sur la communication et la spécialisation cellulaire, afin d’adapter la survit de la bactérie en fonction de la position exacte, qu’elle pourrait occuper désormais à l’intérieur d’une colonie. De cette manière, les bactéries d’une colonie pourront êtres désormais situés a n’importe qu’elles endroit de celle-ci, et même changer de place. Ce phénomène pourrait être à l’origine des différents gènes homéotiques, axés sur le développement et la segmentation des cellules, phénomène qui est d’ailleurs essentielle à la différenciation et la spécialisation des cellules, composant les différents organismes pluricellulaires.

    Les organismes pluricellulaires :

    Ceci termine l’évolution de la vie unicellulaire, qui a été le processus de l’évolution de la vie la plus longue sur terre, s’échelonnant sur une période de temps de plus de deux milliards d’années environ. Nous allons maintenant nous diriger vers la vie pluricellulaire, qui est responsables de tout la biodiversité des organismes supérieurs, vivant actuellement sur notre planète. Elle représente d’ailleurs, les formes de vie les plus complexes du règne animal et végétal, face à l’évolution. L’étape suivant envers l’évolution de la vie, allait être et devenir très déterminant, sur le plan structurel des organismes vivants. Il s’agit de plusieurs types de mutations génétiques successives, qui ont favorisé une certaine forme de contrôle hiérarchisé sur le plan génétique, et visant une certaine catégorie de gène bien spécifique, qui pouvaient désormais contrôler et régulariser l’expression de plusieurs autres gènes. Ceux-ci possédaient des caractéristiques fonctionnelles bien définis, acquis à des époques bien différentes à travers l’évolution et qui allaient favoriser un meilleur équilibre envers les millieu extérieurs et environnemental.

    Ici il s’agit des véritables gènes homéotiques de segmentation et de développement cellulaire, qui ont été acquit seulement par les cellules de type eucaryote les plus évoluées. Désormais et pour la première fois dans toute l’histoire de l’évolution de la vie sur terre, une seule cellule sera nécessaire pour développer un organisme vivant complet et très complexe. Constituer de plusieurs organes physiologiques très différents et bien définis, et qui seront étroitement reliés entre eux par différent processus de communication et de différenciation cellulaire, le tout étant sous contrôle génétique. Cette époque remonte à plus de 700 millions d’années environ, à l’époque géologique correspondant au préCambien et est caractérisée par une sorte d’explosion des organismes vivants pluricellulaires à corps mous, comme les méduses et les éponges.

    Origine des différents capteurs sensoriels :

    Certaines caractéristiques cellulaires déjà acquises et bien définis envers l’évolution des organismes unicellulaires et pluricellulaires, vont désormais servires d’ébauches pour le développement de cellule et d’organe, pouvant servir de récepteur sensoriel envers les différents stimulent en provenance de leur environnement. Voici donc une petite description, qui est d’ailleurs très hypothétique, sur l’origine et l’évolution de ces différentes caractéristiques, sur le plan cellulaire et génétique, dont la vie allait encore une foi vouloir garder la trace tout au long de son évolution. Ces différentes formes de caractéristiques moléculaires et biochimiques, sur le plan génétique et cellulaire, allaient devenir très déterminantes par la suite, envers l’évolution des organismes vivants pluricellulaires. Ainsi les différentes formes de contactent et de jonctions extracellulaires, et les différentes formes de communication inter et extracellulaires, établis entres les bactéries d’une même colonie, allaient servire de base pour la création de nouveaux type cellulaire, véritable ancêtre des cellules nerveuses et sensorielles.

    Les différents processus biochimiques et génétiques, qui interviennent dans les communications cellulaires et pour l’établissement de jonction de contacte entre les bactéries. Vont tout simplement évolués et devenir petit à petit très spécialisé dans la détection de différents paramètres physico-chimiques, électrochimiques et photo-chimiques de l’environnement. Les bactéries thermophiles, qui sont les plus vieux organismes procaryotique vivant à faire leur apparition sur terre, vont tout simplement transmettes certaines de leurs caractéristiques biochimiques acquises sur le plan génétiques, aux futures générations de bactéries. Afin de permette entre autre la détection des différentes variations thermiques de leur environnement immédiat. Donnant ainsi naissance beaucoup plus tard, à de véritables cellules sensorielles de type nerveuses sensible à la détection de la chaleur, et faisant partie de nos cinq sens actuelles. Ici il s’agit d’une bifurcation évolutive et structurelle des organismes vivants qui allait permetres un niveaux réactionnelles et interationnelle plus grand face aux différents milieu de vie en évolution.

    La pression exercer par le flux et le relut des marées, pouvait être un indicateur éventuel pour les bactéries de la venue de leur source de nourriture ou d’un danger potentiel. Les marées de cette époque, était 30 fois plus fortes que celles d’aujourd’hui, elles pouvaient donc avoir de réelle impacte sur le partour des mers et des océans, pouvant même menacer la survie des bactéries et de leur colonie également. La lune était 3 fois plus proche de la terre, qu’elle ne l’est de nos jours et elle en faisait le tour en 5 jours seulement, ce qui a eu comme conséquence directe d’accélérer la rotation terrestre, qui s’effectuait alors en une dizaine d’heures seulement. Aujourd’hui la lune s’éloigne toujours de nous de quelques (3) centimètres par années, ralentissant ainsi la rotation terrestre de quelques secondes par millénaires.

    Les différentes pressions exercées sur la membrane cellulaire des bactéries, subissant alors des compressions et des entassements réguliers d’ordre physico-chimiques et pouvant être causées par le vent, les marées et les tempêtes etc… Vont donner naissance petit à petit à d’autres types cellulaires très spécialisées, possédant des caractéristiques d’ordres sensorielles, et ceci après plusieurs types de mutation effectués de manière purement aléatoires. Favorisant ainsi la survie des bactéries par l’intermédiaire de nouvelle capacité, qui leur permettraient désormais de détecter certain phénomène d’ordre environnemental (la teneur en sel solube par exemple). Leur permettant également d’orienter et d’ajuster certaines de leurs activités biochimiques, afin de réagir rapidement et de manière adéquate à cette nouvelle situation pouvant menacer leur survie.

    Ces différents processus d’adaptations sur le plan génétique, pourraient bien êtres à l’origine des premières cellules sensorielles spécialisées dans le toucher et la détection des variations de pressions, aux différentes cellules spécialisés dans la détection de certains composées chimiques, comme pour le goût avec nos papilles gustatives et finalement aux cellules spécialisées dans l’audition et pour le maintient de l’équilibre, comme pour les cellules nerveuses de la cochléaire et de l’appareille vestibulaire de notre oreille interne. Les bactéries photosynthétiques, vont plutôt favoriser une évolution et une transmission des différentes caractéristiques moléculaires, reliées aux phénomènes photo-chimiques de nos cellules sensorielles impliqués dans la vision, comme les cellules en formes de cônes et de bâtonnets de la rétine de l’œil. Toutes ses différentes caractéristiques biologiques et physiologiques, acquises sur le plan de l’évolution cellulaire et génétique, ont étés transmis en gardées à l’intérieur des séquences d’ADN des cellules, et ont tout simplement étés activés au moment voulut et selon les différentes pressions environnementales visant des états d’équilibre et d’harmonie structurelle toujous grandissant. Représentant alors une forme d’intron génétique, ou de structure génétique non utilisés avant leur activation.

    Les prochaines poussées évolutives des organismes vivants d’ordre supérieurs, vont ainsi favoriser le développement anatomique et physiologique de l’œil et de la vision, ainsi que plusieurs autres types d’organes biologiques. Cela est rendu possible grâce à différents mécanismes génétiques, axés sur la différenciation et la spécialisation cellulaire, comme les gènes homéotiques. Mécanisme qui est d’ailleurs contrôlé entièrement par les différents processus de la communication cellulaire, et effectué par l’intermédiaire de différents signaux chimiques qui sont alors libérés à l’extérieur des cellules et ayant comme objectif de coordonner l’ensemble du développement d’un organisme vivant pluricellulaire. Ces différentes molécules ont pour objectifs, d’activé certains séquences génétiques des cellules, afin de faire ressortir certains traits bien caractéristiques, reliés à certaines fonctionnalités biochimiques des cellules et servant entre autre à maintenir une certaine forme d’équilibre structurelle, entre les différents tissus et organes d’un organisme vivant face a son milieu de vie.

    La suite dans le prochain poste
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  5. #95
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience

    Les prochaines poussées évolutives des organismes vivants d’ordre supérieurs, vont ainsi favoriser le développement anatomique et physiologique de l’œil et de la vision, ainsi que plusieurs autres types d’organes biologiques. Cela est rendu possible grâce à différents mécanismes génétiques, axés sur la différenciation et la spécialisation cellulaire, comme les gènes homéotiques. Mécanisme qui est d’ailleurs contrôlé entièrement par les différents processus de la communication cellulaire, et effectué par l’intermédiaire de différents signaux chimiques qui sont alors libérés à l’extérieur des cellules et ayant comme objectif de coordonner l’ensemble du développement d’un organisme vivant pluricellulaire. Ces différentes molécules ont pour objectifs, d’activé certains séquences génétiques des cellules, afin de faire ressortir certains traits bien caractéristiques, reliés à certaines fonctionnalités biochimiques des cellules et servant entre autre à maintenir une certaine forme d’équilibre structurelle, entre les différents tissus et organes d’un organisme vivant face a son milieu de vie.

    Par la suite, la vie poursuivra son évolution à la surface de la terre, en prenant alors différentes formes de vie végétales et animales. Elle avancera incontestablement aux files des époques et des aires géologiques, pour finalement aboutire à notre époque avec une si grande diversité biologique. La période géologique du Cambrien et les suivantes, qui remonte à plus de 600 millions d’années sont bien caractérisés par l’évolution et par la progression très rapide des organismes vivants pluricellulaires, comme les plante et les animaux aquatiques. Tous ses différents processus envers l’origine et l’évolution de la vie, ne sont donc pas attribuable au hasard seul. Mais font réellement partis d’un ensemble de possibilité et de probabilité beaucoup plus vaste, porté sur l’évolution chimique et biochimique de la matière, qui est alors orientée vers des structures de la matière de plus en plus complexe, et faisant partie de la manifestation des différentes lois de la nature.

    Pour résumer notre histoire sur l’origine et l’évolution de la vie sur terre, nous pouvons dire que la gravitation réunis et concentre vers un ou plusieurs points bien spécifiques de l’espace. Les différentes concentrations en élément, constituées entre autre de molécule et de poussière de toutes sortes et qui se trouvent alors piégées dans un milieu interstellaire en pleine transformation. La matière subira par la suite différente réactions physico-chimiques, électromagnétique et électrochimiques, envers les différentes propriétés physiques, chimiques et électromagnétiques de la matière se trouvant alors dans le milieu en question, pour finalement subire une certaine forme de convergence structurelle et évolutive de plus en plus complexe du système. Ces différents processus et mécanismes naturels de l’évolution structurelle de la matière, peuvent très bien expliquer et conduire à l’évolution et au développement de la vie, et pourquoi pas vers la conscience si les conditions du milieu lui son alors favorable et le permette, comme cela c’est déjà produit envers l’évolution notre propre espèce sur terre. Après l’origine et l’évolution de la vie il nous reste qu’à entrevoir l’évolution de l’espèce humaine.

    Première étape de l’évolution du cerveau :

    Petit à petit avec la complexification des organismes pluricellulaires et envers surtout l’émergence de nouveaux gènes de types homéotiques, qui vont favoriser la segmentation, de différenciation et le développement de différents tissus cellulaires d’un organisme vivants. Qui avec le temps sont devenus de plus en plus complexes, permettant ainsi aux différents organismes pluricellulaires, d’avoir en leur possession et en leur contrôle, plusieurs types de cellules regroupées en différents organes ayant des activités et des fonctionnalisées physiologique bien différent les unes par rapports aux autres. Certaines de ses cellules pouvaient coordonner l’ensemble des tissus et des organes constituant un organisme, et ceci de manière à maintenir une forme d’équilibre parfaites de leurs différentes activités biochimiques et moléculaires, axée entre autre sur la production et la secrétions de certaines molécules extracellulaires, le tout coordonné et contrôlé pour faire face aux différents besoins imposés par l’environnement. Ici il s’agit d’une sorte de contrôle hormonale sur l’homéostasie cellulaire, axé sur le maintient de l’équilibre interne d’un organisme vivant.

    La nature va donc petit à petit assisté à la naissance et à la spécialisation des premières cellules de type nerveux. Ne servant à l’époque qu’à établir différents réseaux de communications de plus en plus complexes entre les différents tissus cellulaires d’un organisme vivant et pouvant également régulariser l’ensemble de ses fonctionnalités physiologiques. D’autres types de cellules qui étaient alors en étroites relations avec les différentes conditions d’équilibres environnementales, vont ainsi faire leur apparition et établires des jonctions de toutes sortes avec les cellules de types nerveuses. Il pouvait s’agir également d’une certaine forme de différenciation cellulaire effectuée par les cellules de types nerveuses, ayant acquis alors cette nouvelle spécialisation moléculaire et biochimique. Fonctionnalités qui ont été acquises de façon purement aléatoire sur le plan de l’évolution génétique et transmise de génération en génération, ce trouvant tout simplement favorable à l’adaptation et à l’évolution de l’espèce, et ceci après avoir effectué plusieurs autres tentatives qui ont échoué. Ce sont les premières formes de cellules sensorielles reliées aux cellules de types nerveuses, elles peuvent déterminer à elles seul, le comportement global d’un organisme vivant pluricellulaire.

    Le stade des colonies de bactéries et d’algues, dont les individus vivaient de manières indépendantes et presque immobiles, et des organismes pluricellulaires fixes et ancrés au sol, est maintenant réellement franchit. Car ici, il s’agit d’un nouveau type de comportement relié au mouvement et au déplacement que peuvent désormais entreprendre les organismes pluricellulaires, sous le contrôle et la surveillance de leurs cellules nerveuses. Ainsi à partire des colonies de bactéries et des protozoaires unicellulaires (famille des protistes), en passant par les éponges qui représente les premier véritable organismes pluricellulaires. Nous voilà maintenant rendu à la première forme d’évolution du système nerveux, et qui est étroitement associés aux différents organismes pluricellulaires dotés de mouvement. Il s’agit des cœlentérés, qui regroupe les organismes vivants a intestin creux, comme l’hydre et la paramécie et qui possèdent quelques neurones éparpiller dans leur corps, sans aucune autre structure plus élaborée, que par de simple connexion inter neuronales. Il y avait également les vers plats primitifs et les tribolites arthropodes à huit pattes, qui possédaient des structures nerveuses encore plus complexes que les cœlentérés. Ses organismes vivants ont marqué la période géologique transitoire situé entre le précambrien et le cambrien.

    Tous ces différents phénomènes axés sur l’évolution de la vie et de ses différents mécanismes d’adaptations, nous ramènes en réalité à certains principes Universels axés sur l’équilibre et l’harmonie. Principe qui nous démontre en fait, comment la nature communique et s’exprime envers elle-même, et qui sur le plan de la conscience humaine sont tout simplement associés aux différents concepts spirituels envers la morale et la sagesse. Ainsi nous pouvons dire que l’évolution de la conscience humaine et du cerveaux, s’est effectués en réalité à travers et en étroite relation avec les prémisses spirituelles de la nature. Celles-ci découlant tout simplement des mêmes lois fondamentales de l’Univers, qui dirige l’évolution et le comportement de l’ensemble des différents niveaux d’organisation de la matière.

    A++
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  6. #96
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience

    Un autre petit bout.

    Les premiers organismes pluricellulaires, n’avaient pas de structure neurologique bien définit et situé à un endroit bien particulier de leur corps. Servant entre autre à centraliser les différents signaux chimiques en provenance de l’extérieur, pour ainsi en faire l’analyses et l’interprétation, comme c’est le cas pour le cerveau. Il s’agit en fait, de la première étape de l’évolution du système nerveux, qui est représenté par l’association de différents types de ganglions nerveux répartis à l’intérieur d’un organisme vivant d’aspect plutôt segmentaire. Chaque ganglion étant composé de quelques cellules nerveuses réparties à travers tout l’organisme, les ganglions sont reliés entre eux par quelques fibres nerveuses, les axonnes. Dont les représentants les plus fidèles du règne animal, en faisant abstraction des mollusques et des arthropodes qui regroupe entre autre les insectes et les crustacés, et qui possède un système nerveux un peut plus évolués, sont les vers plats représentés par les plathelminthes. Ainsi la forme segmentaire du plathelminthe, dont chaque segment sont entièrement autonomes et interconnectés entre eux par des axones, pour leur coordination générale. Donne au plathelminthe la capacité, lorsqu’il est couper en deux par exemple, de régénérer complètement les parties manquantes de chaque unes des extrémités, donnant ainsi naissance à deux organismes complets et fonctionnels.

    Tous ces différents processus chimiques et biochimiques de l’évolution de la matière organiques et de la vie, son rendu possible grâce à la manifestation des différentes lois fondamentales de la nature et de l’Univers. Dans un premier temps, il s’agit des différentes concentrations en matière organique et minérale entrant dans la composition d’un milieu quelconque. Celles-ci détermineront ainsi, de part leurs propres propriétés réactionnelles, les différents degrés et potentiel d’affinités physico-chimiques et biochimiques qui pourront êtres établis entre les différentes structures organiques et moléculaires du milieu en question. Le tout s’orientant par la suite, vers une forme de convergence structurelle et évolutive de la matière organique, et cela sera toujours effectué en étroitement relation avec l’acquisition de nouvelle forme d’états d’équilibre de plus en plus complexes, offerts par les différentes capacités d’adaptations génétiques des organismes vivants face à leur environnement. Il s’agit en fait (pour l’évolution moléculaire de la vie), d’une sorte d’amalgame réactionnelle contenu dans l’ensemble de la nature, envers les différentes possibilités portées sur l’évolution de la matière qui se trouvent dans l’Univers. Et qui fait partie d’une sorte de structure matricielle portée sur l’évolution chimique et organique, et qui contient l’ensemble des mécanismes virtuellement possibles et découlant directement du fonctionnement fondamental des lois Universelles. Dont l’homme actuel n’a conscience que d’une infirme partie de leur véritable fonctionnement. Phénomènes dattraction et de répulsion.

    FIN
    A++
    http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?showtopic=8532

  7. #97
    invite57e4f988

    Re : De la matière à la Conscience

    Citation Envoyé par glevesque
    Seulement environ 10% de tout l’ADN contenu à l’intérieur de nos cellules actuelle, soit environ de 30 000 gènes ont une activité génétique axées sur la production de protéines et d’enzymes. Activité qui est essentielle pour le bon fonctionnement et à la survie de nos cellules, ce sont les exons. Les introns représente plus de 90% de l’ADN non codant, qui n’est pas utilisé par nos cellules actuelles.
    Je n'en suis pas certain mais il me semble que les introns et exons sont plutôt aléatoires. Un gène code pour plusieurs protéines. (ce qui ne veut pas dire que l'adn soit 100% non redondant.

  8. #98
    invite57e4f988

    Re : De la matière à la Conscience

    Citation Envoyé par glevesque
    Le tout s’orientant par la suite, vers une forme de convergence structurelle et évolutive de la matière organique, et cela sera toujours effectué en étroitement relation avec l’acquisition de nouvelle forme d’états d’équilibre de plus en plus complexes, offerts par les différentes capacités d’adaptations génétiques des organismes vivants face à leur environnement.

    Il s’agit en fait (pour l’évolution moléculaire de la vie), d’une sorte d’amalgame réactionnelle contenu dans l’ensemble de la nature, envers les différentes possibilités portées sur l’évolution de la matière qui se trouvent dans l’Univers. Et qui fait partie d’une sorte de structure matricielle portée sur l’évolution chimique et organique, et qui contient l’ensemble des mécanismes virtuellement possibles et découlant directement du fonctionnement fondamental des lois Universelles. Dont l’homme actuel n’a conscience que d’une infirme partie de leur véritable fonctionnement. Phénomènes dattraction et de répulsion.
    C'est presque de la philo là : on dirait une loi d'harmonie favorisant le progrès complexe <> des lois universelles dont on n'en perçoit que répulsion et attraction. Autrement dit une loi surnaturelle, c'est bien ça l'idée?

    Pour ce qui est de la complexité croissante, vous ne pensez pas que l'entropie puisse en être en cause. (en tout cas, c'est symétrique : N=-S diminue ("potentiel") et Complexité augmente...)

  9. #99
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience

    Je n'en suis pas certain mais il me semble que les introns et exons sont plutôt aléatoires. Un gène code pour plusieurs protéines. (ce qui ne veut pas dire que l'adn soit 100% non redondant
    En effect la codification des ARN messager ne se fait pas de manière continu pour la plupart des protéines-enzymes et surtout selon leur longueur respectif. Un gène peut-être morcellé en plusieurs partie plus petite sur le filament d'ADN initial. Il y a également des phénomènes d'épissage complexe lors de la transformation de l'ARN en ARN de tranfaire avant d'être conduit aux ribosomes pour la synthèse des protéines-enzymes. Ce phénomène coupe certaine partit de l'ARN messager.

    A++
    http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?showtopic=8532

  10. #100
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience

    C'est presque de la philo là : on dirait une loi d'harmonie favorisant le progrès complexe <> des lois universelles dont on n'en perçoit que répulsion et attraction. Autrement dit une loi surnaturelle, c'est bien ça l'idée?
    Non, il s'agit bien d'une autre manière de dire les choses à partir des 4 interactions fondamentales de la nature. En fait il s'agit d'une manière de voir le contexte évolutif des systèmes complexes qui découles de ces 4 interactions. Il s'agit toujours de la théorie des grands nombres, mais associé à son aspect causale et évolutif dans les différents champs de matière.

    Pour ce qui est de la complexité croissante, vous ne pensez pas que l'entropie puisse en être en cause. (en tout cas, c'est symétrique : N=-S diminue ("potentiel") et Complexité augmente...)
    C'est la même chose, mais expliqué d'un autre angles (Biologiste) tout simplement et toujours associé à l'aspect causale de l'évolution des systèmes complexe.

    A++
    Dernière modification par glevesque ; 01/10/2004 à 18h15. Motif: Précision et similitude
    http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?showtopic=8532

  11. #101
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience

    Salut scientist

    J'ai fini par trouver le texte qui te fait fripper et désespérer.

    Tous ces différents processus chimiques et biochimiques de l’évolution de la matière organiques et de la vie, son rendu possible grâce à la manifestation des différentes lois fondamentales de la nature et de l’Univers. Dans un premier temps, il s’agit des différentes concentrations en matière organique et minérale entrant dans la composition d’un milieu quelconque. Celles-ci détermineront ainsi, de part leurs propres propriétés réactionnelles, les différents degrés et potentiel d’affinités physico-chimiques et biochimiques qui pourront êtres établis entre les différentes structures organiques et moléculaires du milieu en question. Le tout s’orientant par la suite, vers une forme de convergence structurelle et évolutive de la matière organique, et cela sera toujours effectué en étroitement relation avec l’acquisition de nouvelle forme d’états d’équilibre de plus en plus complexes, offerts par les différentes capacités d’adaptations génétiques des organismes vivants face à leur environnement. Il s’agit en fait (pour l’évolution moléculaire de la vie), d’une sorte d’amalgame réactionnelle contenu dans l’ensemble de la nature, envers les différentes possibilités portées sur l’évolution de la matière qui se trouvent dans l’Univers. Et qui fait partie d’une sorte de structure matricielle portée sur l’évolution chimique et organique, et qui contient l’ensemble des mécanismes virtuellement possibles et découlant directement du fonctionnement fondamental des lois Universelles. Dont l’homme actuel n’a conscience que d’une infirme partie de leur véritable fonctionnement. Phénomènes dattraction et de répulsion.
    En fait ce que j'exprime ici ce sont les éffects observable à travers la nature à partir desquelles il est possible de visualiser dans un ensemble (théorie des grands nombres) la manifestation des 4 interactions fondamentales de la nature qui en sont les fondements de base. Le concepte d'harmonie et d'équilibre que j'emplois ici dans mon texte découles en fait de leurs interractions mutuelles. La gravitation qui réunit les substences en concentration et qui l'influence de manière physique par mouvement de brassage et autre. De l'électromagnétique qui fait interragire les éléments entre eux, selon les électrons de valence et le degré d'ionisation par exemple, et qui sont regroupée dans une substance quelconque prit sous forme d'une concentration de matière initiale, à la manière de la formation des systèmes solaires (M13) par exemples. Et pour finir des différentes forme de convergences évolutive et structurelle que le système en question peut prendre avec le temps. Rien n'est absolut mais tout obéit à des règles évolutive de la matière, qui sont contenut dans les lois fondamentale de l'Univers que j'ai cités un peut plus haut. Ce concepte veut tout simplement illustrer l'évolution des système à grand nombres. Car en fait tout est causale également dans la nature après la manifestation des lois de la nature et faisant partie du monde sensible de notre échelle.

    Ainsi a partir de ce prostulats tu peut étudier et comparer tout les systèmes biologique ou organique sur le plan moléculaire et cellulaire et entreprendre différents convergence évolutif possible des systèmes étudier.

    A++
    Dernière modification par glevesque ; 01/10/2004 à 20h24.
    http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?showtopic=8532

  12. #102
    invite57e4f988

    Re : De la matière à la Conscience

    C'est bien le passage sensible.
    Mais je dirais que l'évolution complexifiante des choses n'est pas encore démontrée, juste observée. De ce fait pour l'instant, cela s'apparente plus à de la croyance (et la main d'un architecte en général).
    Mais je ne dis pas que tu as tort. Au contraire, les automates cellulaires, les fractales, etc. montrent qu'avec des lois simples, on peut obtenir une structure complexe.
    J'ajouterais que cela fait plusieurs années (voir siècles) que les hommes cherchent cette "harmonie" ; on le voie en Bio (le truc en puissance 3/4) qui est presque prouvé avec la théorie constructale...



    Pour revenir au sujet, j'allais parler des cellules gliales (avec les astrocytes notament) dans un de mes post précédent ; et ils sont de retour dans Science&Vie.
    Il s'agirait d'un réseau secondaire au temps de réponse plus lent car utilisant les voies chimiques... et pouvant agir sur les neurones (si c'est possible jusqu'à une certaine mesure, le pouvoir de la volonté est presque démontré...bientôt on sera tous yogis )

  13. #103
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience

    Pour revenir au sujet, j'allais parler des cellules gliales (avec les astrocytes notament) dans un de mes post précédent ; et ils sont de retour dans Science&Vie. Il s'agirait d'un réseau secondaire au temps de réponse plus lent car utilisant les voies chimiques... et pouvant agir sur les neurones (si c'est possible jusqu'à une certaine mesure, le pouvoir de la volonté est presque démontré...bientôt on sera tous yogis
    Il faut que je me renseigne sur le sujet des cellules gliales (avec les astrocytes), car je ne suis pas au courrant de ce fait. J'ai toujour pensée qu'il ne s'agissait que de cellule nouricière et de support, alors il faut me mettre à jours

    si c'est possible jusqu'à une certaine mesure, le pouvoir de la volonté est presque démontré...bientôt on sera tous yogis
    Non je n'irait pas jusque là, mais cela est peut-être une sorte de suppose secondaire pour le controle associatif ou descriminatif de l'info.

    bientôt on sera tous yogis
    Ils nous manques encore beaucoup de chemin à parcourir, mais avec les nanotechs cela sera très interressant pour un avenir asser proche.

    A++
    http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?showtopic=8532

  14. #104
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience

    on le voie en Bio (le truc en puissance 3/4) qui est presque prouvé avec la théorie constructale...
    Là tu me n'aprend une bonne, je suis igniorant sur ces sujets, veux-tu élaborer SVP.

    A++
    http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?showtopic=8532

  15. #105
    invite57e4f988

    Re : De la matière à la Conscience

    Pour ce qui est des yogis, c'était avant tout une blague (même si au fond, ça commence à devenir possible...)

    Pour la théorie constructale, un petit résumé : http://www.admiroutes.asso.fr/larevue/2003/49/bejan.htm

    et j'ai même trouvé ça : http://forums.futura-sciences.com/showthread.php?t=3826

    Pour le 3/4 :
    extrait :
    Les lois allometriques sont des lois de puissance (power laws) et sont tres utilisees en biologie.
    Par exemple en 1930, M. Kleiber et S. Brody montrent que le taux metabolique cite plus haut
    varie en fonction de la masse des organismes a la puissance 3=4 . En fait, il est surprenant de
    noter que la plupart des lois allometriques relatives a la masse d'un individu ont un facteur
    d'echelle b multiple de 1=4. Le caractere universel de ces fonctions nous dit quelque chose sur la
    facon dont s'organisent les ^etres vivants et sur les contraintes qui les font evoluer [BWE00]. Le
    probleme de ces lois est qu'elles sont empiriques et ne disent rien des mecanismes qui contr^olent
    les di erentes variables descriptives entre les di erents niveaux d'organisation. Neanmoins, les
    lois d'allometries montrent que les di erents niveaux d'organisation sont interdependants et ont
    des proprietes communes. Il peut ^etre interessant d'aller un peu plus loin dans la comprehension
    des interactions entre niveaux d'organisation.
    sur http://lil.univ-littoral.fr/~duboz/Papers/chapitre1.pdf

  16. #106
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience

    Merci scientist je part étudier le question.

    A++
    http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?showtopic=8532

  17. #107
    invite3bc31a43

    Re : De la matière à la Conscience

    ca a l'air interessant, je vais m'y mettre aussi

  18. #108
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience

    Salut tout le monde

    Elle est superbe la doc scientist et en effect ma mise en scène de la théorie des concentrations voulait bien illustrer ou exprimer une approche comme celle de la théorie constructale, une sorte de convergence structurelle et évolutives des différents systèmes d'échelles.

    En pasent la théorie constructale a t-elle une approche mathématique semblable ou presque à sel des fractales.

    A++
    http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?showtopic=8532

  19. #109
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience

    Salut

    Voici trois schémas pour illustrer un peut le sujet de notre discution.

    2 - Les trois type de cerveau.



    3 - Schéma illustrant la fonctionnalité associative entre les différentes structure neuronal sous forme hiéharchiser des réseaux nerveux et pour illustrer le poste 20.


    Bon je ne sais pas dans quelle ordre cela va sortir, allons voir.
    A++
    Miniatures attachées Miniatures attachées De la matière à la Conscience-troiscerveau.bmp   De la matière à la Conscience-schemanerveux1.bmp  
    http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?showtopic=8532

  20. #110
    pi-r2

    Re : De la matière à la Conscience

    Tu l'as fait exprès ? C'est de l'humour ou un raté de touches.
    Je n'ai vu que 2 schémas... Mais c'est vrai qu'en comptant à partir de 2...

    Merci pour cette détente !

    Ceci dit, la structure en couches successives des trois cerveaux semble bien dénoter des niveaux de complexité "emboités".
    Les bonnes idées triomphent toujours... C'est à cela qu'on reconnait qu'elles étaient bonnes !

  21. #111
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience

    Salut

    Non c'est que le premier schéma a été refuser car torp grand, j'en suis vraiment désolé. Les deux autre sont-ils visible car il a fallut que je les retravail un peut.

    Ceci dit, la structure en couches successives des trois cerveaux semble bien dénoter des niveaux de complexité "emboités
    En gros oui on peut dire cela sur le plan de l'évolution du cerveau.

    A++
    http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?showtopic=8532

  22. #112
    invite57e4f988

    Re : De la matière à la Conscience

    Ouais on voit les 2 autres.

    D'ailleurs je sais pas si t'as remarqué mais je schéma que tu donne en 2 (en 3 en fait) fait énormément pensé à du constructal (à 5 branches) ; mais ça vient peut-être de la simplification.

  23. #113
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience

    D'ailleurs je sais pas si t'as remarqué mais je schéma que tu donne en 2 (en 3 en fait) fait énormément pensé à du constructal (à 5 branches) ; mais ça vient peut-être de la simplification.
    Oui ça vient de la simplification, mais la base constructale est toujours valide pour des niveaux de structuration et d'organisation qui sont encores plus grande. Ici sur le schéma 3 j'ai s'implifier à l'extrème. Pour ceux qui voudraient obtenir les schémas qui sont en couleur en plus, faite me le savoir et je vous ferais parvenir par émail un document zip.
    Dernière modification par glevesque ; 06/10/2004 à 18h44.
    http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?showtopic=8532

  24. #114
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience

    ReSalut à tous et a toutes

    Pour répondre à scientist voilà ce que j'ai trouvés à propos des astrocytes et de leur nouveau roles en neurobiologie. Une sorte d'encadrement fonctionnelle de leur environnement immédiat et qui agit en parallèle comme renforcement/inibition ou de controle à la transmision nerveuse aux niveaux des synapses.

    Le cerveau a tous les niveaux, présentation des différentes types de cellules nerveuses et gliades astrocytes.
    http://www.lecerveau.mcgill.ca/flash...01_cl_ana.html

    Un spéciale sur les différents types de cellules gliades, très intéressent
    http://www.lexpress.fr/info/sciences...asp?ida=384049

    Une info sur les cellules gliades plus complètes
    http://perso.wanadoo.fr/biodeug/neuro/neurotd1.htm

    Un article : L’étoile montante du cerveau : la cellule gliale
    http://www.acfas.ca/concours/eureka02/fortin.html

    Et pour finir une découverte étonnante sur les astrocyte et la neurogenène de certaine cellules nerveuse, à voir absolument...
    http://www.google.fr/search?q=cache:...ng_fr&ie=UTF-8

    Un superbe site sur les neurosciences en générale
    http://schwann.free.fr/index.html

    Il s'agit en effect d'une découverte majeur en neuroscience, mais qui semble pour l'instant être relié à la fonctionnalité d'un petit groupe de neuronnes indépendand les uns des autres.

    A++
    http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?showtopic=8532

  25. #115
    invite57e4f988

    Re : De la matière à la Conscience

    On parlait au tout début de ce post d'une rétroaction qui permettait de voir ce que l'on faisait (la caméra qui regarde l'écran). C'est bien ce que font les cellules gliales : elles agissent sur l'action du système tout en en répercutant les effets (puisqu'ils "espionnent" les synapses).

    Si ce qu'on posait au départ est vrai, on devrait avoir la solution. Mais si ce n'est pas le cas, il va falloir pousser le raisonnement plus loin!

  26. #116
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience

    C'est bien ce que font les cellules gliales : elles agissent sur l'action du système tout en en répercutant les effets (puisqu'ils "espionnent" les synapses).
    D'après ce que je sais sur le sujet, l'action des astrocytes ce situt à la première échelle constructale. Ce que je veut dire c'est que leurs actions concernes d'un très petits groupes de neurones (quelques'une) et est axée sur la modulation de l'influs nerveux pour en controler la qualité du signale, soit en le renforcant ou en l'annulant. Elles n'ont pas d'activité globale sur le plan associatif, elle controle le cheminement du courant électrique par neurone mais n'influence pas l'activité des réseaux et des réseaux de réseaux de neuronne, ou du moins cela n'est pas encors attester par la recherche.

    A++
    http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?showtopic=8532

  27. #117
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience

    On parlait au tout début de ce post d'une rétroaction qui permettait de voir ce que l'on faisait (la caméra qui regarde l'écran).
    De quel poste s'agit-il au juste.

    A++
    http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?showtopic=8532

  28. #118
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience

    elles agissent sur l'action du système tout en en répercutant les effets (puisqu'ils "espionnent" les synapses).
    Les répercutions sont très localisée au niveaux des neuronnes seul, mais éventuellement cela à peut-être des effects inducteur sur la perception consciente, surtout si celles-ci sont combinées et s'additionne sous une forme de syncronisation aux plus grande échelle cervicale.

    J'ai lut également qu'il avait une certaine activité de syncronisation sur les signales transmit par les synapses des cellules nerveuses, alors si cette syncronisation conserne une association plus large que leurs propres environnement immédiat, soit par contacte distand entre astrocyte et d'autres astrocytes ou neuronnes. Alors là nous nous retrouvons avec un système parallèle possible pouvant influencer la connexion des différents réseaux de neuronnes. Mais vuent que les cellules gliades ont des roles de support et d'entretient des neuronnes en générale, il intervienderais seulement dans l'aspect qualitatif du signale transmis. Mais cela na pas été encore démontrer et reste dans le domaine spéculatif pour l'instant. Là question reste donc ouvert sur l'émergence de la conscience porté sur l'essance de sa structure cérébrale globale.

    A++
    Dernière modification par glevesque ; 06/10/2004 à 21h26.
    http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?showtopic=8532

  29. #119
    glevesque

    Re : De la matière à la Conscience

    Salut Rhedae

    En relisant le fil je suis tombé sur l'un de tes messages.

    Poste 49 par Rhedae
    je pense que tt la matiere est transformées par notre cerveau en energie et en informations
    Voudrais-tu éllaborer un peut plus SVP. Je comprand pas très bien ce que tu veut dire par tt la matiere est transformées. Merci

    A++
    http://www.unmannedspaceflight.com/index.php?showtopic=8532

  30. #120
    Rhedae

    Re : De la matière à la Conscience

    Citation Envoyé par glevesque
    Salut Rhedae

    En relisant le fil je suis tombé sur l'un de tes messages.

    Voudrais-tu éllaborer un peut plus SVP. Je comprand pas très bien ce que tu veut dire par tt la matiere est transformées. Merci

    A++
    Salut ,

    Je n'est pas continuer cette conversation car elle me parrait trop ardu. Quand vous avez commencé a rentrer dans les details sans trop expliquer de quoi vous parliez j'ai laché prise , alors que le sujet m'interesse (sourtout sur la notion temporelle) . je ne connait pas aussi bien que vous les termes techniques et le fonctionement mecanique du cerveau , je trouve domage que vous soyez pas plus pedagogiques dans vos propos, avec des exemples .

    Je voulai dire, la matiere est interpretée par notre cerveau, 'transformée' est un terme maladroit ..Elle devient information et energie (mouvement du corp), mais ses propriétés son plus complexes que l'interpretation directe et conciente que nous en avons .L’information c' est la notion de realité , c’est a dire l’abstraction . Elle se transmet mais n’est pas materielle..(pure energie). Je voulai me centrer sur cet aspect interpretatif du cerveau, et cette relation flot de matiere exterieure et interpretation du cerveau: mouvement , mutation , interaction , matiere esprit ..
    "Le monde contient bien assez pour les besoins de chacun, mais pas assez pour la cupidité de tous."

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