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Einstein s’est trompé, le temps n’existe pas. Il n’est qu’une représentation de l’esprit humain pour ce représenter les mouvements et les durées des choses dans l’Univers. Le contexte causale est un context d’échange d’énergie et d’information entre les systèmes. Le temps n’est qu’un concepte abstrait et subjectif de l’interprétation consciente des choses que nous percevons, et il est seulement interprétable de manière mathématique. Pour la nature, le temps n’est qu’une question de mouvement et de durée et découle de l’effect causale des différentes réactions entre les particules et de leures interractions. C’est le temps présent qui est éternel, il prend sa source causale dans le passer et tends toujours vers le future, c’est le temps présent qui est suspendu de manière absolut et qui est transcendent dans l’espace et l’Univers. Je m’explique :
Les prémisses de la relativité restreinte :
Voici un bref résumé sur les différents concepts physique et théorique qui prévalaient avant 1905, et qui ont servi de prémisse à Albert Einstein pour la formulation de la relativité restreinte. Il s’agit dans un premier temps, de la découverte par l’astronome danois Christensen Roemer en 1676, de la vitesse de propagation de la lumière et des ondes électromagnétiques en générales à travers l’espace et qu’ont pensait infini avant cette date. Vitesse qu’il a trouvée et démontré à partir des mesures qu’il a effectuées sur le passage des satellites naturels de Jupiter derrière celle-ci et effectuées à des endroits différents de son orbite. Il a ainsi constaté que le temps de passage des lunes derrières Jupiter étaient plus long selon la position de la planète sur son orbite, ce qui indiquait que la lumière avait une vitesse de propagation limite à travers l’espace, qu’il calcula. L’orbite de Jupiter est de forme elliptique tous comme les autres planètes du système solaire, elle possède donc des positions sur son orbite qui sont soit plus près (périgée) ou plus éloigné (apogée) du Soleil.
Dans un deuxième temps nous avons la découverte de la théorie de la gravitation Universelle en 1667, et de l’absence apparente de référentiel inertiel absolu ou de repert de repos absolu à travers un système de coordonné Universel. Dont découle directement le caractère non absolu des positions dans l’espace, et mis en relief par Isaac Newton. Phénomène qui est causé essentiellement par le mouvement des corps dans l’espace et de leur attraction mutuelle, comme la rotation de la Terre sur elle-même et de sa translation autour du Soleil. Ce qui indique clairement que deux événements différents situés au même endroit, mais effectuer en des temps différents, comme se lever chaque matin du même lit. N’aura pas la même position absolue par rapport à le voûte céleste, mais elle sera plutôt décalée de plus de 2 592 000 km, à cause du déplacement relatif de la terre sur son orbite. Nous retrouvons également la théorie ondulatoire des champs électromagnétique, qui combine en réalité les différentes caractéristiques observées des champs électriques et magnétiques, découverte par le physicien britannique James Cleck Maxwell en 1865. Mais la véritable donnée physique qui a permis à la relativité restreinte de voir le jour, a été fournis par l’expérience de Albert Michelson et de Edward Morley qui a eu lieu en 1887. Elle a démontré de manière définitive que la vitesse de la lumière était absolue et indépendante des référentiels d’observations, elle est la même partout et dans toutes les situations. Ils ont mesuré celle-ci dans le sens du mouvement orbital de la terre, qui est de 30 km/sec et dans la direction perpendiculaire de celle-ci, en espérant que la vitesse serait plus élevée selon la loi de composition des vitesses de Galilée. Pour finalement constater que la vitesse de la lumière était la même dans les deux cas. Au lieu de mesurer une vitesse de 300 000 + 30 = 300 030 km/sec dans le sens de la trajectoire orbital de la terre, ils ont plutôt trouvée une vitesse constante de 300 000 + 30 = 300 000 km/sec, ce qui a été validé par la suite par de nombreuse expérience.
Ce qui impliquait que la bonne veille loi de la composition des vitesses de Galilée, n’était plus valide pour des objets ayant des vitesses proches de celle de la lumière. Afin de toujours garder la vitesse de la lumière constante à elle-même et selon les différents référentiels d’observations utilisés, il fallait désormais appliquer des relations et des transformations mathématiques de proportionnalité des vitesses relatives (v/c), avec celle de la lumière qui est la vitesse limite de tout l’Univers (transformation de Lorentz). Cette transformation mathématique a une influence majeure sur l’espace et le temps qui sépare les référentiels d’observations des événements, en effectuant entre autre une sorte de contraction sur les distances et une forme de dilatation sur le temps. Plusieurs physiciens et mathématiciens avant Einstein ont essayé de remédier à cette situation (Poincarré etc..), mais sens véritablement y parvenir. Et pour finir nous avons la découverte du quantum d’énergie ou quanta de Max Planck en 1900, qui se traduit par la plus petite action possible sur la matière.
Les nouveaux attributs de la matière :
La relativité restreinte relit désormais et de manière définitive l’équivalence entre la masse et l’énergie, dans un seul et même concept théorique de matière-énergie (E=mc2). La masse d’un corps est tout simplement représenté par son inertie et par son potentiel d’énergie au repos. La vitesse de la lumière devient absolu en relativité restreinte et représente la vitesse limite supérieur de tout l’Univers et pour tous les référentiels d’observations, elle est de 299 792,458 km/sec. C’est la vitesse absolue de la lumière qui détermine en réalité, la quantité d’énergie maximum qui peut acquérir une particule de matière en mouvement. Et elle définit en quelque sorte, la nouvelle relation de proportionnalité des vitesses relative (v/c), qui modifie à tout jamais la perception de l’espace et du temps d’autrefois, et ceci afin d’obéir à la nouvelle loi de conservation non aditive des vitesses relativistes d’Einstein. Cela veut dire également qu’a partire d’énergie, il est possible désormais de créer de la masse ou de nouvelle particule de matière, et qu’à partir de la masse il est possible de créer de l’énergie, l’énergie cinétique ou nucléaire entre autre. La relativité restreinte relie donc chaque observateur à un référentiel d’événement bien précis, qui possède alors leur propre coordonnée spatiale et temporelle.
Le temps et l’espace en relativité restreinte, ne sont plus des quantités absolues et d’interprétations d’ordre Universel, comme c’était le cas jadis à l’époque de Galilée et de Newton. Il n’a plus de grand manitou capable de voir en même temps et de manière simultanée, l’Univers dans son ensemble. Il s’agit d’un nouveau système de coordonnée qui est relatives à chaque référentiel d’observation d’un même événement ou d’événement distinct, mais qui sont séparés dans le temps par des distances et des vitesses d’ordre relativiste. Chaque référentiel d’observation est ainsi déterminer par quatre coordonnées, soit trois coordonnée cartésienne de métrique spatiale (x,y,z), pour indiquer la position exacte d’un observateur dans l’espace et une coordonnée pour le temps, pour fixer un évenement. Ce système de coordonné à quatre dimensions, est directement influencé par les distances et les vitesses de dimension relativiste. Qui a pour effet de contracter les distances et de dilater le temps, et forme une sorte de sphère d’influence causale et événementielle, qui croit alors à la vitesse de la lumière à travers l’espace. En Physique relativiste, la vitesse de la lumière équivaut à la mesure de la distance qui sépare deux événements, soit par exemple les points de départ et d’arrivé d’un trajet et divisé par le temps qui s’est écoulé entre les deux. Mais la distance entre les deux événements varient également en fonction des référentiels, et selon leur propre mouvement respectif. Pour que c soit toujours constante dans tous les référentiels d’observations, les observateurs doivent mesurer différemment l'intervalle de temps qui sépare les deux événements et la distance qui les sépares de ceux-ci. Dès lors, chaque observateur, et chaque référentiel d’observation dispose de sa propre mesure du temps et de l’espace. C'est le paradoxe très bien connu du "voyageur de Langevin" ou le "paradoxe des jumeaux".
La suite dans le prochain poste.
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