dans l'article de FS: (sur le CO2 supercritique..) http://www.futura-sciences.com/tech/...hanger-127974/
production = . © SB, IA ChatGPT
c'est la représentation d'un circuit fermé de machine thermique pour la conversion chaleur -> génératrice électrique......
il y a comme une fuite dans le retour du fluide....et il manque la source froide.....
à côté de la plaque,le Chat....
rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant.... (Pierre Dac...)
Un sujet complexe traité par des bouffons, voilà ce que ça donne. Les pubs qui vous matraquent la face à la moindre visite sur ce site qui représente le bruit de fond de l'internet francophone n'ont pas de mal à noyer le signal pseudoscientifique qu'on est supposé y trouver...
A chaque fois on trouve que le fond a été atteint, eh bien non. On continue à creuser. (Il faut voir la teneur des quelques bribes d'infos publiées sur Linkedin par exemple. Avec les pires titres putaclick qu'on puisse imaginer, remplis de vide, dont l'unique but est d'attirer le badaud sur ce piège à pubs immonde....)
EDIT ; je viens d'aller voir "l'article" pour remonter à la source. V'là la quantité démesurée de pubs qu'il faut scroller pour trouver l'info. Quelle merdier.
Dernière modification par Flyingbike ; 02/12/2025 à 20h41.
La vie trouve toujours un chemin
Bon, en résumé, le but est de créer une machine thermodynamique à température haute de 715°C.
Pour le moment, c'est 500, donc il y a encore du taf (et c'est comparable aux turbines à vapeur en exploitation actuelles).
Bref, côté physique, rien de vraiment nouveau, juste une prouesse (à venir) technologique (faire cohabiter du CO2 à 700° avec des turbines et de la tuyauterie...).
Jusqu'ici tout va bien...
c'est simplement l'écart de température entre source chaude et froide qu'on veut maximiser? (pour le rendement selon Carnot...)
ou alors le fluide C02 a des avantages par rapport à la simple vapeur d'eau?
rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant.... (Pierre Dac...)
Bonjour,
Thèse sur le sujet : hal.univ-lorraine.fr...MOLIERE
En vrac :
Le CO2 présente, au voisinage de son point critique, des propriétés physiques et thermiques très propices à la mise en œuvre de turbomachines, notamment des valeurs élevées de la densité et des valeurs faibles du facteur de compressibilité. D’autre part, les niveaux de température et de pression critiques de la molécule de CO2 (Tc =31,03°C ; Pc = 73,8 bar) sont beaucoup plus « accessibles » que ceux de la molécule de H2O.
(on peut) envisager des cycles à base de CO2 supercritique dotés de rendements a priori élevés et des unités de production électriques moins coûteuses car leurs tailles seraient, à puissance égale, beaucoup plus petites que celles d’unités classiques.
Ce gaz est aussi très résistant thermiquement et inerte vis-à-vis des matériaux métalliques jusqu’à des températures de l’ordre de 1000-1100°C ; il dépasse H2O de ce point de vue.
Pour un cycle à gaz, le volume molaire :
- faible dans la zone proche du point critique : la zone « péri-critique » où s’effectue la compression (donc faible travail de compression)
- élevé aux fortes températures, dans la « zone supercritique chaude » où s’effectue la détente (donc fort travail de détente).
merci de ces infos....
Alors ils ne passent pas les changements d'état eau liquide-> vapeur saturante ->vapeur sèche dans la chaudière des installations à vapeur classiques....
Il va falloir oublier les chaudières des centrales actuelles à charbon/pellets/fuel et autres.....
rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant.... (Pierre Dac...)
Merci gts2 pour le lien.
Donc, en lisant le pdf, on apprend que c'est vieux comme principe, mais ça a été un peu enterré durant quelques dizaines d'années et qu'il y a déjà d'autres implémentations fonctionnelles.
C'est sûr que rester en mode supercritique permet d'avoir la densité du liquide et la compressibilté du gaz. Et avec le CO2, à partir d'une trentaine de degrés...
Dommage que cette voie ait été boudée si longtemps.
Jusqu'ici tout va bien...
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
