slt, bien sur je vais traiter ce sujet par moi meme !
Ms au cas ou et en plus, si vous avez des idées ou des pistes de réflexions dont vous pouvez me faire part.
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slt, bien sur je vais traiter ce sujet par moi meme !
Ms au cas ou et en plus, si vous avez des idées ou des pistes de réflexions dont vous pouvez me faire part.
Bonjour
Ah oui ? J'aimerai beaucoup voir ça, oui. Et sans doute après pourrais-je t'aiguiller un peu .
Tant qu'il n'y aura pas de propositions, il n'y aura pas de pistes non plus. C'est donnant, donnant .
@+
je viens de me pencher (enfin) sur le sujet et voilà ce qu'il m'en sort :
I/ Analyse du sujet (qu'est-ce que penser, qu'est-ce que s'opposer, qu'y aurait-il si on ne pensait pas en s'opposant à soi et aux autres)
II/ soi et les autres : on ne peut donc penser que contre les préjugés
III/ le rapport dialectique entre le "je" et le "nous" (qu'est ce que soi par rapport aux autres)
voilà pour le moment où j'en suis, j'ai déjà relevé qq textes pouvant me servir (la caverne notamment)
par ailleurs, et c surtt là dessus que g un pb : nous devons nous "étonner" dvt la Q du sujet et trouver la Q qui a amenée cette Q, ce sera là notre problématique.
Honnetement, je ne vois pas quelle pourrait ê cette Q, surtt que ds la facon dont est posé le sujet, on admet que penser c'est s'opposer aux autres.
Toi y'en'a parler petit chinois... tout le monde pas comprendre... Toi y'en'a devoir consulter la charte du forum et penser que pas clavier portable mais clavier pc !
bon : pour trouver notre problématique, nous devons trouver la question qui est à l'origine de la question posée par le sujet. je vois pas comment être plus clair, et je ne vois pas non plus cette problématique. dsl et merci
ou sinon : notre problématique doit être la question qui a amené ce sujet (càd la question : en quoi penser, ...)
Bonjour Simon,
Bien, alors effectivement, en partant comme ça, tu risques de mouliner encore longtemps...
La question : "en quoi penser est-ce s'opposer à soi et aux autres ?" suppose déjà qu'on adhère à la maxime d'Alain : "Penser, c'est dire non". C'est très embêtant, parce qu'on ne met pas en cause la validité de cette thèse.
Autrement dit, penser, c'est s'opposer à soi et aux autres, on ne vous demande pas si c'est vrai, mais on vous demande comment ça se fait ("en quoi") ; on vous demande d'expliquer cette thèse (la pensée comme opposition/négation), et pas si vous êtes d'accord avec cette thèse.
C'est pourquoi je crains, hélas, que cette question ne soit qu'à demi philosophique. Et de fait, on te demande en substance :
- "Mais, par la barbe de Zeus, qu'est-ce qui peut bien faire croire à certaines personnes que penser consiste à s'opposer à soi et aux autres ?"
La question eût-elle été formulée ainsi :
"peut-on dire que "penser, c'est s'opposer à soi et aux autres" ?
La problématique du devoir aurait alors consisté à discuter la validité de cette thèse, et non pas seulement d'expliquer les arguments qui assoient cette thèse.
C'est en fait une question de cours déguisée, comme il ne s'en pose plus tellement à l'épreuve du baccalauréat.
Les pistes ultra classiques à explorer :
Et aussi Kant, Qu’est-ce que s’orienter dans la pensée ? trad; fr., A. Philonenko, éd. Vrin 1959.Penser, c'est dire non. Remarquez que le signe du oui est d'un homme qui s'endort ; au contraire le réveil secoue la tête et dit non. Non à quoi ? Au monde, au tyran, au prêcheur ? Ce n'est que l'apparence. En tous ces cas-là, c'est à elle-même que la pensée dit non. Elle rompt l'heureux acquiescement. Elle se sépare d'elle-même. Elle combat contre elle-même. Il n'y a pas au monde d'autre combat. Ce qui fait que le monde me trompe par ses perspectives, ses brouillards, ses chocs détournés, c'est que je consens, c'est que je ne cherche pas autre chose. Et ce qui fait que le tyran est maître de moi, c'est que je respecte au lieu d'examiner. Même une doctrine vraie, elle tombe au faux par cette somnolence. C'est par croire que les hommes sont esclaves. Réfléchir, c'est nier ce que l'on croit. Qui croit ne sait même plus ce qu'il croit. Qui se contente de sa pensée ne pense plus rien.
ALAIN
Et bien sûr Platon, où l'on pense en s'opposant à l'opinion, à la "doxa" (République).
Bachelard également... La philosophie du non.
Bon courage !
Elegyr.
finalement la problématique serait : pourquoi, comment cela se fait-il que penser c'est s'opposer à soi et aux autres ?
vrai ou faux ce que je viens d'écrire ?
merci
Ou mieux encore (enfin, ça, c'est à toi de voir) :
Comment se fait-il que penser revienne à s'opposer à soi et aux autres, alors que notre expérience paraît chaque jour - en conformité avec la pensée nietzschéene, d'ailleurs - nous montrer la nature affirmative de la pensée ?
[Je vais y réfléchir un peu plus... ]
bon, mon sujet est à rendre pour mardi prochain dernier délai, voilà où j'en suis :
problématique : pourquoi la liberté de pesner n'existe-t-elle qu'en n'agissant à l'inverse du monde ?
1/ les pré-supposés
a/ penser c'est dire non
b/ le moi se pose en s'opposant
c/ peut-on apprendre à penser si c'est s'opposer (où est la liberté ?) ?
2/ les implications, conséquences
a/la dépendance du regard d'autrui, l'amour-propre
b/penser personnelement = intérioriser la société
c/ penser = s'opposer aux préjugés/idées communes
d/penser inconsciemment (le rêve)
3/ le rapport entre le "je" et le "nous"
a/ je = nous car singularité propre à la société
b/ penser = manifestation du monde culturel constitué par autre
il est tard et je pense que demain matin ce plan subirra quelques modifications.
ms vais-je sur la bonne voie ?
merci de m'aider !
Si tu attends une réponse utile, peut-être un plan plus élaboré susciterait-il davantage de réponses.
Comment expliques-tu qu'on doive systématiquement "s'opposer" pour penser ?
Penser à contre courant, n'est-ce pas risquer de cultiver le paradoxe pour le paradoxe ?
L'opinion contre laquelle il faut s'opposer, cette opinion est-elle toujours fausse, mal pensée, fallacieuse ? Les lieux communs doivent-ils nécessairement être refusés eux aussi ?
slt, je comprends pas : les (3) questions que vous avez mises sont-elles là pour diriger mon devoir ? ou sont-elles des "ouvertures" ?
Pour étoffer votre problématique, tout particulièrement.Envoyé par simonDMslt, je comprends pas : les (3) questions que vous avez mises sont-elles là pour diriger mon devoir ? ou sont-elles des "ouvertures" ?
Merci beaucoup.
qant aux opinions, suivant vos conseils d'auteurs, j'ai trouvé chez Bachelard dans [La formation de l'esprit scientifique][/U] quelques mots sur l'opinion : "l'opinion pense mal ; elle ne pense pas : elle traduit des besoins en connaissances. En désignant les objets par leur utilité, elle s'interdit de les connaître."