Est ce qu'on peut considérer le fait de vouloir préserver sa dignité humaine comme un besoin inné?
Si oui, alors jusqu'à quel point on peut cosidérer la dignité ou la préservation de la dignité comme un motivateur pour travailler et rester motivé au travail ?
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n'est-elle pas une représentaion plus abstraite des caractéres plus prémitifs reliés à la dominance et à la survie de l'espéce et des individus et qui son inclue dans les prémises évolutives. Les circuits cérébrals relatifs aux traits de dominance et de survie n'ont-elle pas des prémises hériditaire, comme formuler par le néodarwinisme sur la pression sélective des êtres vivant et de leur évolution (nous la retrouvon dans tout le monde animal). L'évolution de celle-ci n'est-elle pas le fruit des processus de raisonnement plus large et plus abstrait qui sont reliées à l'évolution de la conscience morale. Si les connaissances sont le fruits du cumulte des circuits et schéma de neurone du néocortex, alors la pensée qui est au plus haut niveau d'abstration, les manipules par ses sentiments et les encadres par l'intelligence (processus d'association et de sélection d'idée) dans un tout de raisonnement sélectif du monde compréhensible, faisant intervenir l'éthique entremélé de moral et d'émotion. Tous c'est processus sont cognétif (bémole pour la pensée) et ne sont que des attribut de la perception consciente des choses. Elle ne peuvent qu'être d'origine innée sur le plan évolitif de la matériel structurative du cerveau. Mais aujourd'uit nous parlons d'un plan plus sujectif de la conscience et de la perception car nous parlons de valeurs et d'apprentissage sociologique et culturelle. Voilà j'ai résumé mon point de vut sur la question de la dignité et de son aspect d'origine (et non actuelle) innée. Donner vos opignons, et gènez-vous pas de démolire
ce petit flash philosophique, mais pas trop tout de même.