En supprimant l’hypothèse de la courbure spatio-temporel, et on utilisant les nano technologies ; il est réaliste de penser qu’on peut produire les ondes gravitationnelles et les détecter en laboratoire avant l’an 2010. Certains théoriciens de la relativité générale considèrent que débattre de l’hypothèse de la courbure spatio-temporel, c’est affaiblir les certitudes indispensables aux militants pour lutter contre le gravitomagnétisme car cet hypothèse contient toutes vérités nécessaires pour changer la physique frontalière. Mais toute hypothèse probable qui n’est pas suspendue sur la vérité tombera tôt ou tard dans le néant. Cet hypothèse spatio-temporel invite les scientifiques à demeurer dans un quiétisme du désespoir, parce que toutes les autres solutions en dehors de cet hypothèse de la courbure spatio-temporel sont fermées, ceci va aboutir finalement à une pensée scientifique contemplative, une pensée du luxe très coûteuse aux contribuables mais très lucrative pour les savants. Mais les savants savent tellement qui ne risquent pas de savoir d’avantage mais les chercheurs savent qui ne savent pas tout, au moins ils savent quelque chose. L’hypothèse de la courbure spatio-temporel n’est même pas fausse car elle n’est pas falsifiable. Le coté lumineux du gravitomagnétisme c’est sa propriété d’être falsifiable, et quand on tente une expérience en se basant sur le gravitomagnétisme avec les nano technologies pour générer et détecter les ondes gravitationnelles en laboratoire, il ne faut rien attendre car on retombe dans la pensée attentiste et contemplative, il faut repenser à optimiser son expérience pour faire reculer l’impossible, on peut nous reprocher d’être pessimiste mais on n’attend rien par excès d’optimisme.
Joseph Nduriri, France
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