Bonjour à tous,
voici un question pour laquelle je n'ai pas trouvé de réponse... peut-être pourriez-vous m'aider à la lumière des théories actuelles.
Elle concerne la dilatation de l’univers. Il me semble que d’après les théories cosmologiques du moment, la dilatation de l’espace corresponde à une extension de la texture dimensionnelle dans toutes les directions. Ainsi, les galaxies s’éloignent les unes des autres comme s’éloignent les taches à la surface d’une baudruche que l’on gonfle (selon l’image usuelle). Mais dans ces conditions, à quelle échelle pouvons-nous considérer l’arrêt de cette dilatation ? Autrement dit, l’extension de la structure de l’espace se répercute à toute échelle : les étoiles dans les galaxies devraient s’éloigner les unes des autres… jusqu’aux dimensions des atomes qui devraient s’accroître avec le temps (comme les taches de l'image du ballon s'élargissent). Ainsi, l’expansion de l’univers impliquerait une non constance des grandeurs définissant les mesures de longueur, si nous considérons les dimensions de l’atome variable… A-t-on observer des éléments qui pourraient étayer ce fait : taille des galaxies variables en fonction de la distance (plus elles sont éloignées, plus elles sont petites ?), rapprochement des raies d’absorption de l’hydrogène pour les corps les plus éloignés (dont l’information nous vient d’un temps où les dimensions de l’univers étaient plus restreintes, donc la matière serait plus "condensée")… ?
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