L'équation ultime...

[Seb299792]

Ok, je ne dit pas que je crois ou pas, je pensais juste qu'il en était ainsi. Maintenant, je suis là pour en savoir plus. Donc Gilgamesh disons que j'admet qu'une particule est dans un état réellement superposée.
Je repose ma question :

Alors comment ce fait il que l'on arrive à déterminer une position d'une particule ?
As tu une réponse à me proposer ?

Si je prend pour hypothèse : Une particule possède des états superposés à un instant donnée
Mon résonnement s'oriente ainsi :
Etats superposés -> positions superposées.
positions superposées -> Impossibilité de déterminer une position.

Or l'expérience prouve que l'on peut déterminer la position d'une particule. Ou est l'erreur ?
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[Gilgamesh]

Ok, je ne dit pas que je crois ou pas, je pensais juste qu'il en était ainsi.

-- D'où mon scrogneugneu, lol

Maintenant, je suis là pour en savoir plus. Donc Gilgamesh disons que j'admet qu'une particule est dans un état réellement superposée.
Je repose ma question :

Alors comment ce fait il que l'on arrive à déterminer une position d'une particule ?

Si je prend pour hypothèse : Une particule possède des états superposés à un instant donnée
Mon raisonnement s'oriente ainsi :
Etats superposés -> positions superposées.
positions superposées -> Impossibilité de déterminer une position.

Or l'expérience prouve que l'on peut déterminer la position d'une particule. Ou est l'erreur ?

-- En fait, tant qu'il n'y a pas interaction, le fait que la particule soit comme ci plutôt que comme ça n'éteind pas les amplitudes correspondant aux autres états. Mais s'il y a échange (gain ou perte) d'énergie, de spin ou de charge ou de ce que tu veux entre la particule et le monde extérieur, bref quand il se crée une situation irréversible, c'est une unique modalité qui interagit parmis les multiples superposées dans la fonction d'onde et les autres disparaissent. C'est ce qu'on appelle la réduction du paquet d'onde.

L'échange peut se faire à l'occasion d'une mesure (si tu lui balances un photon pour voir où elle est) mais ça peut représenter une situation naturelle. Par exemple, dans le noyau d'uranium 238 on peut dire que la particule alpha préexiste dans le noyau, avant son éjection. Son l'amplitude de proba de se trouver dehors est assez minuscule. Mais si, au bout de 4,5 milliard d'années par exemple (c'est la demi-vie du noyau), elle finit par adopter cette position en dehors du noyau, elle en est violemment ejectée par le champs électrique et tu a un noyau émetteur alpha.

Là, c'est le champs électrique du noyau qui joue le rôle d'observateur : s'il "apperçoit" une particule alpha il lui apporte de l'énergie cinétique, elle se retrouve dès lors à l'infini et c'est irreversible. Il n'y a plus moyen de dire qu'elle est "un peu dedans, un peu dehors". Elle est définitivement dehors.

a+
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La tortue : merci pour le compliment :c), mais soyons honnête et remercions d'abord Chaverondier sur fr.sci.physique que j'ai largement repris

mais bientôt j's'rais président, bientôt caramba

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