Initialement, l'univers était très dense.
Est-ce que cela a une influence sur l'écoulement du temps LOCAL ?
Il paraît que le temps local s'écoule plus lentement dans un endroit où la densité est très élevée.
Si cela est vrai, pouvons-nous dire que le temps local au moment du Big Bang s'écoulait infiniment lentement par rapport à notre mesure du temps actuel, si bien que l'instant zéro n'est jamais atteint ?
Bonsoir,2. La courtoisie est de rigueur sur ce forum : pour une demande de renseignements bonjour et merci devraient être des automatismes.
Veuillez de respecter cette règle.
Merci.
Connais toi toi-même (Devise de Socrate inspiré par Thalès)
Voilà!Envoyé par vanos
Bonsoir,
Merci.
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Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Bonsoir,Voilà!
Ceci est généré automatiquement...
Eh oui, la grossièreté de certains génère automatiquement chez moi des gestes de colère.
Bonne nuit.
Connais toi toi-même (Devise de Socrate inspiré par Thalès)
Bonjour à vous aussi.
Il est totalement impossible d'imaginer ce qui pouvait se passer à l'instant zéro. Si l'on considère un espace infiniment petit, d'une densité infiniment grande, on entre dans une physique qui nous sera à tout jamais étrangère et de laquelle on ne pourra jamais rien dire. Il ne faut même pas pour cela parler d'un espace infiniment petit, il suffit qu'il soit plus petit que la distance de Planck pour avouer notre ignorance.
Je vous souhaite une agréable journée.
Bonsoir à tous et à toutes
A l'instant zéro l'espace et le temps n'existent pas, puis l'univers surgit du neant, selon la théorie de big bang, mais les théories et les lois de la physique n'ont aucune signéfication à cette instant, actuellement la théorie des cordes explique le big bang et ses equations mathématiques restent valable à cette instant, mais ca reste encore une philosophie.
MERCI
Bonjour,Non, ce simple argument (a lui seul) ne permet pas d'echapper au probleme de la singularite initiale : elle n'est pas "jetee a l'infini" dans le passe. La contraction du temps est un concept relatif. Si vous regardez (par exemple dans le passe) vous voyez l'horloge marquer des instants plus longs. En revanche, celui qui se trouve avec l'horloge (par exemple dans le passe) voit les secondes s'egrainer normalement.
Vous pouvez insister et dire "mais meme si cela n'offre pas une resolution globale, cela offre une resolution locale, pour nous observateurs qui regardons le passe". Ce point de vue est moins trivial. L'ennui, c'est que cette contraction du temps est entierement due a la densite d'energie locale. Lorsque nous regardons dans le passe, nous voyons bien les horloges egrainer le temps plus lentemenet, mais nous voyons aussi les particules s'accelerer. Comme elles ont plus d'energie, leurs interactions prennent place a des instants plus courts.
Bonjour,
Cette partie m'interrese... c'est un fait avéré ?
Merci
Mailou
Bonjour,
mais c'est quoi qui définit le temps?
Ce qu'indiquent les horloges, ou la fréquence d'interaction des particules?
(bon, je me doute qu'il n'y avait pas d'horloges en ces temps reculés, mais c'est pas une raison...)
Oui c'est à cause de ça en partie que la luminosité des objets lointains est beaucoup plus faible que ce que leur distance indiquerait.Cette partie m'interrese... c'est un fait avéré ?
Luminosité= énergie/temps
Avec l'expansion l'énergie diminue (redshift) et le temps s'allonge (dilatation du temps). Donc au final la luminosité diminue fortement avec la distance...
Salut,
Je vois pas le rapport
Passé = articules accelerées + ralentissement des horloges ? c'etait ça la question, pas la luminosité des etoiles
...Ou bien que je regarde le doigt ?
Bonne journée
Mailou
A quoi sert-il de vouloir spéculer sur ce qui s'est passé avant le temps de Planck, vu que, par définition, on ne peut rien en dire ?
Je parlais juste du ralentissement des horloges, observé dans la luminosité des objets lointains.
Rien ne peut sortir du néant, et la théorie du big-bang ne dit pas que l'univers en a surgi ! L'univers (ou plutôt le temps et l'espace) étaient dans un état qui nous est inconnu, et qui pourrait ressembler à la singularité d'un trou noir.
