Bonjour à tous,
Avec la molette ou le curseur vous zoomez + ou –
Vous avez des explications en cliquant sur les objets.
Animation flash
En espérant ne pas être le seul à découvrir cette animation,
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Bonjour à tous,
Avec la molette ou le curseur vous zoomez + ou –
Vous avez des explications en cliquant sur les objets.
Animation flash
En espérant ne pas être le seul à découvrir cette animation,
Superbe animation, mais à un moment il est dit : les distances plus petites ne sont pas confirmées. (~10-18 mètres) Pourquoi ?
La taille des plus petites structures mesurables est liée à l'énergie des faisceaux dans les accélérateurs de particules, qui sont nos meilleurs microscopes. On "voit" les quarks dans les nucléons, mais pas plus loin.
Parcours Etranges
je connaissais déjà cette animation, et franchement, je la troue toujours aussi géniale
Très instructif, merci
\o\ \o\ Dunning-Kruger encore vainqueur ! /o/ /o/
Merci, cela mériterai d'aller dans un épinglé en tête de forum , ...
Attention, vivre c'est mortel...
Bonjour, je me permets de reposter sur ce sujet parce que aujourd'hui, dans le cadre de mes études de dut, nous avons commencé la mécanique. On a rapidement fait une présentation globale de la chose, des distances, du temps, etc. et le professeur que nous avons eu a clairement dit que notre capacité d'observation s'arrête à l'atome, entre 10-15 10-16 mètres. Qui a raison ?
Salut,
Les deux mon général.
Ça dépend ce que tu entends par voir :
avec des microscopes, on voit jusqu'au nuages atomiques et électroniques, mais il faut un LHC pour voir (indirectement cette fois) des élements plus "insaisissables", tels que le Higgs ou les quarks ou tout le bestiaire des particules exotiques, supports de force etc.
Car plus tu sondes "petit", plus tu dois employer de grosses énergies.
Sinon, très beau lien, félicitations !
Ah d'accord !
Oui et votre explication colle parfaitement avec le cadre du cours, puisqu'il était question d'observation directe, on avait parlé des microscopes.
Merci !
Bonjour,
En revisionnant l’animation, j’ai découvert la constellation d’Eridan ( à 10^24.7 ).
Il est dit que cette constellation d’un demi Gal recensait très peu d’astres, je crois avoir compris (pas sûr de moi), que moins il y a de gravitation, plus il y a d’expansion.
Si tel était le cas, cette région immense, 1/28 ème de l’univers observable (d’il y a 14 Ga), devrait « maintenant » prendre une proportion bien plus importante de l’univers observable.
Eridan devrait être, « maintenant », une sorte de hernie dans notre univers, car elle s’expand plus vite que l’ensemble.
Est-ce le cas ? Merci,
[QUOTE=Nebukad;4356273, je la troue )[/QUOTE]Tu la troues ! avec une poinçonneuse, une perforatrice ou avec un flingue ?
Connais toi toi-même (Devise de Socrate inspiré par Thalès)
Bonjour,
En revisionnant l’animation, j’ai découvert la constellation d’Eridan ( à 10^24.7 ).
Il est dit que cette constellation d’un demi Gal recensait très peu d’astres, je crois avoir compris (pas sûr de moi), que moins il y a de gravitation, plus il y a d’expansion.
Si tel était le cas, cette région immense, 1/28 ème de l’univers observable (d’il y a 14 Ga), devrait « maintenant » prendre une proportion bien plus importante de l’univers observable.
Eridan devrait être, « maintenant », une sorte de hernie dans notre univers, car elle s’expand plus vite que l’ensemble.
Est-ce le cas ? Merci,
Tu fais allusion au CMB Cold Spot dans la constellation de l'Eridan, une zone sous tendue par un angle solide de ~5° sur la carte du fond cosmique cosmologique un peu plus froide que la moyenne, de 70µK (alors que la fluctuation moyenne est de 18 µK avec une taille typique des fluctuation de 1°). Si on se base sur un modèle simple de distribution des fluctuations par rapport à la moyenne, la probabilité d’occurrence d'une telle zone est faible (~2%) sans être infime.
Soit donc il s'agit d'une fluctuation primordiale, soit il s'agit de l'effet d'une zone de sous densité située en avant plan, à un décalage z ~ 1 d'un diamètre approximatif de 500 millions d'années lumières baptisée "Eridanus Supervoid" qui agit sur la rayonnement de fond qui la traverse par ce qu'on appelle l'effet Sachs-Wolfe intégré ( ISW, pour Integrated Sachs-Wolfe effect). La formation de cette vaste région serait du à l'évolution ultérieure de l'univers sous l'effet de la gravitation.
Même si au plan cosmique il s'agit d'une grande structure le différentiel qui l'individualise reste modeste et pour une fraction importante (cte cosmo ~ 0,7) possède la même densité énergétique que le reste de l'univers. Que l'expansion en son sein soit plus vigoureuse sans aucun doute par construction. Reste à le quantifier ; je te dirais avec une raisonnable certitude que ce n'est pas au point de représenter plus que tout le reste en volume aujourd'hui mais en quelle proportion je l'ignore.
Parcours Etranges
Merci pour ta réponse !