Le point n'a rien à voir avec le caractère physique, il est bêtement mathématique. Le genre d'un vecteur ou d'une forem indépendant du choix de coordonnée.
Où aurais-je fait soupçonner que je pensais cela? Rien à voir avec le point soulevé.Le calcul du ds² n'impose pas qu'il doit y avoir partout une coordonnée de type temps et trois d'espace pour décrire le tenseur métrique.
Pour cela que je préfère celles de Kruskal pour comprendre ce qu'il se passe dans la partie intérieure...En fait la singularité décrite par la solution de Schwarzschild est fictive.
Ben non. Comme indiqué dans le message même, "les coordonnées n'ont aucun caractère physique", et donc leur genre ou chnagement de genre n'a aucun caractère physique!Le changement de genre sur l'horizon est révélateur d'un certaine phénoménologie qui est physique
Oui, celles de Kruskal! Pas de singularité de métrique, pas de changement de genre, pas de termes croisés. Voilà qui évite bien des tracas...: A l'extérieur il est possible d'être statique, à l'intérieur, non, mais cela se fait sans discontinuité, à condition d'utiliser des coordonnées qui n'imposent pas des contraintes qui n'ont pas lieu d'être.
C'est une tautologie, car on appelle "observateur" uniquement une ligne de genre temps, géodésique ou non. C'est à dire dont le vecteur tangent est partout de genre temps. Et on se fiche de "la base de vecteurs tangents localement aux coordonnées", être de genre temps est indépendant de tout choix de coordonnées, ou de base ; et aussi indépendant du choix de paramétrage.Ce qui est essentiel, car physique c'est que le vecteur tangent à la géodésique suivie par l'observateur, dans la base de vecteurs tangents localement aux coordonnées, soit de type temps, son temps propre (on lui associe un référentiel minkowskien dont le vecteur temps est le temps propre).
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 Envoyé par ordage
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