Jour ou nuit, brume ; le confin du réel se dévoile par son manque ...
Ce sujet s'ouvre, malgré lui, dans l'émerveillement du mystère (et au-delà ?). Quelle est cette sombre folie qui nous pousse à rétablir de l'ordre dans un trou béant envahi de matière noire éthérée ?
En fait c'est dans l'articulation des hypothèses faîtes sur la base d'observations et déductions pour aboutir à la saint thèse (oui je sais, bof celle là ) permettant de recoller les pièces du puzzle à N dimensions.
Je commence par les faits, on observe une courbe croissante non linéaire avec un plateau pour une échelle en kly dans les galaxies (Mly pour amas) de la vitesse atteinte par the stars en fonction de l'éloignement du centre galactique des groupuscules d'étoiles, ainsi que la relative homogénéité des galaxies elles mêmes (distance interétoiles, et même distance intergalaxie pour parler amas).
Donc pour combler le manque théorique de la RG à ces échelle(s), on ajoute de la masse dite noire (voir théorème du viriel) pour conserver ... Emécanique, Epotentielle (pas relative) et Ecinétique (relative) reliées entre elles.
Cette MN (masse noire, je préfère plutôt que "matière") est encore plus diffuse que la densité énergétique d'un gaz (d)étendu de masse baryonique (étrange pour autant de masse qui n'est qu'attractive, elle ne s'autocondense pas semble t'il ?). On constate que cette MN provoque des lentilles gravitationnelles faibles (c'est "presque" de l'observation directe ...).
Cette MN est distribuée (halo, bulbe ?) en proportion de matière baryonique et du type de galaxie (naines, élliptiques, spirales), d'ailleurs je me demande à quoi ressemble (en %de types galactiques) la moyenne pour les amas galactiques et leurs distributions ? On a fait une séparation (à mon avis saine ) entre MN froide ou chaude ...
La MNC (sous entendu relativiste) : c'est les neutrinos (et leurs 3 oscillations, peut-être plus ? Perso je pense pas) ou des trucs bizarre genre WIMPS (d'ailleurs l'acronyme est strange car suppose une unification directe de l'interaction nucléaire faible SU(2) en essayant de s'accomoder de l'unification U(1)SU(2) et avec la RG (interaction gravitationnelle) qui est locale (échelle galactique atteinte ou plus petites tranches intégrés ?) et pas renormalisable du moins au 1er ordre comme les autres interactions, (exo : calculez-moi l'énergie interne totale de l'univers, système qui doit être isolé ou seulement fermé avant peut-être d'être ouvert) , on suppute peut-être un "genre d'exclusion de Pauli" pour qu'elle occupe toutes les cases/états genre fermions pour expliquer sa répartition, monopôles magnétiques ou charge magnétique d'un objet lourd (microtrou noir de Tesla, Kerr Newmann, différentes sortes), antimatière ... ??? (Bref pour moi ça sent le gap, et donc vide théorique, il faut prendre du recul, nan mais )
Pour la MNF (sous entendu non relativiste), il y a les astres non lumineux (les exoplanètes (qu'on détecte depuis peu, je suis plus terres par Terre) qui sont en quelle proportion dans chaque types galactiques (%?), les trous noirs stellaires, on évoque les microtrous noirs ou autres (j'ai pas de pétrole mais des idées) ?
L'inertie a-t-elle un opposé/complémentaire (principe de Mack, Sciama directeur de thèse de Hawking, Rindler)
NB : ça c'est cool aussi : http://astronomia.fr/seminaires/anne...tiereNoire.php
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