merci bien, mais il s'ait d'un objet en orbite.
je vois mal cette équation pour un astre situé à N années lumières, ou qcq chose m'échappe.
Cdt
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merci bien, mais il s'ait d'un objet en orbite.
je vois mal cette équation pour un astre situé à N années lumières, ou qcq chose m'échappe.
Cdt
il me semble qu'il manque un facteur lié à décroissance de la force gravitationnelle dans ton équation.
dois je par ailleurs en conclure qu'à longue distance, il ne reste que la diff liée à la RR, ou à la RG "locale". ??
Si on ne peut plus négliger la variation de g, alors la d.d.p. gravifique n'est plus (GM/R²)h = gh mais la formule en gras :d.d.p. = [ G.M /R ] - [ G.M /(R+h) ]en RG accélération de rapport [g h / c²] avec g = G M / R² ; h = hauteur par rapport au niveau du sol
h = 20 180 000 m de hauteur
d.d.p. = G * M * deltaR avec deltaR = (1 /R) - (1 /(R+h) )
deltaRG = d.d.p. / c² * (23.93419 * 3600) * 1 000 000
résultats :
RG par jour : +45.554 µs à l'altitude 20 180 000 m
Dernière modification par Nicophil ; 03/02/2016 à 18h33.
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Salut,
Je ne sais pas si cela est correct mais la conservation du quadrivecteur-impusion donne comme relation pour l'energie cinétique :
pour v<<c on retrouve bien mv²/2 .
Je me disais que pour calculer l'Ec d'un objet en orbite , il suffirait peut être de poser ?
A+ Zefram
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire
bonjour et merci,
comme je l'avais rappelé, c'est surtout la RG qui m'intéresse.
le calcul lié à la vitesse en RR n'est PAS mon sujet.
en prenant cette formule pour un h TRES grand, il ne resterait que le premier terme.
dois je en conclure que pour une étoile lointaine , on aurait tj cet écart.
ou plus précisément à proximité d'une planète proche de cette étoile , il faudrait ajouter/soustraire deux valeurs propres à chaque situation gravitationnelle locale.???
encore de la RR ?
d'ailleurs la dernière équation me semble inéxacte.
elle aboutie à Ec=(1/2)mv² sans terme relativiste.
Je ne sais s'il est pertinent ou pas de faire figurer mc² dans l'approximation classique de l'EC car :
->
donc
pour v<<c , ->
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire
pffffff !!!!
je ne vais pas me répéter 10 fois.
Dernière modification par Nicophil ; 04/02/2016 à 15h19.
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Oui, c'est surprenant car il faut soustraire comme pour le lagrangien, pas additionner comme pour l'hamiltonien...
Je suppose que la différence vient de ce qu'une horloge à l'équateur est en mouvement par rapport à une horloge au pôle nord.
Dernière modification par Nicophil ; 04/02/2016 à 15h44.
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
ok
donc Redshift RR =
Bleeshift RG = (G.M)((1 /R) -(R+h))/c²
ce qui donne pour une planète lointaine
Bleeshift RG = (G.M)(1 /R)/c²
les deux s'annulent quand ( pour un astre ou objet très éloigné isolé )
est ce cela ?
ce qui donnerait une prévalence à l'effet RR dès c 10^(-6) à longue distance.
Erreur de fil...
Dernière modification par Nicophil ; 20/03/2016 à 13h03.
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.