Bonjour, j'ai mis ce sujet ici, car assez adapter à la problématique finale que je poserai si mes 3 questions sont correctes :
1) Il s'agit des combinaisons des 6 quarks liés par des gluons. Ma 1ere question est bête, mais le gluon ne se différencie de son antigluon que par sa charge de couleur/anticouleur et il existe 9 combinaisons, fonction des 6 quarks : u, d, s, c, b, t . Ces associations sont :; si je ne me trompe pas les anticouleurs associées à une même couleur sont instables, si la somme des charges électriques que portent leurs quarks associés est nulle ? D'ailleurs une combinaison est exclue, sûrement en raison de la combinaison de couleur/anticouleur (qui fait intervenir l'antimasse=même masse de charge électrique opposée); ainsi et comme son nom l'indique, la CDQ ChromoDynamiqueQuantique, est quantique (ha
) et donc superpose les combinaisons blanches (c'est à dire une couleur avec son anticouleurs donne 0, ce qui est égale à la couleur blanc ou bien r+v+b et
, sans doute pour un hommage à Newton et à sa toupie colorée, qui lorsqu'elle tourne mélange optiquement les couleurs), c'est à dire une équation statistique du genre |r
>+|v
>+|b
>=0 dit blanc.
|r>+|b
>+|v
>=0
|b>+|r
>+|v
>=0
|v>+|b
>+|r
>=0
|r>+|v
>+|b
>=0
|b>+|v
>+|r
>=0
|v>+|r
>+|b
>=0
|r>+|v>+|b>=0
8 combinaisons non commutatives.
la non commutation en MQ, pour illustrer.
C'est là que je bloque pour le moment : il faudrait 8 superpositions pour créer la 9ème (non libre). c'est chaud ! mais en gros je comprends que les 3 états fondamentaux font que lier R,V, B est plus stable car relié linéairement que simplement RRbar, BBbar, VVbar ! Et c'est très important pour la suite ! ça dit juste que l'annihilation par anticouleur ne fait pas intervenir l’interaction nucléaire forte car les charges de couleurs n'interviennent pas directement.; mais l'annihilation matière vs antimatière, qui cible les survivantes.
Ainsi :
u=+2/3
d=-1/3
s=-1/3
c=+2/3
b=-1/3
t=+2/3
Et leur antiquarks :
Donc les combinaisons de mésons sont contraints et 2 quarks + 2 gluons = charge de couleur blanche (anti ou les 3 ensembles) et charge électrique qui ne peut qu'être un entier. Ainsi je me suis amusé à faire le listing des mésons potentiels :
Homogène ça donne : u-\bar{g}-g-\bar{u} qui doit logiquement être très instable, car c'est que de l'antimatière comme le positronium e-e+=. Donc je ne m'attarde pas trop sur ceux là mais c'est l'idée de liaisons par doublets de gluons/antigluons (un genre de chimie nucléaire
)
Liste : u-\bar{g}-g-\bar{u} u-\bar{g}-g-\bar{u} u-\bar{g}-g-\bar{u}
d-\bar{g}-g-\bar{d} d-\bar{g}-g-\bar{d} d-\bar{g}-g-\bar{d}
s-\bar{g}-g-\bar{s} s-\bar{g}-g-\bar{s} s-\bar{g}-g-\bar{s}
c-\bar{g}-g-\bar{c} c-\bar{g}-g-\bar{c} c-\bar{g}-g-\bar{c}
b-\bar{g}-g-\bar{b} b-\bar{g}-g-\bar{b} b-\bar{g}-g-\bar{b}
t-\bar{g}-g-\bar{t} t-\bar{g}-g-\bar{t} t-\bar{g}-g-\bar{t}
La charge de couleur est nulle le rouge est supprimé par l'antirouge, et la charge électrique est 0, car on observe pas de charge électrique fractionnaire.
Maintenant je pense aux mésons hétérogènes, ceux dont la désintégration est légèrement supérieure en durée que celles des mésons homogènes et donc recherchés par les collisions en accélérateurs.
Les mésons hétérogènes sont donc ceux-ci : u--g-
; u-
-g-
; d-
-g-
; d-
-g-
; s-
-g-
; c-
-g-
; mais aussi s-
-g-
; t-
-g-
b-
-g-
; s-
-g-
; t-
-g-
; c-
-g-
.
Ce sont toutes les propositions de mésons potentiels hétérogènes. et donc chacune de ces combinaisons possède soit rouge/antirouge, soit vert/antivert, soit bleu/antibleu et comme les masses en jeux varient entre mquarks+gluons=mésons + durables (mais très peu, en fait), d'ailleurs si quelqu'un connait les statistiques de détections de tout ces mésons, alors ça doit être marrant/coton de trouver des écarts?
Alors c'est bon pour le moment ? Sans passer par une démonstration, c'est juste comprendre le bestiaire des quarks, gluons et leptons, dans un premier temps.
Merci
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 Envoyé par Quarkonium
 Envoyé par Quarkonium 
 Ici la différence est le champs de gluons comme bosons vecteurs entre quarks/anti et en temps que liant afin de mesurer une masse effective très importante qui fait la quasi totalité de la masse de la matière baryonique. Disons que mon modèle de mesons est plutôt comme un positronium que comme un atome de Béryllium !
 Ici la différence est le champs de gluons comme bosons vecteurs entre quarks/anti et en temps que liant afin de mesurer une masse effective très importante qui fait la quasi totalité de la masse de la matière baryonique. Disons que mon modèle de mesons est plutôt comme un positronium que comme un atome de Béryllium !  ) ! Par opposition, une particule de spin S=1 (comme le gluon) peut avoir trois valeurs de sa composante selon l'axe z choisi : Sz=-1,0,+1. C'est de la théorie des groupes pour SU(2), et le raisonnement avec les charges de couleur est similaire mais avec le groupe SU(3) cette fois-ci.
) ! Par opposition, une particule de spin S=1 (comme le gluon) peut avoir trois valeurs de sa composante selon l'axe z choisi : Sz=-1,0,+1. C'est de la théorie des groupes pour SU(2), et le raisonnement avec les charges de couleur est similaire mais avec le groupe SU(3) cette fois-ci.



 ). D'ailleurs le temps n'était alors qu'une mesure de la température, juste avant, c'est pas moi qui le dit : c'est comme ça qu'il y a des titres : "le BB en éprouvettes" ou "on a recréé les conditions du BB". Je ne développe pas + désolé ! C'est juste parce que tu m'as demandé : "c'est pour en venir où" ?
). D'ailleurs le temps n'était alors qu'une mesure de la température, juste avant, c'est pas moi qui le dit : c'est comme ça qu'il y a des titres : "le BB en éprouvettes" ou "on a recréé les conditions du BB". Je ne développe pas + désolé ! C'est juste parce que tu m'as demandé : "c'est pour en venir où" ? ) (la matière noire y étant inclue).
) (la matière noire y étant inclue).
